L'ex-journaliste E. Jean Carroll, à qui Donald Trump doit déjà verser 5 millions de dollars pour une agression sexuelle en 1996, a déposé lundi une nouvelle plainte en diffamation pour des propos de l'ancien président américain après le verdict. « Elle est tarée », avait notamment lancé le candidat à la primaire républicaine pour la présidentielle 2024, sur le plateau de CNN, au lendemain du jugement rendu le 9 mai, à l'unanimité, par un jury de neuf citoyens à New York.
Devant des spectateurs acquis à sa cause, dont certains hilares, il avait répété qu'il ne connaissait pas l'ancienne chroniqueuse du magazine Elle, fustigeant à nouveau « une histoire inventée de toutes pièces ». Des déclarations « après le verdict (qui) montrent la profondeur de sa malveillance à l'égard de Carroll », affirme, dans la nouvelle plainte, son avocate Roberta Kaplan. Elle réclame des « dommages-intérêts punitifs très importants », « pour punir Trump, pour le dissuader de se livrer à d'autres actes de diffamation et pour dissuader d'autres personnes de faire de même ».
Devant des spectateurs acquis à sa cause, dont certains hilares, il avait répété qu'il ne connaissait pas l'ancienne chroniqueuse du magazine Elle, fustigeant à nouveau « une histoire inventée de toutes pièces ». Des déclarations « après le verdict (qui) montrent la profondeur de sa malveillance à l'égard de Carroll », affirme, dans la nouvelle plainte, son avocate Roberta Kaplan. Elle réclame des « dommages-intérêts punitifs très importants », « pour punir Trump, pour le dissuader de se livrer à d'autres actes de diffamation et pour dissuader d'autres personnes de faire de même ».