M. André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi et Président-Fondateur de l’Association Essaouira-Mogador a affirmé que “Islam et Judaïsme sont par essence des civilisations du Livre où le Droit, le Savoir et la Science ont fait corps avec la théologie”, à l’ouverture de la rencontre, samedi 14 novembre. Il a souligné que “Bayt Dakira” a “placé Mémoire, Histoire et Droit au cœur de la même démarche”. S’exprimant à l’ouverture de la Rencontre scientifique du Centre d’Etudes et de Recherches sur le Droit Hébraïque au Maroc, M. Azoulay a mis en relief l’enracinement historique et culturel du droit hébraïque en terre d’Islam, en rappelant la centralité et la modernité pionnière des enseignements de l’Université Karaouiyine à Fès, les Responsa de Maïmonide (Ibn Maïmoun) et les apports de Bayt Al Hikma à Bagdad.
C’est dans la perspective de cette profondeur historique de près d’un millénaire que, “Bayt Dakira” a choisi d’inscrire sa démarche en abritant le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Droit Hébraïque au Maroc, “fruit de l’engagement visionnaire du professeur Abdellah Ouzitane, président-fondateur du Centre, et du professeur Farid El Bacha, Doyen de la Faculté de Droit de l’Université Mohammed V de Rabat”, a-t-il soutenu.
“Chacun comprendra également pourquoi dès le début de nos travaux nous avons délibérément choisi d’associer à la vocation mémorielle et historique de Bayt Dakira, la discipline du Droit adossée à la riche singularité et à la résilience séculaire du statut personnel juif dans notre droit national”, a souligné le Conseiller de SM le Roi en conclusion.
Initiée par le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Droit Hébraïque au Maroc, la Fondation Konrad Adenauer au Maroc et l’Association Essaouira-Mogador, cette Rencontre scientifique et académique a connu la participation d’un ensemble d’experts, de chercheurs et de professeurs universitaires marocains et étrangers de renom.
“De la norme hébraïque ou statut personnel israélite : l’intégration juridique de la communauté juive dans la nation marocaine”, “Interdépendance des droits coutumiers hébraïque et amazigh”, “Identité et dialogue ou comment contrer les réflexes identitaires et le monologue de nos certitudes”, “Droit d’appartenance et identité, Bayt Dakira comme modèle”, “Droits coutumiers et sanctuaires, le culte des saints juifs marocains” et “Le système juridique hébraïque : jusqu’où remonte-t-il dans l’histoire du Maroc ?”, sont autant de thématiques qui ont été abordées au cours de ce séminaire.
C’est dans la perspective de cette profondeur historique de près d’un millénaire que, “Bayt Dakira” a choisi d’inscrire sa démarche en abritant le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Droit Hébraïque au Maroc, “fruit de l’engagement visionnaire du professeur Abdellah Ouzitane, président-fondateur du Centre, et du professeur Farid El Bacha, Doyen de la Faculté de Droit de l’Université Mohammed V de Rabat”, a-t-il soutenu.
“Chacun comprendra également pourquoi dès le début de nos travaux nous avons délibérément choisi d’associer à la vocation mémorielle et historique de Bayt Dakira, la discipline du Droit adossée à la riche singularité et à la résilience séculaire du statut personnel juif dans notre droit national”, a souligné le Conseiller de SM le Roi en conclusion.
Initiée par le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Droit Hébraïque au Maroc, la Fondation Konrad Adenauer au Maroc et l’Association Essaouira-Mogador, cette Rencontre scientifique et académique a connu la participation d’un ensemble d’experts, de chercheurs et de professeurs universitaires marocains et étrangers de renom.
“De la norme hébraïque ou statut personnel israélite : l’intégration juridique de la communauté juive dans la nation marocaine”, “Interdépendance des droits coutumiers hébraïque et amazigh”, “Identité et dialogue ou comment contrer les réflexes identitaires et le monologue de nos certitudes”, “Droit d’appartenance et identité, Bayt Dakira comme modèle”, “Droits coutumiers et sanctuaires, le culte des saints juifs marocains” et “Le système juridique hébraïque : jusqu’où remonte-t-il dans l’histoire du Maroc ?”, sont autant de thématiques qui ont été abordées au cours de ce séminaire.
M.B. (avec MAP)
