Malgré le fait que les élections du 8 septembre se sont déroulées dans le respect des prérogatives juridiques en vigueur, certaines irrégularités ont été soulevées, c’est du moins ce que ressort du rapport préliminaire du CAOE.
Présenté lors d’une conférence de presse, tenue vendredi dernier, ledit rapport a fait savoir que les observateur ont pu observer que, dans 17,1% des cas, des candidats ont eu recours à l’argent pendant la campagne électorale pour attirer les électeurs, faisant savoir qu’il a relevé 16 cas d’usage d’argent lors de la phase de dépôt des candidatures.
Lors de la même période, 23 et 12 cas de violence, de harcèlement ou de discrimination ont été observés, respectivement par un parti et par les autorités à l’encontre d’un candidat ou candidate
Ainsi, les observateurs ont pointé du doigt la neutralité négative des autorités dans 97% des cas face à l’exploitation de projets et de biens publics à des fins électorales, faisant savoir que 55,4% des bureaux de dépôt de candidatures n’étaient pas accessibles aux personnes en situations de handicap.
Des candidates victimes de violence dans 5,6% des cas
Se basant sur 950 formulaires collectés par les observateurs pour attirer l’attention sur les irrégularités, le CAOE a indiqué que dans 44% des cas, les partis politiques ont exploité des enfants dans leurs campagnes électorales, tandis qu’ils ont tenté d’acheter des voix dans 11,4% des cas.
Le collectif a relevé que des slogans à caractère raciste ou discriminatoire ont été relayés dans 6% des cas, soulignant que des candidates ou électrices ont été victimes d’acte de violence dans 5,6% des cas.
En effet, 95% des présidents des bureaux de vote sont des hommes, tandis que les femmes ne représentaient pas plus de 5%, a-t-il fait remarquer. Un fait remarqué sur la base de l’observation de 10.584 bureaux de vote le jour du scrutin.
Par ailleurs, les observateurs ont précisé que l’interruption des votes a été observée dans 13% des bureaux de vote et que 11% de ces derniers n’ont pas remis les PV de comptage et de dépouillement aux représentants des candidats et des partis.
Présenté lors d’une conférence de presse, tenue vendredi dernier, ledit rapport a fait savoir que les observateur ont pu observer que, dans 17,1% des cas, des candidats ont eu recours à l’argent pendant la campagne électorale pour attirer les électeurs, faisant savoir qu’il a relevé 16 cas d’usage d’argent lors de la phase de dépôt des candidatures.
Lors de la même période, 23 et 12 cas de violence, de harcèlement ou de discrimination ont été observés, respectivement par un parti et par les autorités à l’encontre d’un candidat ou candidate
Ainsi, les observateurs ont pointé du doigt la neutralité négative des autorités dans 97% des cas face à l’exploitation de projets et de biens publics à des fins électorales, faisant savoir que 55,4% des bureaux de dépôt de candidatures n’étaient pas accessibles aux personnes en situations de handicap.
Des candidates victimes de violence dans 5,6% des cas
Se basant sur 950 formulaires collectés par les observateurs pour attirer l’attention sur les irrégularités, le CAOE a indiqué que dans 44% des cas, les partis politiques ont exploité des enfants dans leurs campagnes électorales, tandis qu’ils ont tenté d’acheter des voix dans 11,4% des cas.
Le collectif a relevé que des slogans à caractère raciste ou discriminatoire ont été relayés dans 6% des cas, soulignant que des candidates ou électrices ont été victimes d’acte de violence dans 5,6% des cas.
En effet, 95% des présidents des bureaux de vote sont des hommes, tandis que les femmes ne représentaient pas plus de 5%, a-t-il fait remarquer. Un fait remarqué sur la base de l’observation de 10.584 bureaux de vote le jour du scrutin.
Par ailleurs, les observateurs ont précisé que l’interruption des votes a été observée dans 13% des bureaux de vote et que 11% de ces derniers n’ont pas remis les PV de comptage et de dépouillement aux représentants des candidats et des partis.