Une semaine après l'avertissement lancé par le Conseil des mosquées du Rhône, le CFCM a dénoncé à son tour la gravité de la situation, déplorant les décisions prises de manière « autoritaire » qui mettent les mosquées « dans une situation de précarité, alors qu’aucune infraction justifiant un tel acte n’a été relevée ».
« Il semblerait que les versements en espèces seraient la cause principale de ces fermetures. Or ces versements proviennent des collectes organisées lors notamment de la prière du vendredi et du mois de Ramadan », indique le Conseil, soulignant que « sans ces dons des fidèles, des nombreuses mosquées ne pourraient pas assumer leurs dépenses de fonctionnement», et que ce type de collecte « n’est pas propre uniquement au culte musulman ».
Le CFCM, qui déclare avoir sollicité les pouvoirs publics « pour mettre fin à cette situation injustifiée », a également fait part de son intention d’adresser prochainement aux responsables associatifs « des propositions de bonnes pratiques pour les collectes de dons à même d’améliorer la confiance mutuelle entre les associations musulmanes et les institutions bancaires ».
« Il semblerait que les versements en espèces seraient la cause principale de ces fermetures. Or ces versements proviennent des collectes organisées lors notamment de la prière du vendredi et du mois de Ramadan », indique le Conseil, soulignant que « sans ces dons des fidèles, des nombreuses mosquées ne pourraient pas assumer leurs dépenses de fonctionnement», et que ce type de collecte « n’est pas propre uniquement au culte musulman ».
Le CFCM, qui déclare avoir sollicité les pouvoirs publics « pour mettre fin à cette situation injustifiée », a également fait part de son intention d’adresser prochainement aux responsables associatifs « des propositions de bonnes pratiques pour les collectes de dons à même d’améliorer la confiance mutuelle entre les associations musulmanes et les institutions bancaires ».