L’Ecole nationale d’architecture de Marrakech (ENAM) a organisé, mercredi, une journée d’étude scientifique à distance, sous le thème « Essaouira : un patrimoine universel à repenser ». Cette rencontre présidée par le Dr Abdelghani Tayyibi, directeur de l’ENA Marrakech, a été présentée par le professeur Mina El Mghari et coordonnée par le professeur Ovara Fatima Al Zahra. Elle s’inscrit dans le cadre des cycles de formation des étudiants de l’école, parallèlement à la sixième édition du Forum international d’architecture Forum al Mi’mâr, que l’école organise chaque année, souligne Dr Abdelghani Tayyibi, notant que Mme Mina El Mghari, spécialiste en histoire d’architecture et du patrimoine, est connue et reconnue, entre autres, pour son militantisme en faveur de la préservation du patrimoine matériel et immatériel du Royaume, avec un intérêt tout particulier pour celui de la ville d’Essaouira.
S’arrêtant sur le thème de cette rencontre, Mme Mina El Mghari, a n’a pas manqué d’évoquer à cette occasion le projet de réhabilitation de la Médina d’Essaouira, une initiative fort « louable » qui mérite d’être soutenue, a-t-elle souligné. Elle a insisté à ce sujet sur l’impératif de veiller, dans le cadre de ce projet, au respect strict des matériaux de construction d’origine, notamment la pierre taillée (Al Manjur), et aux tracés des arcs sur les bâtisses, sachant que leurs différentes formes démontrent de manière claire les différentes étapes historiques de la ville.
« Le projet de réhabilitation de la Médina d’Essaouira doit servir de modèle à suivre car nous avons l’obligation de préserver jalousement tout un patrimoine universel de l’humanité, qui nous a été transmis par nos aïeux », a-t-elle conclu.
Des débats distingués animés par de nombreux participants qui ont été unanimes pour faire des écoles et universités, l’espace principal et idoine pour mettre en évidence l’intérêt des mécanismes de promotion d’Essaouira en tant que patrimoine mondial...
À cet effet, les intervenants ont mis en exergue la nécessité de mettre en œuvre un ensemble de propositions procédurales, invitant les écoles et instituts spécialisés à la formation d’une nouvelle génération d’architectes imprégnés de principes et connaissances, qui assureraient son alignement, etc...
M. André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a assisté à cette rencontre, ainsi que d’autres éminentes personnalités, membres de la Maison de la Mémoire de la ville d’Essaouira, outre les professeurs, étudiants et architectes.
S’arrêtant sur le thème de cette rencontre, Mme Mina El Mghari, a n’a pas manqué d’évoquer à cette occasion le projet de réhabilitation de la Médina d’Essaouira, une initiative fort « louable » qui mérite d’être soutenue, a-t-elle souligné. Elle a insisté à ce sujet sur l’impératif de veiller, dans le cadre de ce projet, au respect strict des matériaux de construction d’origine, notamment la pierre taillée (Al Manjur), et aux tracés des arcs sur les bâtisses, sachant que leurs différentes formes démontrent de manière claire les différentes étapes historiques de la ville.
« Le projet de réhabilitation de la Médina d’Essaouira doit servir de modèle à suivre car nous avons l’obligation de préserver jalousement tout un patrimoine universel de l’humanité, qui nous a été transmis par nos aïeux », a-t-elle conclu.
Des débats distingués animés par de nombreux participants qui ont été unanimes pour faire des écoles et universités, l’espace principal et idoine pour mettre en évidence l’intérêt des mécanismes de promotion d’Essaouira en tant que patrimoine mondial...
À cet effet, les intervenants ont mis en exergue la nécessité de mettre en œuvre un ensemble de propositions procédurales, invitant les écoles et instituts spécialisés à la formation d’une nouvelle génération d’architectes imprégnés de principes et connaissances, qui assureraient son alignement, etc...
M. André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a assisté à cette rencontre, ainsi que d’autres éminentes personnalités, membres de la Maison de la Mémoire de la ville d’Essaouira, outre les professeurs, étudiants et architectes.
Mohamed LOKHNATI