CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP
L’allocution publique d’Emmanuel Macron n’a pas laissé ses auditeurs indifférents. Attendu sur la question du Covid, ce dernier a largement débordé, s’exprimant de manière explicite sur son bilan présidentiel. Le président français a évoqué les impératifs des cinq derniers mois de son quinquennat avec une ouverture sur sa vision pour l’avenir.
La question sanitaire est la première évoquée, avec un resserrement des mesures surtout pour les seniors. Une troisième dose de vaccin devient obligatoire pour les seniors de plus de 65 ans, sous peine de perdre leur pass sanitaire. Une « dureté » présidentielle justifiée par la ré-augmentation du nombre d’infectés en France.
Emmanuel Macron rappelle aussi aux 6 millions de personnes non vaccinées en France de se vacciner dans les plus brefs délais.
En ce qui concerne le nucléaire, l’un des thèmes de la pré-campagne présidentielle, il marque l’attachement de la droite française en faveur de cette énergie. « Si nous voulons payer notre énergie à des tarifs raisonnables et ne pas dépendre de l’étranger, il nous faut tout à la fois continuer d’économiser l’énergie et d'investir dans la production d’énergies décarbonnées sur notre sol », a-t-il déclaré.
Le chômage et la problématique des chômeurs sont aussi à l’ordre du jour. En effet, Emmanuel Macron a annoncé que le versement des allocations chômage peut être suspendu pour « les demandeurs d’emploi qui ne démontrent pas une recherche active ». Il se félicite que le taux de chômage français des jeunes est plus bas depuis quinze ans, soulignant les résultats de la politique entreprise dans la lutte contre la crise des jeunes. Un rappel important dans sa future plus que possible candidature à la présidentielle.
Une allocation perçue par la grande majorité de ses disciples politiques comme « une instrumentalisation de la crise Covid pour faire un discours de campagne », selon Valérie Pécresse à l’antenne de France Inter ce matin. Il s’agit d’un discours de « presque » candidat pour beaucoup.
Avec une fin de déclaration visant directement ces possibles opposants (Marine le Pen et Eric Zemmour) Macron appelle les Français à « endosser un esprit de résistance » et à ne pas se soumettre « aux dogmes, aux obscurantismes, et au retour du nationalisme ». Reste à savoir si sa candidature sera officielle dans les semaines qui arrivent. Nul doute après ces paroles.
La question sanitaire est la première évoquée, avec un resserrement des mesures surtout pour les seniors. Une troisième dose de vaccin devient obligatoire pour les seniors de plus de 65 ans, sous peine de perdre leur pass sanitaire. Une « dureté » présidentielle justifiée par la ré-augmentation du nombre d’infectés en France.
Emmanuel Macron rappelle aussi aux 6 millions de personnes non vaccinées en France de se vacciner dans les plus brefs délais.
En ce qui concerne le nucléaire, l’un des thèmes de la pré-campagne présidentielle, il marque l’attachement de la droite française en faveur de cette énergie. « Si nous voulons payer notre énergie à des tarifs raisonnables et ne pas dépendre de l’étranger, il nous faut tout à la fois continuer d’économiser l’énergie et d'investir dans la production d’énergies décarbonnées sur notre sol », a-t-il déclaré.
Le chômage et la problématique des chômeurs sont aussi à l’ordre du jour. En effet, Emmanuel Macron a annoncé que le versement des allocations chômage peut être suspendu pour « les demandeurs d’emploi qui ne démontrent pas une recherche active ». Il se félicite que le taux de chômage français des jeunes est plus bas depuis quinze ans, soulignant les résultats de la politique entreprise dans la lutte contre la crise des jeunes. Un rappel important dans sa future plus que possible candidature à la présidentielle.
Une allocation perçue par la grande majorité de ses disciples politiques comme « une instrumentalisation de la crise Covid pour faire un discours de campagne », selon Valérie Pécresse à l’antenne de France Inter ce matin. Il s’agit d’un discours de « presque » candidat pour beaucoup.
Avec une fin de déclaration visant directement ces possibles opposants (Marine le Pen et Eric Zemmour) Macron appelle les Français à « endosser un esprit de résistance » et à ne pas se soumettre « aux dogmes, aux obscurantismes, et au retour du nationalisme ». Reste à savoir si sa candidature sera officielle dans les semaines qui arrivent. Nul doute après ces paroles.