Une première dans l’histoire du pays. Le président élu des Etats-Unis, Joe Biden, a annoncé, la composition de son équipe de communication à la Maison Blanche, qui sera exclusivement féminine.
L’ancien vice-président de Barack Obama continue de composer son équipe gouvernementale. Dans un communiqué, il a annoncé dimanche avoir nommé une équipe de communication composée uniquement de femmes, indiquant qu’il s’agissait d’une première dans l’histoire de la Maison blanche.
Jen Psaki, ancienne porte-parole du département d’Etat au sein de l’administration Obama, a été nommée porte-parole de la Maison blanche, tandis que la porte-parole de la campagne Biden.
En plus de Jen Psaki, six autres femmes ont été nommées. Parmi elles, Kate Bedingfield, directrice adjointe de campagne de Joe Biden, qui va devenir directrice de la communication de la Maison Blanche. Elle aussi a déjà officié en tant que directrice de la communication de Joe Biden, alors qu’il était vice-président. Ashley Etienne deviendra directrice de la communication de Kamala Harris et Symone Sanders est propulsée conseillère et porte-parole de la vice-présidente. Pili Tobar a été nommée directrice adjointe à la communication de la Maison Blanche et Karine JeanPierre, attachée de presse adjointe. Elizabeth Alexander sera la directrice de communication de la future Première dame Jill Biden.
Ces nominations ne nécessitent pas la confirmation du Sénat, contrairement à la plupart des postes du cabinet. D’autres nominations devraient intervenir dans la semaine.
Selon le New York Times, elles comprendront celle de Cecilia Rouse à la tête du Cercle des conseillers économiques du président, première femme noire à ce poste. Neera Tanden prendrait la direction du Bureau de la gestion et du budget, première Amérindienne à cette position.
Joe Biden a aussi annoncé lundi qu’il avait nommé l’Américaine d’origine palestinienne Reema Dodin au poste de directrice adjointe des affaires législatives de la Maison Blanche au sein du nouveau gouvernement. Dodin sera la femme palestino-américaine la plus haut placée à jamais avoir servi dans le pouvoir exécutif. Elle travaillera aux côtés de sa collègue Shuwanza Goff, qui sera la première femme noire à occuper ce poste.
Pendant ce temps, Trump crie toujours à la fraude
Les républicains sont de plus en plus nombreux à se résigner et à croire inévitable une transition vers une présidence du démocrate Joe Biden. Mais Donald Trump s’est interrogé dimanche sur l’hypothèse que la Cour suprême américaine puisse être saisie pour étudier les accusations de fraude électorale qu’il continue à formuler sans fondements.
Toutefois, les commentaires effectués lors d’un entretien téléphonique avec la chaîne Fox News suggèrent que le président républicain sortant commence à se résigner à ne pas voir les résultats de l’élection présidentielle du 3 novembre être inversés, bien qu’il a à nouveau promis de poursuivre sa bataille juridique, dénonçant sans preuve de vastes irrégularités.
Une cour d’appel fédérale a débouté vendredi l’équipe de campagne Trump qui demandait à ce que soit bloquée l’annonce de la victoire de Joe Biden en Pennsylvanie, un nouveau revers significatif pour l’actuel locataire de la Maison Blanche et ses conseillers.
Mais Donald Trump n’en démord pas et a profité de son entretien à la chaîne Fox News pour réitérer ses accusations sans fondement de fraude électorale. Il n’a cependant pas clairement dit ce qu’il comptait désormais entreprendre.
«Le problème, c’est qu’il est difficile de porter cela devant la Cour suprême», a-t-il déclaré. L’équipe juridique du président sortant a livré des communiqués conflictuels sur la voie qu’elle entendait suivre après le dernier revers en date subi pour les résultats de l’élection présidentielle en Pennsylvanie.
Investiture de Biden le 20 Janvier
Il a toujours été peu probable que la Cour suprême américaine inverse l’issue du scrutin en faveur de Donald Trump et celui-ci semble enfin admettre cette réalité, a déclaré Jessica Levison, enseignante à l’école de droit Loyola à Los Angeles. «Il n’y a pas matière à trancher pour la Cour suprême», a-t-elle dit. Donald Trump a assuré qu’il continuerait de contester les résultats au-delà de la date à laquelle il doit quitter la Maison blanche, déclarant que «mon opinion ne changera pas dans six mois».
Le sénateur républicain Roy Blunt, qui dirige la commission du Congrès en charge de l’organisation de la cérémonie d’investiture, a déclaré que la commission s’attendait à ce que Joe Biden soit investi à la Maison blanche le 20 janvier.
Le gouverneur de l’Arkansas, Asa Hutchinson, l’un des rares républicains à faire référence à Joe Biden comme le président élu, a déclaré à Fox News que l’important était «la transition». «Les propos du président Trump ne sont pas aussi importants».
L’ancien vice-président de Barack Obama continue de composer son équipe gouvernementale. Dans un communiqué, il a annoncé dimanche avoir nommé une équipe de communication composée uniquement de femmes, indiquant qu’il s’agissait d’une première dans l’histoire de la Maison blanche.
Jen Psaki, ancienne porte-parole du département d’Etat au sein de l’administration Obama, a été nommée porte-parole de la Maison blanche, tandis que la porte-parole de la campagne Biden.
En plus de Jen Psaki, six autres femmes ont été nommées. Parmi elles, Kate Bedingfield, directrice adjointe de campagne de Joe Biden, qui va devenir directrice de la communication de la Maison Blanche. Elle aussi a déjà officié en tant que directrice de la communication de Joe Biden, alors qu’il était vice-président. Ashley Etienne deviendra directrice de la communication de Kamala Harris et Symone Sanders est propulsée conseillère et porte-parole de la vice-présidente. Pili Tobar a été nommée directrice adjointe à la communication de la Maison Blanche et Karine JeanPierre, attachée de presse adjointe. Elizabeth Alexander sera la directrice de communication de la future Première dame Jill Biden.
Ces nominations ne nécessitent pas la confirmation du Sénat, contrairement à la plupart des postes du cabinet. D’autres nominations devraient intervenir dans la semaine.
Selon le New York Times, elles comprendront celle de Cecilia Rouse à la tête du Cercle des conseillers économiques du président, première femme noire à ce poste. Neera Tanden prendrait la direction du Bureau de la gestion et du budget, première Amérindienne à cette position.
Joe Biden a aussi annoncé lundi qu’il avait nommé l’Américaine d’origine palestinienne Reema Dodin au poste de directrice adjointe des affaires législatives de la Maison Blanche au sein du nouveau gouvernement. Dodin sera la femme palestino-américaine la plus haut placée à jamais avoir servi dans le pouvoir exécutif. Elle travaillera aux côtés de sa collègue Shuwanza Goff, qui sera la première femme noire à occuper ce poste.
Pendant ce temps, Trump crie toujours à la fraude
Les républicains sont de plus en plus nombreux à se résigner et à croire inévitable une transition vers une présidence du démocrate Joe Biden. Mais Donald Trump s’est interrogé dimanche sur l’hypothèse que la Cour suprême américaine puisse être saisie pour étudier les accusations de fraude électorale qu’il continue à formuler sans fondements.
Toutefois, les commentaires effectués lors d’un entretien téléphonique avec la chaîne Fox News suggèrent que le président républicain sortant commence à se résigner à ne pas voir les résultats de l’élection présidentielle du 3 novembre être inversés, bien qu’il a à nouveau promis de poursuivre sa bataille juridique, dénonçant sans preuve de vastes irrégularités.
Une cour d’appel fédérale a débouté vendredi l’équipe de campagne Trump qui demandait à ce que soit bloquée l’annonce de la victoire de Joe Biden en Pennsylvanie, un nouveau revers significatif pour l’actuel locataire de la Maison Blanche et ses conseillers.
Mais Donald Trump n’en démord pas et a profité de son entretien à la chaîne Fox News pour réitérer ses accusations sans fondement de fraude électorale. Il n’a cependant pas clairement dit ce qu’il comptait désormais entreprendre.
«Le problème, c’est qu’il est difficile de porter cela devant la Cour suprême», a-t-il déclaré. L’équipe juridique du président sortant a livré des communiqués conflictuels sur la voie qu’elle entendait suivre après le dernier revers en date subi pour les résultats de l’élection présidentielle en Pennsylvanie.
Investiture de Biden le 20 Janvier
Il a toujours été peu probable que la Cour suprême américaine inverse l’issue du scrutin en faveur de Donald Trump et celui-ci semble enfin admettre cette réalité, a déclaré Jessica Levison, enseignante à l’école de droit Loyola à Los Angeles. «Il n’y a pas matière à trancher pour la Cour suprême», a-t-elle dit. Donald Trump a assuré qu’il continuerait de contester les résultats au-delà de la date à laquelle il doit quitter la Maison blanche, déclarant que «mon opinion ne changera pas dans six mois».
Le sénateur républicain Roy Blunt, qui dirige la commission du Congrès en charge de l’organisation de la cérémonie d’investiture, a déclaré que la commission s’attendait à ce que Joe Biden soit investi à la Maison blanche le 20 janvier.
Le gouverneur de l’Arkansas, Asa Hutchinson, l’un des rares républicains à faire référence à Joe Biden comme le président élu, a déclaré à Fox News que l’important était «la transition». «Les propos du président Trump ne sont pas aussi importants».
Encadré
Une Palestino-Américaine directrice législative adjointe
Le président élu Joe Biden a nommé une palestino américaine, collaboratrice de longue date au Capitol Hill dans son équipe des affaires législatives. Reema Dodin est- directrice-adjoint du bureau des affaires législatives de la Maison Blanche. Dodin a déjà travaillé au sein de l’équipe de transition, menant son engagement législatif avec les législateurs au Capitol Hill. Elle est également chef de cabinet adjoint et directrice d’étage du sénateur démocrate de l’Illinois Dick Durbin. Dodin rejoint Louisa Terrell, qui a récemment été nommée directrice du Bureau des affaires législatives de la Maison Blanche. Reema Dodin, membre de longue date du personnel du Sénat, est décrite comme «un élément du Sénat qui sait ce qui se passe au Sénat avant la plupart des sénateurs» Dodin sera la femme palestino-américaine la plus haut placée à jamais avoir servi dans le pouvoir exécutif. Elle travaillera aux côtés de sa collègue Shuwanza Goff, qui sera la première femme noire à occuper ce poste.