Le séchage confère à la figue des propriétés nouvelles et prolonge sa durée de vie, explique une source responsable de l’ORMVAD. Selon la nature du cultivar, la qualité obtenue après séchage varie énormément et peut aboutir à des figues sèches de basse catégorie. Au Maroc, elles sont souvent mal entretenues et mal exploitées, souligne-t-on des mêmes sources.
Au niveau régional, les Doukkala renferment l’unité de production du figuier d’Oulad Frej, dédiée au conditionnement et séchage de figues. Etendu sur une superficie globale de 1.200 mètres carrés, dont 300 mètres couverts, cette unité dispose d’une capacité de séchage de 5 tonnes par jour, soit 200 tonnes sur l’année.
De même la capacité du conditionnement est estimée à 20 tonnes quotidiennement, soit 1.200 tonnes par an. L’unité dispose par ailleurs d’un laboratoire ainsi que de salles de stockage, de séchage, d’emballage et de refroidissement.
Le mode de transformation des figues le plus commode est la conservation par séchage. Laquelle activité nécessite l’organisation du circuit de transport de la matière première, la multiplication des centres de collecte, etc.
Une fois séchés, les fruits de figue subissent un contrôle, un triage et une élimination des fruits grillés et très secs.
Après pesage, les figues séchées sont mises dans des emballages alimentaires à base de polyéthylène ou de polyvinyle. Les fruits séchés constitueront une matière première pour d’autres usages et pour d’autres activités industrielles ultérieures, indique un producteur à Oulad Frej.
Parmi ses innombrables bienfaits, les figues sèches réduisent le cholestérol dans le sang, l’excès de poids et sont incluses dans de nombreux régimes de perte de poids en raison de leur teneur en fibres et protègent aussi contre les maladies coronariennes car elles contiennent des polyphénols et des graisses saines non saturées, telles que les oméga-3 et les oméga-6, etc…
Par ailleurs, conclut un expert en la matière au Maroc, les figues sèches écartées par les circuits de commercialisation peuvent rejoindre une ou plusieurs voies de valorisation. Ces fruits sont généralement mal calibrés ou présentant des défauts d’aspect mais dont les qualités sensorielles et nutritionnelles sont proches des figues sèche de bonne qualité commerciale.
Les figues sèches qui se vendent dans de mauvaises conditions d’hygiène et de vente sont vulnérables aux attaques par les moisissures. On estime que la mise en place d’un circuit de valorisation de ces fruits pour la fabrication de produits alimentaires, exemple de la confiture, pourrait améliorer ces conditions en contribuant à générer des activités pour la communauté rurale, rapporte la même source.
Au niveau régional, les Doukkala renferment l’unité de production du figuier d’Oulad Frej, dédiée au conditionnement et séchage de figues. Etendu sur une superficie globale de 1.200 mètres carrés, dont 300 mètres couverts, cette unité dispose d’une capacité de séchage de 5 tonnes par jour, soit 200 tonnes sur l’année.
De même la capacité du conditionnement est estimée à 20 tonnes quotidiennement, soit 1.200 tonnes par an. L’unité dispose par ailleurs d’un laboratoire ainsi que de salles de stockage, de séchage, d’emballage et de refroidissement.
Le mode de transformation des figues le plus commode est la conservation par séchage. Laquelle activité nécessite l’organisation du circuit de transport de la matière première, la multiplication des centres de collecte, etc.
Une fois séchés, les fruits de figue subissent un contrôle, un triage et une élimination des fruits grillés et très secs.
Après pesage, les figues séchées sont mises dans des emballages alimentaires à base de polyéthylène ou de polyvinyle. Les fruits séchés constitueront une matière première pour d’autres usages et pour d’autres activités industrielles ultérieures, indique un producteur à Oulad Frej.
Parmi ses innombrables bienfaits, les figues sèches réduisent le cholestérol dans le sang, l’excès de poids et sont incluses dans de nombreux régimes de perte de poids en raison de leur teneur en fibres et protègent aussi contre les maladies coronariennes car elles contiennent des polyphénols et des graisses saines non saturées, telles que les oméga-3 et les oméga-6, etc…
Par ailleurs, conclut un expert en la matière au Maroc, les figues sèches écartées par les circuits de commercialisation peuvent rejoindre une ou plusieurs voies de valorisation. Ces fruits sont généralement mal calibrés ou présentant des défauts d’aspect mais dont les qualités sensorielles et nutritionnelles sont proches des figues sèche de bonne qualité commerciale.
Les figues sèches qui se vendent dans de mauvaises conditions d’hygiène et de vente sont vulnérables aux attaques par les moisissures. On estime que la mise en place d’un circuit de valorisation de ces fruits pour la fabrication de produits alimentaires, exemple de la confiture, pourrait améliorer ces conditions en contribuant à générer des activités pour la communauté rurale, rapporte la même source.
Mohamed LOKHNATI
