Les représentants dudit parti appellent le gouvernement central à empêcher les imams marocains à continuer d'exercer dans les mosquées de Sebta, a indiqué le média espagnol, faisant savoir que Vox a déposé une proposition à l’Assemblée de la ville pour concrétiser ses objectifs hostiles à l’encontre du Maroc.
Le parti d’extrême droite, prônant un discours haineux, xénophobe et raciste, a stigmatisé la présence de ces imams, envoyés par le ministère des Habous et des Affaires islamiques, comme étant l’un des éléments qui marocanisent la ville de Sebta, a rapporté « El Faro ».
« L'un des éléments qui marocanisent la ville est que la quasi-totalité des imams sont marocains », avait indiqué Santiago Abascal, président de Vox, lors de sa dernière visite à Sebta, avertissant qu'il existe des politiciens et certains secteurs qui ne servent que les intérêts du Maroc.
La même source a souligné que Vox défend le remplacement des imams payés par le Maroc par d'autres dirigés et formés par des organisations 100% espagnoles et indépendantes de pays tiers.
Cette proposition, ajoute-elle, est perçue comme une riposte à la plainte déposée par le Mouvement pour la Dignité et la Citoyenneté (MDyC) après des propos haineux tenus par des députés dudit parti : « La Troisième guerre mondiale sera contre l’islam (…) nous avalerons des Maures à outrance », se seraient-ils réjouis.
Outre cela, les élus de Vox entendent également contre-attaquer la députée d'origine marocaine et porte-parole de MDyC, Fatima Hamed, qui avait publié un tweet contre Abascal, réclamant de le déclarer « personna non grata à Sebta ».
A noter qu’en 2019, les autorités espagnoles et algériennes auraient scellé un accord sur la gestion des affaires religieuses dans les mosquées des présides occupés Sebta et Mellilia. Un projet qui n’a pas pu atteindre ses objectifs escomptés suite aux mesures restrictives mises en place pour juguler la propagation du Covid-19.
Le parti d’extrême droite, prônant un discours haineux, xénophobe et raciste, a stigmatisé la présence de ces imams, envoyés par le ministère des Habous et des Affaires islamiques, comme étant l’un des éléments qui marocanisent la ville de Sebta, a rapporté « El Faro ».
« L'un des éléments qui marocanisent la ville est que la quasi-totalité des imams sont marocains », avait indiqué Santiago Abascal, président de Vox, lors de sa dernière visite à Sebta, avertissant qu'il existe des politiciens et certains secteurs qui ne servent que les intérêts du Maroc.
La même source a souligné que Vox défend le remplacement des imams payés par le Maroc par d'autres dirigés et formés par des organisations 100% espagnoles et indépendantes de pays tiers.
Cette proposition, ajoute-elle, est perçue comme une riposte à la plainte déposée par le Mouvement pour la Dignité et la Citoyenneté (MDyC) après des propos haineux tenus par des députés dudit parti : « La Troisième guerre mondiale sera contre l’islam (…) nous avalerons des Maures à outrance », se seraient-ils réjouis.
Outre cela, les élus de Vox entendent également contre-attaquer la députée d'origine marocaine et porte-parole de MDyC, Fatima Hamed, qui avait publié un tweet contre Abascal, réclamant de le déclarer « personna non grata à Sebta ».
A noter qu’en 2019, les autorités espagnoles et algériennes auraient scellé un accord sur la gestion des affaires religieuses dans les mosquées des présides occupés Sebta et Mellilia. Un projet qui n’a pas pu atteindre ses objectifs escomptés suite aux mesures restrictives mises en place pour juguler la propagation du Covid-19.