La commission technique de l’IRT avec l’absence d’un directeur diplômé est pointée du doigt.
Son travail est évalué avec une improvisation totale d’autant plus que ses membres manquent de formation footballistique sur tous les plans.
Rédiger des rapports en direct des tribunes lors de cette préparation du début de saison n’est pas ce qu’attend le comité pour « bâtir » un effectif susceptible de jouer un bon rôle au championnat qui s’annonce difficile.
A vrai dire, la commission technique est un « labyrinthe » avec une série de questions auxquelles il est impossible de répondre : un mythe, une réalité, un fantôme ou simplement un vide dans un club de l’IRT qui nécessite vraiment une concertation, une communication, un organigramme, un plan de travail pour donner à l’équipe un projet concernant tous ses besoins.
On murmure dans les coulisses, que le comité a donné à l’entraineur Zaki, ce qu’on appelait dans le jargon populaire du sport la « carte blanche ».
Cette « carte blanche » ou « je fais ce que je veux » existe-t-elle dans le football moderne où une vingtaine de techniciens travaillent ensemble et échangent les idées.
A vrai dire, Zaki n’est point un magicien et avec sa « baguette magique » il ne peut résoudre les problèmes d’ordre technique tout seul.
Comme Mourihno, Klopp, Ancelotti ou comme Ammouta, Regragui, Sellami, il a besoin d’une équipe pour travailler.
L’on se souvient qu’avec lui quand il était sélectionneur des Lions, se trouvait un grand Naciri qui était longtemps son bras droit.
Le succès de Zaki à cette époque était bel et bien partagé avec son adjoint.
Cette mission de collaborateur est confiée à Hassan Fadel mais la même question se pose : réussira-t-il tout seul dans son travail ?
Maintenant un autre problème est à l’ordre du jour. Il concerne la résiliation des contrats de quelques joueurs récemment engagés sous la tutelle de l’entraineur.
Personne ne comprend cette situation à l’heure où Zaki ne cesse de dire : « Je connais toutes les nouvelles recrues parce que j’étais à la direction technique nationale. Je sais ce qu’elles valent ».
Changement d’avis du jour au lendemain, une décision d’improvisation.
La solution à cette problématique est la suivante :
1-la nomination d’un directeur technique diplômé avec la licence CAF ou UEFA Pro A.
2-la constitution d’une autre commission technique formée d’entraineurs ou de footballeurs internationaux.
En parallèle avec cette proposition, il est impératif de procéder le plus vite possible à l’ouverture du centre de formation qui est l’avenir du football moderne.
Plus de cinq ans d’attente, les « responsables » de l’IRT n’ont pas réussi à réactiver ce projet en dépit de la désignation de plusieurs directeurs.
Son travail est évalué avec une improvisation totale d’autant plus que ses membres manquent de formation footballistique sur tous les plans.
Rédiger des rapports en direct des tribunes lors de cette préparation du début de saison n’est pas ce qu’attend le comité pour « bâtir » un effectif susceptible de jouer un bon rôle au championnat qui s’annonce difficile.
A vrai dire, la commission technique est un « labyrinthe » avec une série de questions auxquelles il est impossible de répondre : un mythe, une réalité, un fantôme ou simplement un vide dans un club de l’IRT qui nécessite vraiment une concertation, une communication, un organigramme, un plan de travail pour donner à l’équipe un projet concernant tous ses besoins.
On murmure dans les coulisses, que le comité a donné à l’entraineur Zaki, ce qu’on appelait dans le jargon populaire du sport la « carte blanche ».
Cette « carte blanche » ou « je fais ce que je veux » existe-t-elle dans le football moderne où une vingtaine de techniciens travaillent ensemble et échangent les idées.
A vrai dire, Zaki n’est point un magicien et avec sa « baguette magique » il ne peut résoudre les problèmes d’ordre technique tout seul.
Comme Mourihno, Klopp, Ancelotti ou comme Ammouta, Regragui, Sellami, il a besoin d’une équipe pour travailler.
L’on se souvient qu’avec lui quand il était sélectionneur des Lions, se trouvait un grand Naciri qui était longtemps son bras droit.
Le succès de Zaki à cette époque était bel et bien partagé avec son adjoint.
Cette mission de collaborateur est confiée à Hassan Fadel mais la même question se pose : réussira-t-il tout seul dans son travail ?
Maintenant un autre problème est à l’ordre du jour. Il concerne la résiliation des contrats de quelques joueurs récemment engagés sous la tutelle de l’entraineur.
Personne ne comprend cette situation à l’heure où Zaki ne cesse de dire : « Je connais toutes les nouvelles recrues parce que j’étais à la direction technique nationale. Je sais ce qu’elles valent ».
Changement d’avis du jour au lendemain, une décision d’improvisation.
La solution à cette problématique est la suivante :
1-la nomination d’un directeur technique diplômé avec la licence CAF ou UEFA Pro A.
2-la constitution d’une autre commission technique formée d’entraineurs ou de footballeurs internationaux.
En parallèle avec cette proposition, il est impératif de procéder le plus vite possible à l’ouverture du centre de formation qui est l’avenir du football moderne.
Plus de cinq ans d’attente, les « responsables » de l’IRT n’ont pas réussi à réactiver ce projet en dépit de la désignation de plusieurs directeurs.