Un haut responsable de l’ONU a alerté les États, ce vendredi, contre la restriction des exportations alimentaires, affirmant qu’elles constituaient la mauvaise réponse à une crise alimentaire mondiale, qui s’aggrave en raison de la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine, qui a commencé le 24 février dernier.
Les pays les plus pauvres ont dû faire face à la hausse des prix des denrées alimentaires, au cours des deux dernières années, mais la situation s’est aggravée en raison des pénuries causées par la guerre entre la Russie et l’Ukraine, deux grands producteurs et exportateurs de blé, entre autres denrées alimentaires.
Dans ce scénario, les gouvernements devraient «s’abstenir d’imposer des restrictions à l’exportation, qui peuvent exacerber les hausses des prix des denrées alimentaires et saper la confiance dans les marchés mondiaux», a déclaré Qu Don-gyu, le chef de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Le chef de la FAO a fait savoir qu’une plus grande transparence sur les marchés alimentaires mondiaux grâce à l’expansion d’une plate-forme des prix alimentaires hébergée par la FAO et des prêts à faible intérêt aux pays les plus pauvres, afin de les aider à faire face à leurs factures alimentaires qui ne cessent d’augmenter, pourraient atténuer la crise.
Les pays les plus pauvres ont dû faire face à la hausse des prix des denrées alimentaires, au cours des deux dernières années, mais la situation s’est aggravée en raison des pénuries causées par la guerre entre la Russie et l’Ukraine, deux grands producteurs et exportateurs de blé, entre autres denrées alimentaires.
Dans ce scénario, les gouvernements devraient «s’abstenir d’imposer des restrictions à l’exportation, qui peuvent exacerber les hausses des prix des denrées alimentaires et saper la confiance dans les marchés mondiaux», a déclaré Qu Don-gyu, le chef de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Le chef de la FAO a fait savoir qu’une plus grande transparence sur les marchés alimentaires mondiaux grâce à l’expansion d’une plate-forme des prix alimentaires hébergée par la FAO et des prêts à faible intérêt aux pays les plus pauvres, afin de les aider à faire face à leurs factures alimentaires qui ne cessent d’augmenter, pourraient atténuer la crise.