On le prédisait il y a quelques semaines sur ces mêmes lignes. L’Assemblée Générale de la Confédération Africaine de Football (CAF) ne pouvait se solder que par un écrasant succès pour le Maroc. Et ce qui devait arriver, arriva ! Non pas que l’on soit des devins, mais les signes avant-coureurs de cette double victoire marocaine, qui est la résultante logique d’un travail de longue haleine mené par les instances diplomatiques et footballistiques nationales, sous le leadership conquérant de Fouzi Lekjâa, étaient évidents.
Double victoire parce qu’elle a amené notre pays à siéger pour la première fois de son Histoire parmi le tout puissant Comité Exécutif de la FIFA, tout en réussissant à barrer la route à toute tentative de placement de la fantoma- tique RASD dans des compétitions continentales et internationales. Le tout sur fond de défaite totale du voisin algérien qui n’est parvenu à placer aucun de ses pions, ni à accéder à la moindre de ses requêtes tordues.
Double victoire parce qu’elle a amené notre pays à siéger pour la première fois de son Histoire parmi le tout puissant Comité Exécutif de la FIFA, tout en réussissant à barrer la route à toute tentative de placement de la fantoma- tique RASD dans des compétitions continentales et internationales. Le tout sur fond de défaite totale du voisin algérien qui n’est parvenu à placer aucun de ses pions, ni à accéder à la moindre de ses requêtes tordues.
Il n’en fallait pas plus pour déchaîner une vague rageuse à l’encontre du Maroc en la personne du tonitruant Président de la FRMF taxé dans les médias algériens de tous les maux, de toutes les magouilles. Cette perception biaisée des choses en dit long sur la mentalité des dirigeants algériens, qu’ils soient sportifs ou autres.
Dans un pays où tout s’acquiert et s’arrache par la force ou par la manipulation, où la méritocratie reste une notion plus qu’abstraite, l’idée même d’un succès obtenu de haute lutte et au prix d’un dur labeur avec des résultats pal- pables et concrets sur le terrain, ne trouve son chemin que dans les esprits les plus éclairés, désespérément peu nombreux.
Dans un pays où tout s’acquiert et s’arrache par la force ou par la manipulation, où la méritocratie reste une notion plus qu’abstraite, l’idée même d’un succès obtenu de haute lutte et au prix d’un dur labeur avec des résultats pal- pables et concrets sur le terrain, ne trouve son chemin que dans les esprits les plus éclairés, désespérément peu nombreux.
A ceux-là pour qui on souhaite bon courage, on leur dit que le chemin parcouru par le Maroc dans les instances footballistiques continentales et internatio- nales est l’aboutissement d’une stratégie élaborée et exécutée sur plusieurs années et non pas d’occultes manœuvres souterraines, comme veulent le faire croire les loosers.
En ce sens, la réussite marocaine est duplicable partout en Afrique, et même en Algérie, pourvu qu’il y ait de la bonne volonté, de bonnes pratiques et les bonnes personnes pour les porter... En somme, tout ce qui manque à l’actuelle Algérie.
En ce sens, la réussite marocaine est duplicable partout en Afrique, et même en Algérie, pourvu qu’il y ait de la bonne volonté, de bonnes pratiques et les bonnes personnes pour les porter... En somme, tout ce qui manque à l’actuelle Algérie.