
Dans un communiqué, le syndicat invite également le personnel éducatif à organiser des actions de protestation symboliques lors des pauses matinales et de l’après-midi, les lundi 14 et mardi 15 avril 2025, en arborant des badges de solidarité.
Le bureau syndical a fait part de sa profonde tristesse après avoir appris, dans la matinée du dimanche 13 avril, le décès tragique de l’enseignante, victime d’un acte de violence sur son lieu de travail.
L’organisation syndicale a replacé ce drame dans le contexte plus large de la montée inquiétante des actes de violence en milieu scolaire, qu’elle qualifie de « fléau » gangrenant l’enseignement public, déplorant l'absence de mécanismes de prévention efficaces et de réelle volonté politique de la part de l’État pour garantir la sécurité et la dignité des enseignants.
L'incident remonte au 27 mars dernier, lorsqu'un élève s'en est pris à son enseignante au sein de l'Institut spécialisé de formation professionnelle d'Erfoud. Armé d'un objet tranchant, l'agresseur lui avait infligé des coups d'une extrême violence, notamment à la tête. La victime, grièvement blessée, avait été prise en charge en urgence avant d'être transférée à l'hôpital régional d'Errachidia, puis au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Fès.
À l’occasion de cette tragédie, le bureau régional du Syndicat a exprimé ses sincères condoléances à la famille de la défunte ainsi qu’à l’ensemble de la communauté éducative, tout en dénonçant l’inaction des autorités face à la recrudescence des violences scolaires et le silence officiel qui entoure ce phénomène.
Le bureau syndical a fait part de sa profonde tristesse après avoir appris, dans la matinée du dimanche 13 avril, le décès tragique de l’enseignante, victime d’un acte de violence sur son lieu de travail.
L’organisation syndicale a replacé ce drame dans le contexte plus large de la montée inquiétante des actes de violence en milieu scolaire, qu’elle qualifie de « fléau » gangrenant l’enseignement public, déplorant l'absence de mécanismes de prévention efficaces et de réelle volonté politique de la part de l’État pour garantir la sécurité et la dignité des enseignants.
L'incident remonte au 27 mars dernier, lorsqu'un élève s'en est pris à son enseignante au sein de l'Institut spécialisé de formation professionnelle d'Erfoud. Armé d'un objet tranchant, l'agresseur lui avait infligé des coups d'une extrême violence, notamment à la tête. La victime, grièvement blessée, avait été prise en charge en urgence avant d'être transférée à l'hôpital régional d'Errachidia, puis au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Fès.
À l’occasion de cette tragédie, le bureau régional du Syndicat a exprimé ses sincères condoléances à la famille de la défunte ainsi qu’à l’ensemble de la communauté éducative, tout en dénonçant l’inaction des autorités face à la recrudescence des violences scolaires et le silence officiel qui entoure ce phénomène.