Ces zones sont principalement destinées aux industries domestiques et peuvent être complémentaires avec la zone d’accélération industrielle (ZAI), souligne cette étude consacrée au positionnement de la ZAI d’Ain Cheggag, dont les travaux ont été lancés dernièrement dans la province de Sefrou. Il s’agit du développement et du réaménagement de la zone Cotef (15 ha) à Sidi Brahim avec une offre lucrative, du parc industriel Ain Cheggag (PIAC) sur une superficie de 81 ha dont 50 ha dédiés aux activités du cuir (tannerie, chaussures, maroquinerie) et 31 ha aux activités généralistes, et de la zone industrielle de FèsSaiss qui est en cours d’étude. L’étude fait état de la création prochainement de petites zones notamment à Taounate et Taza.
Selon ce document, la région de Fès-Meknès, qui dispose d’atouts stratégiques sur les plans socioéconomiques, se doit de relever cinq défis majeurs dans le but d’améliorer sa compétitivité et diversifier son industrie.
La région est ainsi, appelée à définir une vraie proposition de valeur différenciatrice des filières présentes, attirer une ou deux locomotives afin de développer un écosystème autour de ces métiers, mettre en place des incitations financières et fiscales, mettre à niveau les infrastructures (site et hors site) et déployer un effort commercial et de marketing soutenu.
La même source, qui note que le potentiel industriel de FèsMeknès demeure encore ‘’peu exploité’’, met l’accent sur la dynamique «intéressante» enclenchée en matière de diversification de l’industrie autour de nouveaux moteurs industriels et sur le potentiel majeur d’industrialisation de la région en capitalisant sur les atouts stratégiques.
Environ 80pc des emplois de l’industrie au niveau de la région Fès-Meknès sont portés par quatre secteurs d’activité, selon l’étude. Il s’agit des secteurs du textile-cuir (36%), l’automobile (15,7%), l’agroalimentaire (13%) et de l’offshoring (15,2%), précise cette étude consacrée au positionnement de la zone d’accélération industrielle (ZAI) à Ain Cheggag, dont les travaux ont été lancés dernièrement dans la province de Sefrou.
Cette étude, réalisée pour le compte du conseil régional de Fès-Meknès, fait état d’une croissance, entre 2013 et 2019, des secteurs de l’automobile avec 15 points et l’offshoring (8%) dans le pool emploi industriel de la région.
Quant au textile et à l’agroalimentaire, ils ont accusé des baisses respectives de 15 et 4,5 points.
Selon ce document, la région de Fès-Meknès, qui dispose d’atouts stratégiques sur les plans socioéconomiques, se doit de relever cinq défis majeurs dans le but d’améliorer sa compétitivité et diversifier son industrie.
La région est ainsi, appelée à définir une vraie proposition de valeur différenciatrice des filières présentes, attirer une ou deux locomotives afin de développer un écosystème autour de ces métiers, mettre en place des incitations financières et fiscales, mettre à niveau les infrastructures (site et hors site) et déployer un effort commercial et de marketing soutenu.
La même source, qui note que le potentiel industriel de FèsMeknès demeure encore ‘’peu exploité’’, met l’accent sur la dynamique «intéressante» enclenchée en matière de diversification de l’industrie autour de nouveaux moteurs industriels et sur le potentiel majeur d’industrialisation de la région en capitalisant sur les atouts stratégiques.
Environ 80pc des emplois de l’industrie au niveau de la région Fès-Meknès sont portés par quatre secteurs d’activité, selon l’étude. Il s’agit des secteurs du textile-cuir (36%), l’automobile (15,7%), l’agroalimentaire (13%) et de l’offshoring (15,2%), précise cette étude consacrée au positionnement de la zone d’accélération industrielle (ZAI) à Ain Cheggag, dont les travaux ont été lancés dernièrement dans la province de Sefrou.
Cette étude, réalisée pour le compte du conseil régional de Fès-Meknès, fait état d’une croissance, entre 2013 et 2019, des secteurs de l’automobile avec 15 points et l’offshoring (8%) dans le pool emploi industriel de la région.
Quant au textile et à l’agroalimentaire, ils ont accusé des baisses respectives de 15 et 4,5 points.