De l'art de Tbourida aux courses hippiques, en passant par les activités agricoles quotidiennes, le cheval occupe, depuis des siècles, une place particulièrement importante dans la vie des Doukkalis.
Ce lien spécial profondément enraciné dans l'Histoire se reflète essentiellement dans les festivités, les festivals et les Moussems organisés dans la région, où la Tbourida, qui repose sur le cheval comme élément central du spectacle et des célébrations, constitue l'un des principaux pans du patrimoine local.
La Tbourida représente également le plus important rituel de célébration des chevaux à la fin de chaque saison agricole. Les agriculteurs de la région de Doukkala ont fait du Moussem Moulay Abdellah Amghar, depuis des centaines d'années, un rendez-vous incontournable au début du mois d'août pour se réunir et se rassembler autour de festivités et de spectacles divers célébrant l'art de Tbourida et le cheval.
Outre les rencontres familiales, l'organisation de festins et l'accueil de visiteurs venant des différentes régions du Royaume, le Moussem fait la part belle aux spectacles de Tbourida, sans oublier la musique et le chant pour exprimer la joie et la gratitude, notamment lorsqu'une saison agricole est prospère.
L'édition 2022 du Moussem Moulay Abdellah Amghar, dont le coup d'envoi a été donné vendredi dernier et qui se poursuivra jusqu'au 12 août courant, devrait connaitre la participation de quelque 140 sorbas et 2000 cavaliers, ce qui constitue un record pour cette manifestation.
En plus de la Tbourida, la région connait régulièrement l'organisation de courses hippiques. Les chevaux prenant part à ces courses diffèrent de ceux utilisés dans les spectacles de Tbourida, que ce soit en termes de caractéristiques, d'équipements ou de valeur marchande. Ces différences concernent également la selle utilisée dans les spectacles de Tbourida et celle utilisée dans les courses hippiques.
Par ailleurs, le cheval est omniprésent dans l'activité agricole à Doukkala, où les agricultures et les éleveurs de chevaux s'en servent dans les opérations de labour et de battage, entre autres.
Selon Haj Ali, un agriculteur de la commune rurale d'El Aounat, le cheval a une grande importance pour la population de Doukkala à bien des égards.
En plus d'être un élément essentiel de la Tbourida qui fait partie intégrante du patrimoine culturel marocain, le cheval sert également pour le déplacement et est utilisé aussi dans diverses tâches agricoles, étant donné sa grande endurance.
Toutefois, Haj Ali souligne que l'élevage des chevaux n'est pas chose aisée notamment sur le plan financier, à cause des dépenses liées à l'achat de fourrage et aux frais de déplacement pour la participation aux différentes manifestations religieuses et nationales.
Ce lien spécial profondément enraciné dans l'Histoire se reflète essentiellement dans les festivités, les festivals et les Moussems organisés dans la région, où la Tbourida, qui repose sur le cheval comme élément central du spectacle et des célébrations, constitue l'un des principaux pans du patrimoine local.
La Tbourida représente également le plus important rituel de célébration des chevaux à la fin de chaque saison agricole. Les agriculteurs de la région de Doukkala ont fait du Moussem Moulay Abdellah Amghar, depuis des centaines d'années, un rendez-vous incontournable au début du mois d'août pour se réunir et se rassembler autour de festivités et de spectacles divers célébrant l'art de Tbourida et le cheval.
Outre les rencontres familiales, l'organisation de festins et l'accueil de visiteurs venant des différentes régions du Royaume, le Moussem fait la part belle aux spectacles de Tbourida, sans oublier la musique et le chant pour exprimer la joie et la gratitude, notamment lorsqu'une saison agricole est prospère.
L'édition 2022 du Moussem Moulay Abdellah Amghar, dont le coup d'envoi a été donné vendredi dernier et qui se poursuivra jusqu'au 12 août courant, devrait connaitre la participation de quelque 140 sorbas et 2000 cavaliers, ce qui constitue un record pour cette manifestation.
En plus de la Tbourida, la région connait régulièrement l'organisation de courses hippiques. Les chevaux prenant part à ces courses diffèrent de ceux utilisés dans les spectacles de Tbourida, que ce soit en termes de caractéristiques, d'équipements ou de valeur marchande. Ces différences concernent également la selle utilisée dans les spectacles de Tbourida et celle utilisée dans les courses hippiques.
Par ailleurs, le cheval est omniprésent dans l'activité agricole à Doukkala, où les agricultures et les éleveurs de chevaux s'en servent dans les opérations de labour et de battage, entre autres.
Selon Haj Ali, un agriculteur de la commune rurale d'El Aounat, le cheval a une grande importance pour la population de Doukkala à bien des égards.
En plus d'être un élément essentiel de la Tbourida qui fait partie intégrante du patrimoine culturel marocain, le cheval sert également pour le déplacement et est utilisé aussi dans diverses tâches agricoles, étant donné sa grande endurance.
Toutefois, Haj Ali souligne que l'élevage des chevaux n'est pas chose aisée notamment sur le plan financier, à cause des dépenses liées à l'achat de fourrage et aux frais de déplacement pour la participation aux différentes manifestations religieuses et nationales.