Initiée sous le thème "De génération en génération", cette manifestation culturelle s’inscrit dans le cadre du Programme national relatif aux activités du "Mois du Patrimoine 2022".
Selon les organisateurs, la célébration du "Mois du patrimoine" dans une région qui se distingue par un patrimoine riche et diversifié (kasbah de Boulaouane, Tazotas, Fauconnerie, Djellaba Saïssia, broderie au motif du dragon), vise à redynamiser la vie culturelle dans la région.
Au programme de cet événement figurent de multiples activités notamment des ateliers de formation, de dessin et de sensibilisation sur le patrimoine, encadrés par des professeurs des beaux-arts et des prestations artistiques folkloriques et de l'art du Malhoun et de la musique andalouse, ainsi que des expositions sur la valorisation du patrimoine, a indiqué la conservatrice des villes d’El Jadida et d’Azemmour, Nisrine Safi.
Ce forum, organisé en coordination avec la direction régionale de la Culture Casablanca-Settat, sera également ponctué par une série de conférences et de tables rondes portant sur les différents aspects du patrimoine culturel des Doukkala, a ajouté Mme Safi.
Cette manifestation riche et diversifiée ambitionne de valoriser davantage le legs ancestral et singulier du patrimoine culturel marocain, a expliqué, pour sa part, le directeur du Centre d’études et de recherches sur le patrimoine maroco-lusitanien, Aboulkacem Chebri, notant que le forum sera l'occasion aussi de mettre en exergue la singularité et l’authenticité du patrimoine matériel et immatériel de la région, avec un focus sur ses prolongements civilisationnels.
Et d’ajouter: « Le mois du patrimoine est aussi une occasion idoine pour relancer l’économie du tourisme en valorisant le produit culturel unique du royaume, et ce à travers un programme ouvert, permettant ainsi à tous les Marocains d’explorer leur patrimoine, à même de transformer les sites archéologiques en espaces de rencontre, de dialogue et de discussion ».
C’est également l’opportunité de raviver le débat sur la réhabilitation et la valorisation de ce patrimoine qui implique une certaine transversalité entre l’autorité publique et la société civile.
« Ce genre d’initiative matérialise la qualité de cette relation entre la société civile et le gouvernement, pour que toute cette revalorisation ait un sens », souligne Hassan Choukri, professeur universitaire à Marrakech, lors de sa visite au forum régional, notant que « la valorisation du patrimoine ne se fait pas uniquement pour le valoriser, mais pour faire du patrimoine et du capital immatériel du pays un projet de développement, notamment à l’échelle locale, pour que toute la population puisse en bénéficier ».
Selon les organisateurs, la célébration du "Mois du patrimoine" dans une région qui se distingue par un patrimoine riche et diversifié (kasbah de Boulaouane, Tazotas, Fauconnerie, Djellaba Saïssia, broderie au motif du dragon), vise à redynamiser la vie culturelle dans la région.
Au programme de cet événement figurent de multiples activités notamment des ateliers de formation, de dessin et de sensibilisation sur le patrimoine, encadrés par des professeurs des beaux-arts et des prestations artistiques folkloriques et de l'art du Malhoun et de la musique andalouse, ainsi que des expositions sur la valorisation du patrimoine, a indiqué la conservatrice des villes d’El Jadida et d’Azemmour, Nisrine Safi.
Ce forum, organisé en coordination avec la direction régionale de la Culture Casablanca-Settat, sera également ponctué par une série de conférences et de tables rondes portant sur les différents aspects du patrimoine culturel des Doukkala, a ajouté Mme Safi.
Cette manifestation riche et diversifiée ambitionne de valoriser davantage le legs ancestral et singulier du patrimoine culturel marocain, a expliqué, pour sa part, le directeur du Centre d’études et de recherches sur le patrimoine maroco-lusitanien, Aboulkacem Chebri, notant que le forum sera l'occasion aussi de mettre en exergue la singularité et l’authenticité du patrimoine matériel et immatériel de la région, avec un focus sur ses prolongements civilisationnels.
Et d’ajouter: « Le mois du patrimoine est aussi une occasion idoine pour relancer l’économie du tourisme en valorisant le produit culturel unique du royaume, et ce à travers un programme ouvert, permettant ainsi à tous les Marocains d’explorer leur patrimoine, à même de transformer les sites archéologiques en espaces de rencontre, de dialogue et de discussion ».
C’est également l’opportunité de raviver le débat sur la réhabilitation et la valorisation de ce patrimoine qui implique une certaine transversalité entre l’autorité publique et la société civile.
« Ce genre d’initiative matérialise la qualité de cette relation entre la société civile et le gouvernement, pour que toute cette revalorisation ait un sens », souligne Hassan Choukri, professeur universitaire à Marrakech, lors de sa visite au forum régional, notant que « la valorisation du patrimoine ne se fait pas uniquement pour le valoriser, mais pour faire du patrimoine et du capital immatériel du pays un projet de développement, notamment à l’échelle locale, pour que toute la population puisse en bénéficier ».
Mohamed LOKHNATI