A l’heure où le « mercato » hivernal vient d’ouvrir ses portes pour un mois, l’IRT est en difficultés pour subvenir à ses besoins. L’on parle incessamment de crise financière, d’assouplissement de dépenses, de réduction de personnel surtout au moment de l’éventuel départ des sponsors secoués par les conséquences de la pandémie.
Comme le déclarent les experts en football, il faut vendre pour continuer à exister.
L’IRT se séparera-t-il de ses meilleurs footballeurs pour assainir sa trésorerie ? Le club est confronté à deux graves problèmes : la masse salariale et les litiges à la FIFA laquelle exige le règlement des dettes avec les ex entraineurs et ex joueurs. Pour le moment, ses dirigeants ne peuvent engager de nouvelles recrues ni en janvier ni en juin.
A la trêve du championnat qui coïncide avec l’organisation de la Coupe d’Afrique au Cameroun, quatre grands éléments de base de l’effectif sont sur la liste du transfert : le gardien de but Lemejhed, l’arrière gauche Ouahabi, l’avant-centre Axil et l’ailier droit Hamoudane. La cause de l’éventuelle séparation n’est autre que l’offre intéressante qui est sur la table du président : un milliard de centimes pour le premier pour jouer en Arabie Séoudite, un autre milliard pour le second pour évoluer en Tunisie, un milliard et demi pour le troisième pour signer en Turquie et un milliard pour le quatrième pour aller au Qatar. Soit quatre milliards et demi de centimes, une somme pour sortir de l’impasse et oublier la crise.
Juste après son élection à la présidence de l’IRT, à peine un mois après la tenue de l’assemblée générale extraordinaire, Mohamed Ahkane se trouve entre le marteau et l’enclume.
« Prendrai, prendrai pas » est toujours l’histoire du parapluie qui le hante. Questionné à ce sujet, le président de l’IRT a déclaré à la presse : « Actuellement, il nous est impossible de nous séparer des quatre joueurs qui constituent l’ossature de l’équipe. Nous avons bien réfléchi et nous sommes contre le départ. Pour Axil, il y a des possibilités de départ mais pas pour le moment ». Ce qui donne beaucoup à réfléchir est l’autre question de renouvellement des contrats expirant en juin prochain. Aucune décision n’a été prise.
Avec le prochain départ gratuit au MAS du demi Bamaâmar qui n’a pas renouvelé avec l’équipe, le comité qui ne s’est pas prononcé, s’apprête à vivre la même situation de Chibi parti gratuitement aux FAR.
En parallèle avec tout ce qui se passe à l’IRT, Mohamed Ahkane travaille pour avoir une direction technique à bon niveau, ce qui manquait toujours au club du fait que l’ancien comité n’en était pas convaincu pour éviter les dépenses. Le nom choisi n’est autre que Hamid Ouarga, l’ex Chabab Mohamedia et sélection olympique, pour occuper deux postes : directeur technique et directeur du centre de formation.
Selon plusieurs proches collaborateurs du président, l’éventuelle vente des footballeurs convoités est toujours à l’ordre du jour car c’est l’unique solution pour éliminer les dettes et pouvoir procéder à l’engagement des nouvelles recrues en hiver et en été.
Comme le déclarent les experts en football, il faut vendre pour continuer à exister.
L’IRT se séparera-t-il de ses meilleurs footballeurs pour assainir sa trésorerie ? Le club est confronté à deux graves problèmes : la masse salariale et les litiges à la FIFA laquelle exige le règlement des dettes avec les ex entraineurs et ex joueurs. Pour le moment, ses dirigeants ne peuvent engager de nouvelles recrues ni en janvier ni en juin.
A la trêve du championnat qui coïncide avec l’organisation de la Coupe d’Afrique au Cameroun, quatre grands éléments de base de l’effectif sont sur la liste du transfert : le gardien de but Lemejhed, l’arrière gauche Ouahabi, l’avant-centre Axil et l’ailier droit Hamoudane. La cause de l’éventuelle séparation n’est autre que l’offre intéressante qui est sur la table du président : un milliard de centimes pour le premier pour jouer en Arabie Séoudite, un autre milliard pour le second pour évoluer en Tunisie, un milliard et demi pour le troisième pour signer en Turquie et un milliard pour le quatrième pour aller au Qatar. Soit quatre milliards et demi de centimes, une somme pour sortir de l’impasse et oublier la crise.
Juste après son élection à la présidence de l’IRT, à peine un mois après la tenue de l’assemblée générale extraordinaire, Mohamed Ahkane se trouve entre le marteau et l’enclume.
« Prendrai, prendrai pas » est toujours l’histoire du parapluie qui le hante. Questionné à ce sujet, le président de l’IRT a déclaré à la presse : « Actuellement, il nous est impossible de nous séparer des quatre joueurs qui constituent l’ossature de l’équipe. Nous avons bien réfléchi et nous sommes contre le départ. Pour Axil, il y a des possibilités de départ mais pas pour le moment ». Ce qui donne beaucoup à réfléchir est l’autre question de renouvellement des contrats expirant en juin prochain. Aucune décision n’a été prise.
Avec le prochain départ gratuit au MAS du demi Bamaâmar qui n’a pas renouvelé avec l’équipe, le comité qui ne s’est pas prononcé, s’apprête à vivre la même situation de Chibi parti gratuitement aux FAR.
En parallèle avec tout ce qui se passe à l’IRT, Mohamed Ahkane travaille pour avoir une direction technique à bon niveau, ce qui manquait toujours au club du fait que l’ancien comité n’en était pas convaincu pour éviter les dépenses. Le nom choisi n’est autre que Hamid Ouarga, l’ex Chabab Mohamedia et sélection olympique, pour occuper deux postes : directeur technique et directeur du centre de formation.
Selon plusieurs proches collaborateurs du président, l’éventuelle vente des footballeurs convoités est toujours à l’ordre du jour car c’est l’unique solution pour éliminer les dettes et pouvoir procéder à l’engagement des nouvelles recrues en hiver et en été.