L’année 2022 a été marquée par une abondance de la ressource de très bonne qualité, à la grande satisfaction des pêcheurs, convient la majorité des professionnels abordés à ce sujet. La cadence de la pêche a été très élevée, induisant un rendement économique par barque important. « Et c’est ce qui a permis d’ailleurs à cette saison de s’achever dans de meilleures conditions », poursuivent les mêmes sources.
Abdelouhad Moustaïne, président de la Confédération Provinciale de la Pêche Maritime à El Jadida, a indiqué que la délégation des pêches maritimes a en effet réussi à maîtriser le système de traçabilité des algues le long de la chaîne de production (pêche, débarquement, séchage, conditionnement et/ou traitement, jusqu’à l’exportation).
Le secteur n’a relevé aucun incident social à la grande satisfaction des professionnels, a-t-il conclu. Au nom des professionnels des algues marines de la province, Bouchaib Ben Ghannou a pour sa part indiqué que les quotas individuel et global alloués à la circonscription maritime d’El Jadida, répartis entre les barques disposant d’une licence officielle, ont été pour la première fois bien appliqués et respectés, ajoutant qu’« il s’agit de l’une des campagnes les plus réussies dans la province d’El Jadida ».
« Nous saluons à cette occasion les efforts louables de la délégation provinciale de la pêche maritime, qui a veillé cette année au respect rigoureux de la feuille de route pour faire de cette campagne une saison exceptionnelle à plus d’un titre », a-t-il souligné.
De l’avis de tous les acteurs du secteur, le respect de la feuille de route est venu ainsi organiser l’activité et préserver, par conséquent, les emplois formels et actuels, notant que depuis son lancement, le plan a contribué à baisser de manière significative la pêche informelle.
Le seul hic pour Rachid Labbar, opérateur dans les algues marines dans la région, réside au niveau du quota d’exportation dont les délais impartis ont expiré depuis 2020, sans que le ministère de tutelle ne trouve encore d’autres solutions pour remédier au problème. D’autre part, poursuit-il, l’exploitation par certains pêcheurs d’algues marines de plus d’une barque de pêche, va à l’encontre des lois régissant le secteur des licences artisanales et interpelle les autorités compétentes pour prendre les mesures nécessaires qui s’imposent, pour une meilleure organisation du secteur.
Abdelouhad Moustaïne, président de la Confédération Provinciale de la Pêche Maritime à El Jadida, a indiqué que la délégation des pêches maritimes a en effet réussi à maîtriser le système de traçabilité des algues le long de la chaîne de production (pêche, débarquement, séchage, conditionnement et/ou traitement, jusqu’à l’exportation).
Le secteur n’a relevé aucun incident social à la grande satisfaction des professionnels, a-t-il conclu. Au nom des professionnels des algues marines de la province, Bouchaib Ben Ghannou a pour sa part indiqué que les quotas individuel et global alloués à la circonscription maritime d’El Jadida, répartis entre les barques disposant d’une licence officielle, ont été pour la première fois bien appliqués et respectés, ajoutant qu’« il s’agit de l’une des campagnes les plus réussies dans la province d’El Jadida ».
« Nous saluons à cette occasion les efforts louables de la délégation provinciale de la pêche maritime, qui a veillé cette année au respect rigoureux de la feuille de route pour faire de cette campagne une saison exceptionnelle à plus d’un titre », a-t-il souligné.
De l’avis de tous les acteurs du secteur, le respect de la feuille de route est venu ainsi organiser l’activité et préserver, par conséquent, les emplois formels et actuels, notant que depuis son lancement, le plan a contribué à baisser de manière significative la pêche informelle.
Le seul hic pour Rachid Labbar, opérateur dans les algues marines dans la région, réside au niveau du quota d’exportation dont les délais impartis ont expiré depuis 2020, sans que le ministère de tutelle ne trouve encore d’autres solutions pour remédier au problème. D’autre part, poursuit-il, l’exploitation par certains pêcheurs d’algues marines de plus d’une barque de pêche, va à l’encontre des lois régissant le secteur des licences artisanales et interpelle les autorités compétentes pour prendre les mesures nécessaires qui s’imposent, pour une meilleure organisation du secteur.