Lors de la journée thématique «La valorisation des produits du terroir et son impact économique», organisée à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de l’Arganier, Régragui a précisé que «ce nombre avoisine 100 articles dans des spécialités essentiellement de chimie et de biologie».
Tous les travaux de recherche réalisés dans les laboratoires de la Faculté des Sciences de Rabat ont grandement contribué au développement de la filière de l’Arganier, depuis l’arbre avec ses différentes composantes jusqu’à l’émergence de nouveaux horizons prometteurs pour la filière, a-t-il ajouté. Et de préciser que parmi les axes de recherche traités en chimie, on trouve le criblage phytochimique de toutes les parties de l’arbre (bois, feuilles, fruits, coque, pulpe et graines), les activités pharmacologiques des extraits des produits de l’Arganier, l’étude des facteurs influençant la qualité de l’huile d’argan et l’amélioration des procédés.
En biologie, les chercheurs de la Faculté des Sciences de Rabat (FSR) ont travaillé notamment sur la cartographie de la densité du couvert arboré de l’Arganeraie à partir des données spatiales à très haute résolution, sur l’évaluation d’un service éco-systémique de l’Arganeraie à travers la cartographie du couvert arboré de l’Arganier, sur l’écologie de l’Arganier et la typologie des Arganeraies, sur la biogéographie et exigence écologiques, ainsi que sur la diversité biocénotique et la flore de l’Arganeraie.
Les chercheurs de la FSR ont contribué au transfert du savoir acquis par la recherche scientifique et aussi à la création et au développement des coopératives dont le nombre dépasse aujourd’hui 400, une performance qui a contribué et contribue encore à l’amélioration des conditions de vie des habitants des régions productrices, a-t-il tenu à préciser.
Pour sa part, la vice-doyenne chargée de la recherche et la coopération, coordinatrice de licence d’excellence et professionnelle en valorisation des produits du terroir, Pr Souad El Hajjaji, a souligné que l’importance accordée au développement des produits du terroir au Maroc émane des potentialités réelles dont recèle le pays en matière d’écosystèmes propices, de biodiversité variée et de savoir-faire dans le domaine.
« Aujourd’hui, pas moins de 200 produits de terroir ont pu être inventoriés dans le cadre des études régionales d’identification des produits du terroir », a-t-elle précisé, ajoutant que les produits du terroir marocain offrent un potentiel de production annuelle important et emploie plus de 3000 groupements de producteurs (coopératives, GIE, unions, etc.), avec une forte représentativité féminine.
Tous les travaux de recherche réalisés dans les laboratoires de la Faculté des Sciences de Rabat ont grandement contribué au développement de la filière de l’Arganier, depuis l’arbre avec ses différentes composantes jusqu’à l’émergence de nouveaux horizons prometteurs pour la filière, a-t-il ajouté. Et de préciser que parmi les axes de recherche traités en chimie, on trouve le criblage phytochimique de toutes les parties de l’arbre (bois, feuilles, fruits, coque, pulpe et graines), les activités pharmacologiques des extraits des produits de l’Arganier, l’étude des facteurs influençant la qualité de l’huile d’argan et l’amélioration des procédés.
En biologie, les chercheurs de la Faculté des Sciences de Rabat (FSR) ont travaillé notamment sur la cartographie de la densité du couvert arboré de l’Arganeraie à partir des données spatiales à très haute résolution, sur l’évaluation d’un service éco-systémique de l’Arganeraie à travers la cartographie du couvert arboré de l’Arganier, sur l’écologie de l’Arganier et la typologie des Arganeraies, sur la biogéographie et exigence écologiques, ainsi que sur la diversité biocénotique et la flore de l’Arganeraie.
Les chercheurs de la FSR ont contribué au transfert du savoir acquis par la recherche scientifique et aussi à la création et au développement des coopératives dont le nombre dépasse aujourd’hui 400, une performance qui a contribué et contribue encore à l’amélioration des conditions de vie des habitants des régions productrices, a-t-il tenu à préciser.
Pour sa part, la vice-doyenne chargée de la recherche et la coopération, coordinatrice de licence d’excellence et professionnelle en valorisation des produits du terroir, Pr Souad El Hajjaji, a souligné que l’importance accordée au développement des produits du terroir au Maroc émane des potentialités réelles dont recèle le pays en matière d’écosystèmes propices, de biodiversité variée et de savoir-faire dans le domaine.
« Aujourd’hui, pas moins de 200 produits de terroir ont pu être inventoriés dans le cadre des études régionales d’identification des produits du terroir », a-t-elle précisé, ajoutant que les produits du terroir marocain offrent un potentiel de production annuelle important et emploie plus de 3000 groupements de producteurs (coopératives, GIE, unions, etc.), avec une forte représentativité féminine.
Achraf EL OUAD
Vision du gouvernement pour la préservation de l’Arganier
Les premières initiatives dans le cadre de cette vision ont débuté en décembre 2015, lorsque l’ex ministre de l’Agriculture et actuel chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a lancé un projet d’arganiculture couvrant une superficie de 600 hectares (ha), répartis sur le territoire de la commune rurale de Rasmouka pour un montant de 71MDH.
Dans le cadre de la valorisation de l’arganier , les travaux de recherche menés par l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) sur l’arganier ont permis d’atteindre une avancée considérable en matière d’amélioration génétique et d’amélioration de la conduite technique de l’arganiculture.
Dans le même cadre, Akhannouch a effectué l’année dernière une visite de terrain dans la Province de Chtouka Ait Baha pour lancer les travaux de plantation de l’arganier sur 406 ha au niveau des communes territoriales de Belfaa et Ait Milk.
Dans le cadre de la valorisation de l’arganier , les travaux de recherche menés par l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) sur l’arganier ont permis d’atteindre une avancée considérable en matière d’amélioration génétique et d’amélioration de la conduite technique de l’arganiculture.
Dans le même cadre, Akhannouch a effectué l’année dernière une visite de terrain dans la Province de Chtouka Ait Baha pour lancer les travaux de plantation de l’arganier sur 406 ha au niveau des communes territoriales de Belfaa et Ait Milk.