Les opérations menées par la DGSN ont porté sur la lutte contre les faux tests PCR, les faux pass vaccinaux et le trafic de kits de tests rapides pour le Covid-19.
Lors des contrôles aux postes frontières aériens et maritimes dans le cadre des opérations de transit vers et depuis le Maroc, un total de 144 dossiers ont été traités conduisant à l'arrestation de 300 personnes.
Parmi ces interpellés, onze personnes ont été arrêtées pour commercialisation de produits pharmaceutiques de contrebande, principalement des tests de dépistage.
Quant à la répartition des cas par ville, Agadir arrive en tête avec 68 cas, suivie par Oujda (34 cas), Marrakech (12), Casablanca (10), et un cas dans chacune des villes de Rabat. , Kénitra, Tanger, Tétouan, Al Hoceima, Fès, Béni Mellal, Ouarzazate et Laâyoune.
Dans une circulaire adressée le 27 août dernier aux procureurs généraux du Roi près les cours d'appel et aux procureurs du Roi près les tribunaux de première instance, le ministère public avait considéré de telles pratiques comme des délits, incitant les autorités judiciaires à mener une action vigoureuse contre la fraude des documents sanitaires, vu le recours fréquent à ces pratiques.
Lors des contrôles aux postes frontières aériens et maritimes dans le cadre des opérations de transit vers et depuis le Maroc, un total de 144 dossiers ont été traités conduisant à l'arrestation de 300 personnes.
Parmi ces interpellés, onze personnes ont été arrêtées pour commercialisation de produits pharmaceutiques de contrebande, principalement des tests de dépistage.
Quant à la répartition des cas par ville, Agadir arrive en tête avec 68 cas, suivie par Oujda (34 cas), Marrakech (12), Casablanca (10), et un cas dans chacune des villes de Rabat. , Kénitra, Tanger, Tétouan, Al Hoceima, Fès, Béni Mellal, Ouarzazate et Laâyoune.
Dans une circulaire adressée le 27 août dernier aux procureurs généraux du Roi près les cours d'appel et aux procureurs du Roi près les tribunaux de première instance, le ministère public avait considéré de telles pratiques comme des délits, incitant les autorités judiciaires à mener une action vigoureuse contre la fraude des documents sanitaires, vu le recours fréquent à ces pratiques.