Avec la situation sanitaire actuelle, les enfants sont de plus en plus nerveux et agités. Tout comme les adultes, les enfants sont soumis à des facteurs de stress au quotidien. Un rythme de vie parfois frénétique au cours duquel il est parfois difficile de retrouver le calme. Pour calmer l’agitation, la sophrologie propose des exercices ludiques conçus aussi pour les plus jeunes. Ils les aideront à se relaxer, à retrouver un meilleur sommeil et se calmer de façon autonome. Dr. Ghizlane Benamar, pédopsychiatre nous donne quelques exercices de sophrologie pour calmer les enfants.
« La relaxation permet à l’enfant de prendre conscience de son schéma corporel, de ses fonctions physiologiques, de ses aptitudes psychiques, physiques et sensorielles. La sophrologie va l’aider à être conscient de ses peurs et lui apprendre à les calmer en douceur », indique Dr. Benamar.
Au fil du temps, il va acquérir une certaine autonomie et s’approprier des exercices qui lui plaisent le mieux. Plus on l’initie tôt à bien respirer, mieux il saura gérer son stress en grandissant. « Un enfant qui sait se relaxer, gérer son stress, c’est un adulte beaucoup mieux dans sa peau », ajoute la spécialiste.
Trois exercices de sophrologie pour les enfants
L’exercice de la cible pour évacuer la colère : On demande à l’enfant de visualiser une cible devant lui. Ce n’est pas une personne, mais une chose comme un sac, un ballon dans lequel il va poser son émotion négative. Ensuite, il lève le bras à hauteur de l’épaule, il inspire et serre son poing. Il visualise cette cible puis, sur l’expiration vise avec son poing cette cible et imagine qu’il la détruit. Il répète l’exercice.
L’exercice de l’enracinement pour prendre confiance en soi : Debout, les pieds bien enracinés, l’enfant ferme les yeux et imagine qu’il est un bel arbre. L’enfant lève les bras vers le ciel comme pour se grandir, puis s’enracine, se balance. L’arbre est un symbole très fort, il représente l’enracinement, la longévité, la force et la confiance.
L’exercice lourd comme un caillou pour s’endormir apaisé : L’enfant s’installe dans la position habituelle dans laquelle il s’endort. Il inspire en gonflant le ventre, expire en le dégonflant. Peu à peu, il se sent devenir lourd comme un gros caillou, de plus en plus lourd. Au fur et à mesure, il ressent de la lourdeur dans ses bras, ses mains. La sensation de lourdeur gagne les jambes puis tout le corps. Il inspire, et à chaque fois qu’il expire, il s’enfonce un peu plus dans son matelas. Progressivement, il va glisser vers le sommeil.
« La relaxation permet à l’enfant de prendre conscience de son schéma corporel, de ses fonctions physiologiques, de ses aptitudes psychiques, physiques et sensorielles. La sophrologie va l’aider à être conscient de ses peurs et lui apprendre à les calmer en douceur », indique Dr. Benamar.
Au fil du temps, il va acquérir une certaine autonomie et s’approprier des exercices qui lui plaisent le mieux. Plus on l’initie tôt à bien respirer, mieux il saura gérer son stress en grandissant. « Un enfant qui sait se relaxer, gérer son stress, c’est un adulte beaucoup mieux dans sa peau », ajoute la spécialiste.
Trois exercices de sophrologie pour les enfants
L’exercice de la cible pour évacuer la colère : On demande à l’enfant de visualiser une cible devant lui. Ce n’est pas une personne, mais une chose comme un sac, un ballon dans lequel il va poser son émotion négative. Ensuite, il lève le bras à hauteur de l’épaule, il inspire et serre son poing. Il visualise cette cible puis, sur l’expiration vise avec son poing cette cible et imagine qu’il la détruit. Il répète l’exercice.
L’exercice de l’enracinement pour prendre confiance en soi : Debout, les pieds bien enracinés, l’enfant ferme les yeux et imagine qu’il est un bel arbre. L’enfant lève les bras vers le ciel comme pour se grandir, puis s’enracine, se balance. L’arbre est un symbole très fort, il représente l’enracinement, la longévité, la force et la confiance.
L’exercice lourd comme un caillou pour s’endormir apaisé : L’enfant s’installe dans la position habituelle dans laquelle il s’endort. Il inspire en gonflant le ventre, expire en le dégonflant. Peu à peu, il se sent devenir lourd comme un gros caillou, de plus en plus lourd. Au fur et à mesure, il ressent de la lourdeur dans ses bras, ses mains. La sensation de lourdeur gagne les jambes puis tout le corps. Il inspire, et à chaque fois qu’il expire, il s’enfonce un peu plus dans son matelas. Progressivement, il va glisser vers le sommeil.