Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce, a déclaré que le secteur de l’E-commerce au Maroc a connu un développement très rapide. Au cours de l’année écoulée, 20,7 millions opérations de payement en ligne ont eu lieu, pour s’établir à 7,7 milliards de dirhams (MMDH).
Lors d’une réponse à une question écrite à la Chambre du parlement, le ministre a indiqué que le nombre des transferts électroniques est en augmentation de 45% par rapport à 28% l’année précédente en matière de la valeur globale des payements électroniques réalisés, notant que la crise sanitaire causée par la pandémie de Coronavirus a contribué au renforcement et à la prospérité de ce modèle d’affaires commercial.
Selon une étude menée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications en 2020, 84 % des Marocains vivant en milieu urbain confirment que les changements découlant de la pandémie concernant l’utilisation des moyens numériques ne disparaîtront pas et seront permanents.
M. Mezzour a signalé que le ministère travaillait depuis un moment pour pouvoir accompagner le rythme de la digitalisation du secteur du commerce et en particulier les commerçants, à travers une série de projets. Il s’agit notamment de « Créer un carrefour pour accueillir et accélérer la croissance des entreprises émergentes dans le secteur de l’e-commerce afin de développer des solutions numériques adaptées aux besoins des commerçants en partenariat avec l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) ».
Il a souligné que « ce centre vise à accompagner en 2023, près de 100 entreprises émergentes en fournissant des solutions numériques innovantes pour le commerce de proximité qui nécessitent des outils numériques simples et accessibles contribuant à leur modernisation et à leur valeur ajoutée ».
Parmi les projets mentionnés par le ministre figure l’annonce de la « Demande d’intérêt pour les porteurs de projet » le jeudi 7 avril 2022. Le processus d’accompagnement commencera à partir de l’étape de la conceptualisation de l’idée et du prototypage, jusqu’à la phase du marketing et d’accélération de la croissance », puis « la mise en place d’offres pour digitaliser le commerce de proximité en partenariat avec l’Agence de développement digital (ADD) dans le but de renforcer la compétitivité des commerçants de proximité, et l’acquisition de compétences digital pratiques par les commerçants via des formations concentrées sur l’utilisation des technologies de l’information et des mécanismes de marketing digital », ainsi que « le développement de programmes de formation pour les commerçants en partenariat avec les associations professionnelles des commerçants et les Chambres de Commerce, d’Industrie et de services».
« Dans le cadre de la Stratégie Nationale d’Inclusion Financière, le ministère, avec les différents intervenant, est engagé à lancer et à encourager le payement mobile », a déclaré M. Mezzour.
En ce qui concerne les moyens de protection du marché national contre certains produits de nature à porter atteinte à la sécurité nationale, M. le ministre a indiqué que « la loi n° 13.89 sur le commerce extérieur et ses textes d’application permet l’établissement de procédures de restriction à l’importation pour maintenir la sécurité nationale».
Lors d’une réponse à une question écrite à la Chambre du parlement, le ministre a indiqué que le nombre des transferts électroniques est en augmentation de 45% par rapport à 28% l’année précédente en matière de la valeur globale des payements électroniques réalisés, notant que la crise sanitaire causée par la pandémie de Coronavirus a contribué au renforcement et à la prospérité de ce modèle d’affaires commercial.
Selon une étude menée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications en 2020, 84 % des Marocains vivant en milieu urbain confirment que les changements découlant de la pandémie concernant l’utilisation des moyens numériques ne disparaîtront pas et seront permanents.
M. Mezzour a signalé que le ministère travaillait depuis un moment pour pouvoir accompagner le rythme de la digitalisation du secteur du commerce et en particulier les commerçants, à travers une série de projets. Il s’agit notamment de « Créer un carrefour pour accueillir et accélérer la croissance des entreprises émergentes dans le secteur de l’e-commerce afin de développer des solutions numériques adaptées aux besoins des commerçants en partenariat avec l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) ».
Il a souligné que « ce centre vise à accompagner en 2023, près de 100 entreprises émergentes en fournissant des solutions numériques innovantes pour le commerce de proximité qui nécessitent des outils numériques simples et accessibles contribuant à leur modernisation et à leur valeur ajoutée ».
Parmi les projets mentionnés par le ministre figure l’annonce de la « Demande d’intérêt pour les porteurs de projet » le jeudi 7 avril 2022. Le processus d’accompagnement commencera à partir de l’étape de la conceptualisation de l’idée et du prototypage, jusqu’à la phase du marketing et d’accélération de la croissance », puis « la mise en place d’offres pour digitaliser le commerce de proximité en partenariat avec l’Agence de développement digital (ADD) dans le but de renforcer la compétitivité des commerçants de proximité, et l’acquisition de compétences digital pratiques par les commerçants via des formations concentrées sur l’utilisation des technologies de l’information et des mécanismes de marketing digital », ainsi que « le développement de programmes de formation pour les commerçants en partenariat avec les associations professionnelles des commerçants et les Chambres de Commerce, d’Industrie et de services».
« Dans le cadre de la Stratégie Nationale d’Inclusion Financière, le ministère, avec les différents intervenant, est engagé à lancer et à encourager le payement mobile », a déclaré M. Mezzour.
En ce qui concerne les moyens de protection du marché national contre certains produits de nature à porter atteinte à la sécurité nationale, M. le ministre a indiqué que « la loi n° 13.89 sur le commerce extérieur et ses textes d’application permet l’établissement de procédures de restriction à l’importation pour maintenir la sécurité nationale».
Y. E.
