Initiée en partenariat avec la Fondation allemande Friedrich Naumann pour la liberté et la Commune d’Essaouira, cette rencontre se voulait un espace de débats entre les différentes parties prenantes de la ville, concernées par la problématique de la mobilité.
Elle visait aussi à créer une plateforme de discussions et d’échange entre les participants sur les conclusions d’une étude, réalisée par les initiateurs de cette journée d’étude et de sensibilisation, sur les besoins de mobilité, un projet conduit pendant 6 mois et qui a donné fruit à un ouvrage dédié à cette question.
Intervenant à l’ouverture de cette rencontre, la présidente du CI2RC, Pr Kholoud Kahime, a présenté un aperçu sur le Centre et sa vision à propos du besoin de la transition d’Essaouira vers une ville écologique adoptant les modes de la mobilité douce. Dans ce cadre, elle a souligné l’importance de la mobilisation et de l’engagement de tous les acteurs, estimant que tout le monde est concerné, aussi bien les pouvoirs publics que les entreprises et les citoyens pour relever ce défi, en proposant, voire en offrant une gamme de solutions de mobilité à disposition, adaptées au territoire souiri.
Par la suite, Mme Kahime et M. Mustapha Zahir, professeur à l’Ecole Supérieure de Technologie et viceprésident du CI2RC, ont passé en revue les résultats de «l’Etude des besoins en mobilité à Essaouira : Vers une perspective de durabilité». Les participants au débat ont été unanimes à souligner l’importance et l’intérêt d’une telle recherche innovatrice dont la ville avait besoin. Ils ont, d’ailleurs, manifesté leur intérêt pour d’autres projets d’étude qui auront sans cesse un impact majeur sur les politiques sectorielles dans la cité des Alizés.
Les intervenants ont, en outre, émis plusieurs remarques et observations, à travers lesquelles ils ont notamment déploré la non prise de conscience par la population de la gravité des problèmes de l’environnement, tout en mettant l’accent sur le rôle prépondérant des associations, surtout en termes de conscientisation et de sensibilisation des habitants aux problèmes écologiques.
Ils ont, dans ce sillage, fait remarquer que la sensibilisation doit commencer par les élèves dans les établissements scolaires, mettant en relief la nécessité, voire l’impératif d’une forte implication citoyenne. Relevant le problème de parking, qui se pose avec acuité pendant l’été et les vacances, ils ont insisté sur l’importance de mener des actions de sensibilisation afin d’encourager l’utilisation des vélos.
Dans ce cadre, ils ont plaidé pour la création de «plans vélo» afin de faire de ce moyen un mode de transport unique et la construction de pistes cyclables, ainsi que pour l’organisation d’une «Journée Essaouira-vélo» et la mise sur pied d’un projet «Abonnement vélos».
Elle visait aussi à créer une plateforme de discussions et d’échange entre les participants sur les conclusions d’une étude, réalisée par les initiateurs de cette journée d’étude et de sensibilisation, sur les besoins de mobilité, un projet conduit pendant 6 mois et qui a donné fruit à un ouvrage dédié à cette question.
Intervenant à l’ouverture de cette rencontre, la présidente du CI2RC, Pr Kholoud Kahime, a présenté un aperçu sur le Centre et sa vision à propos du besoin de la transition d’Essaouira vers une ville écologique adoptant les modes de la mobilité douce. Dans ce cadre, elle a souligné l’importance de la mobilisation et de l’engagement de tous les acteurs, estimant que tout le monde est concerné, aussi bien les pouvoirs publics que les entreprises et les citoyens pour relever ce défi, en proposant, voire en offrant une gamme de solutions de mobilité à disposition, adaptées au territoire souiri.
Par la suite, Mme Kahime et M. Mustapha Zahir, professeur à l’Ecole Supérieure de Technologie et viceprésident du CI2RC, ont passé en revue les résultats de «l’Etude des besoins en mobilité à Essaouira : Vers une perspective de durabilité». Les participants au débat ont été unanimes à souligner l’importance et l’intérêt d’une telle recherche innovatrice dont la ville avait besoin. Ils ont, d’ailleurs, manifesté leur intérêt pour d’autres projets d’étude qui auront sans cesse un impact majeur sur les politiques sectorielles dans la cité des Alizés.
Les intervenants ont, en outre, émis plusieurs remarques et observations, à travers lesquelles ils ont notamment déploré la non prise de conscience par la population de la gravité des problèmes de l’environnement, tout en mettant l’accent sur le rôle prépondérant des associations, surtout en termes de conscientisation et de sensibilisation des habitants aux problèmes écologiques.
Ils ont, dans ce sillage, fait remarquer que la sensibilisation doit commencer par les élèves dans les établissements scolaires, mettant en relief la nécessité, voire l’impératif d’une forte implication citoyenne. Relevant le problème de parking, qui se pose avec acuité pendant l’été et les vacances, ils ont insisté sur l’importance de mener des actions de sensibilisation afin d’encourager l’utilisation des vélos.
Dans ce cadre, ils ont plaidé pour la création de «plans vélo» afin de faire de ce moyen un mode de transport unique et la construction de pistes cyclables, ainsi que pour l’organisation d’une «Journée Essaouira-vélo» et la mise sur pied d’un projet «Abonnement vélos».