L’entreprise de Mark Zuckerberg a rendu public, jeudi 5 octobre, son rapport mensuel dans lequel elle a annoncé la suppression de 1000 pages, groupes et comptes pour « comportement inauthentique coordonné ».
L’initiative s’inscrit dans le cadre d’une répression de l’extrémisme et de la propagande sur les réseaux sociaux et cible, par ailleurs, les campagnes et les faux comptes ayant l’intention d’influencer de manière trompeuse l’opinion publique aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale.
Mobilisation contre le radicalisme
Facebook a expliqué que les réseaux démantelés sur sa plateforme n’étaient pas liés les uns aux autres et que parmi les pays concernés figurent l’Iran, l’Afghanistan, l’Égypte, la Turquie, le Maroc, le Myanmar, la Géorgie et l’Ukraine.
«Près de 8.000 pages impliquées dans des campagnes trompeuses et mensongères ont été supprimées seulement pour le mois d’octobre», a-t-il noté.
Les réseaux localisés au Maroc, en Égypte et en Turquie se sont avérés liés aux Frères musulmans, un groupe islamiste radical qui a été interdit en Égypte, aux Émirats Arabes Unis et en Arabie Saoudite, et a été déclaré organisation terroriste. Ces comptes diffusaient des contenus à caractère terroriste et ciblaient des pays de la région, a déclaré Facebook.
Des suppressions aux Etats-Unis aussi
A l’occasion des élections présidentielles américaines, les réseaux sociaux sont plus que jamais utilisés pour influencer la campagne électorale. Néanmoins, Facebook semble maîtriser la détection et le démantèlement de ces campagnes grâce à l’arsenal de mesures déployé pour garantir l’intégrité du vote. Plus tôt en octobre, l’entreprise de Mark Zuckerberg avait supprimé des centaines de profils liés au groupe conservateur Turning Point USA via Rally Forge, une société de marketing américaine qui, selon une enquête antérieure du Washington Post, payait de jeunes utilisateurs pour qu’ils publient des messages coordonnés au profit de la campagne Trump, une violation des règles de Facebook. Elle a également, dans ce sens, procédé à la suppression des comptes liés à la mouvance conspirationniste « Qanon », un mouvement d’extrême droite pro-Trump.
Facebook continue, désormais, à entreprendre des efforts en termes d’amélioration du respect de la vie privée et de la sécurité des données de ses utilisateurs, après avoir été victime de sévères critiques lui reprochant de ne pas avoir développé suffisamment et rapidement des outils pour lutter contre les contenus extrémistes et les campagnes de propagande coordonnées.
L’initiative s’inscrit dans le cadre d’une répression de l’extrémisme et de la propagande sur les réseaux sociaux et cible, par ailleurs, les campagnes et les faux comptes ayant l’intention d’influencer de manière trompeuse l’opinion publique aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale.
Mobilisation contre le radicalisme
Facebook a expliqué que les réseaux démantelés sur sa plateforme n’étaient pas liés les uns aux autres et que parmi les pays concernés figurent l’Iran, l’Afghanistan, l’Égypte, la Turquie, le Maroc, le Myanmar, la Géorgie et l’Ukraine.
«Près de 8.000 pages impliquées dans des campagnes trompeuses et mensongères ont été supprimées seulement pour le mois d’octobre», a-t-il noté.
Les réseaux localisés au Maroc, en Égypte et en Turquie se sont avérés liés aux Frères musulmans, un groupe islamiste radical qui a été interdit en Égypte, aux Émirats Arabes Unis et en Arabie Saoudite, et a été déclaré organisation terroriste. Ces comptes diffusaient des contenus à caractère terroriste et ciblaient des pays de la région, a déclaré Facebook.
Des suppressions aux Etats-Unis aussi
A l’occasion des élections présidentielles américaines, les réseaux sociaux sont plus que jamais utilisés pour influencer la campagne électorale. Néanmoins, Facebook semble maîtriser la détection et le démantèlement de ces campagnes grâce à l’arsenal de mesures déployé pour garantir l’intégrité du vote. Plus tôt en octobre, l’entreprise de Mark Zuckerberg avait supprimé des centaines de profils liés au groupe conservateur Turning Point USA via Rally Forge, une société de marketing américaine qui, selon une enquête antérieure du Washington Post, payait de jeunes utilisateurs pour qu’ils publient des messages coordonnés au profit de la campagne Trump, une violation des règles de Facebook. Elle a également, dans ce sens, procédé à la suppression des comptes liés à la mouvance conspirationniste « Qanon », un mouvement d’extrême droite pro-Trump.
Facebook continue, désormais, à entreprendre des efforts en termes d’amélioration du respect de la vie privée et de la sécurité des données de ses utilisateurs, après avoir été victime de sévères critiques lui reprochant de ne pas avoir développé suffisamment et rapidement des outils pour lutter contre les contenus extrémistes et les campagnes de propagande coordonnées.
Siham MDIJI