Le Wydad de Casablanca est à 90 minutes du bonheur. Un nouveau sacre africain, une troisième couronne sur la tête du prestigieux club bidaoui.
Attendu par tout un Royaume, le WAC devra battre le club du siècle sur le Continent, Al Ahly d’Egypte. Ce dernier n’est, certainement, pas venu au Maroc en touriste. Trainant derrière lui une longue Histoire de sacres en tout genre.
Al Ahly, premier club d’Egypte, court après ce sacre qui signifie beaucoup pour lui. Il tentera de l’arracher devant le WAC que le tirage au sort de la CAF a favorisé en lui prêtant son terrain fétiche, le Complexe sportif Mohammed V de Casablanca.
Mais de la Citadelle Rouge rien ne filtre. Le bouillant coach tient absolument à garder son groupe loin, très loin de tout ce qui pourrait affecter le moral de ses joueurs. Un isolement hermétique d’où l’entraineur veille sur tout le groupe. Sans exception. Walid Regragui, plébiscité par toutes les composantes du WAC, du président jusqu’au simple supporter, en passant par les joueurs, a donné un coup de baguette magique qui a carrément transformé le WAC.
Depuis cette fameuse sortie contre le Zamalek, battu au Complexe sportif Mohammed V de Casablanca, les Rouges ont démontré un visage effrayant pour les prochains adversaires. Et pourtant juste avant de rencontrer le club égyptien, le Wydad a été battu dans son antre, à Casablanca, par le dernier de la liste alors le Hassania d’Agadir. Mais au lieu de le démolir, cette défaite est venue fouetter le moral des hommes de Saïd Naciri pour les mettre sur une rampe de lancement. Et depuis, le grand club casablancais est inarrêtable.
C’est, donc, une formation au moral d’acier, aux intentions dévoilées qui va croiser le fer avec Al Ahly. Avec un seul objectif garder le trophée tant convoité au Maroc, à Casablanca pour être précis.
Dieu merci, le groupe des Rouges ne souffrira d’aucune absence. Physiquement et moralement, joueurs et encadrement affichent un moral au beau fixe.
On gardera pour l’Histoire, ce remue-ménage médiatique que le groupe d’Al Ahly a soulevé allant jusqu’à dépasser les bornes par des déclarations incongrues, voire inacceptables. Mais cela toujours été l’arme favorite des Egyptiens pour déstabiliser leurs adversaires. Sans ajouter les manoeuvres qu’ils ne cessent de tramer avec les arbitres. Ça, ce n’est pas nous qui le disons, mais bel et bien l’ex-international égyptien, Farouk Gaâfar, qui a mis à nu les manoeuvres obscures des clubs égyptiens avec les directeurs de jeu du Continent du temps de Aissa Hayatou.
Attendu par tout un Royaume, le WAC devra battre le club du siècle sur le Continent, Al Ahly d’Egypte. Ce dernier n’est, certainement, pas venu au Maroc en touriste. Trainant derrière lui une longue Histoire de sacres en tout genre.
Al Ahly, premier club d’Egypte, court après ce sacre qui signifie beaucoup pour lui. Il tentera de l’arracher devant le WAC que le tirage au sort de la CAF a favorisé en lui prêtant son terrain fétiche, le Complexe sportif Mohammed V de Casablanca.
Mais de la Citadelle Rouge rien ne filtre. Le bouillant coach tient absolument à garder son groupe loin, très loin de tout ce qui pourrait affecter le moral de ses joueurs. Un isolement hermétique d’où l’entraineur veille sur tout le groupe. Sans exception. Walid Regragui, plébiscité par toutes les composantes du WAC, du président jusqu’au simple supporter, en passant par les joueurs, a donné un coup de baguette magique qui a carrément transformé le WAC.
Depuis cette fameuse sortie contre le Zamalek, battu au Complexe sportif Mohammed V de Casablanca, les Rouges ont démontré un visage effrayant pour les prochains adversaires. Et pourtant juste avant de rencontrer le club égyptien, le Wydad a été battu dans son antre, à Casablanca, par le dernier de la liste alors le Hassania d’Agadir. Mais au lieu de le démolir, cette défaite est venue fouetter le moral des hommes de Saïd Naciri pour les mettre sur une rampe de lancement. Et depuis, le grand club casablancais est inarrêtable.
C’est, donc, une formation au moral d’acier, aux intentions dévoilées qui va croiser le fer avec Al Ahly. Avec un seul objectif garder le trophée tant convoité au Maroc, à Casablanca pour être précis.
Dieu merci, le groupe des Rouges ne souffrira d’aucune absence. Physiquement et moralement, joueurs et encadrement affichent un moral au beau fixe.
On gardera pour l’Histoire, ce remue-ménage médiatique que le groupe d’Al Ahly a soulevé allant jusqu’à dépasser les bornes par des déclarations incongrues, voire inacceptables. Mais cela toujours été l’arme favorite des Egyptiens pour déstabiliser leurs adversaires. Sans ajouter les manoeuvres qu’ils ne cessent de tramer avec les arbitres. Ça, ce n’est pas nous qui le disons, mais bel et bien l’ex-international égyptien, Farouk Gaâfar, qui a mis à nu les manoeuvres obscures des clubs égyptiens avec les directeurs de jeu du Continent du temps de Aissa Hayatou.
Allez Wydad !
Allez Wydad ! De Tanger à Lagouira, le Royaume du Maroc étrennera les couleurs rouges, celles du Wydad. Tous les Marocains feront abstraction des appartenances pour ne former que des supporters de la Citadelle Rouge pour pousser le WAC vers la victoire afin d’arracher une couronne de plus, la troisième pour le club des militants, le Wydad de Casablanca. Allez Wydad !