Étant donné les circonstances actuelles marquées par la Covid-19, les Casablancais deviennent de plus en plus réticents par rapport au don de sang. La situation devient plus ample voire problématique à Casablanca, qui enregistre quotidiennement un nombre effrayant de nouveaux cas. Face à cet état des choses, le Centre Régional de Transfusion Sanguine (CRTS) a opté pour une nouvelle stratégie de communication, visant les jeunes cette fois-ci. L’initiative en question vise à encourager les jeunes à donner du sang et sauver des vies.
A cet effet, le CRTS a signé des conventions avec cinq influenceurs célèbres au Maroc avec pas moins de 2 millions de followers. Une page Facebook a été dédiée à cette campagne de sensibilisation. Des vidéos sont déjà mises en ligne. En soi, chaque influenceur se déplace une fois par semaine pour donner lui-même du sang mais aussi pour sensibiliser ses followers à l’importance de cette démarche. La page Facebook servira également de moyen de communication pour interagir avec la population et les rassurer aux conditions d’hygiène et de stérilisation, qui sont respectées.
Eu égard à l’utilisation massive des réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram et Twitter, le CRTS a agi de sorte à s’y accommoder au mieux. Un code avec un hashtag a été créé pour chaque influenceur et tout donneur venant de sa part pourra ainsi le scanner. Son nom est enregistré par la suite dans une application mise en place par le centre, ce qui permettra de constituer une base de données.
La nouvelle stratégie de communication comprend également un passage régulier dans les différentes chaînes nationales avec pour objectif de toucher plus de citoyens, de les sensibiliser et surtout de les rassurer.
Par ailleurs, le CRTS a annoncé la signature d’une convention avec les médecins dentistes afin qu’ils puissent, d’une part, contribuer au don de sang, et d’autre part, sensibiliser leur entourage.
Un souci de répartition
Le manque de don de sang proviendrait également d’un problème de répartition. Le docteur Najia El Amraoui nous a expliqué qu’une augmentation significative des dons a été constatée ces dernières années. Cette progression n’est cependant pas répartie de façon équilibrée sur l’ensemble des douze mois. Pendant certaines périodes, comme en celleci, la rupture de stock menace et on peut parler de pénurie.
Le Dr El Amraoui explique que certaines maladies consomment beaucoup de sang. C’est notamment le cas du cancer, qui nécessite des transfusions régulières. Précision du médecin, « La durée de vie du sang prélevé est aussi très limitée ».
A cet effet, le CRTS a signé des conventions avec cinq influenceurs célèbres au Maroc avec pas moins de 2 millions de followers. Une page Facebook a été dédiée à cette campagne de sensibilisation. Des vidéos sont déjà mises en ligne. En soi, chaque influenceur se déplace une fois par semaine pour donner lui-même du sang mais aussi pour sensibiliser ses followers à l’importance de cette démarche. La page Facebook servira également de moyen de communication pour interagir avec la population et les rassurer aux conditions d’hygiène et de stérilisation, qui sont respectées.
Eu égard à l’utilisation massive des réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram et Twitter, le CRTS a agi de sorte à s’y accommoder au mieux. Un code avec un hashtag a été créé pour chaque influenceur et tout donneur venant de sa part pourra ainsi le scanner. Son nom est enregistré par la suite dans une application mise en place par le centre, ce qui permettra de constituer une base de données.
La nouvelle stratégie de communication comprend également un passage régulier dans les différentes chaînes nationales avec pour objectif de toucher plus de citoyens, de les sensibiliser et surtout de les rassurer.
Par ailleurs, le CRTS a annoncé la signature d’une convention avec les médecins dentistes afin qu’ils puissent, d’une part, contribuer au don de sang, et d’autre part, sensibiliser leur entourage.
Un souci de répartition
Le manque de don de sang proviendrait également d’un problème de répartition. Le docteur Najia El Amraoui nous a expliqué qu’une augmentation significative des dons a été constatée ces dernières années. Cette progression n’est cependant pas répartie de façon équilibrée sur l’ensemble des douze mois. Pendant certaines périodes, comme en celleci, la rupture de stock menace et on peut parler de pénurie.
Le Dr El Amraoui explique que certaines maladies consomment beaucoup de sang. C’est notamment le cas du cancer, qui nécessite des transfusions régulières. Précision du médecin, « La durée de vie du sang prélevé est aussi très limitée ».
Kenza AZIOUZI