Badou Zaki, en tant que grand professionnel, aime la communication. Comme il ne cesse de le répéter, toutes ses décisions seront transmises à la presse et au public.
Pour lui, le travail technique doit suivre le chemin de la transparence.
Avec beaucoup de franchise, il a donné un aperçu sur la préparation de l’équipe, sur les prochaines rencontres amicales et surtout l’objectif qui n’est autre que la reconstitution d’une formation combattive, jeune et pleine de motivation.
Ainsi, il a présenté la liste définitive des footballeurs qui vont commencer le championnat avec une réserve de deux joueurs toujours à l’essai un attaquant sénégalais et un demi défensif. Sans aucune gêne, il a répondu avec réalisme aux questions des confrères :
Q- Il y a onze départs (résiliations et fins de contrats). Leurs remplaçants sont des jeunes sans expérience venant des clubs amateurs ou des espoirs de l’IRT. Ne pensez-vous pas à une grande aventure?
R-Absolument pas ! C’est un défi certes mais une confiance. D’ailleurs, le staff technique travaille en fonction des possibilités du comité qui est en train de vivre une crise financière à tous les niveaux. Cette politique de reconstitution d’un nouvel effectif jeune et peu couteux est la conséquence de la manière dont vit le club. Je pense sincèrement que c’est l’unique solution pour sauver l’IRT d’une éventuelle disparition ou d’une future évolution chez les amateurs comme ce fut le cas de plusieurs équipes historiques au Maroc.
Q-Etes-vous vraiment convaincu par la valeur des jeunes recrutés ?
R-Effectivement, je les connais tous. Ma responsabilité à la direction technique de la FRMF, pendant deux ans, m’a permis de découvrir les bons talents des différentes ligues. Ces jeunes sont inconnus pour le moment mais ils auront leur mot à dire dans l’avenir. Il existe des exemples clairs chez les grands du championnat le Raja et le WAC. Les Aboucharouane, Metouali et bien d’autres jouaient dans des modestes clubs. Le troisième goal de la sélection nationale Tagnaouti était longtemps un remplaçant à Berkane et au WAC. Prêté à l’IRT, quand j’étais sur le banc de touche, il a fait une excellente saison. Actuellement, il est le meilleur gardien de but du championnat.
Q-Est-il vrai que vous avez renoncé volontairement aux piliers du onze titulaire : Lemjhed, Konaté, Ijrouten, Hamoudane ?
R-Absolument pas, parce que les bons footballeurs ont largement leur place dans la formation. Le comité n’a pas d’argent pour les payer et ils ont refusé une baisse de salaire. Je regrette leur départ mais c’est la vie.
Q-Quelle est votre satisfaction en ce début de préparation ?
R-Sincèrement, je suis le premier entraineur dans l’Histoire de l’IRT à opter pour un effectif à base tangéroise. Les autres saisons, le nombre des Tangérois au club se réduisait à deux ou trois. Maintenant, la majorité des joueurs sont de Tanger. C’est une réussite pour moi.
Q-Avez-vous suivi une politique pareille dans d’autres équipes ?
R-Oui, à El Jadida et à Ouizdad en Algérie. Dans les deux formations, j’ai obtenu le succès.
Q-Où en est la préparation de l’IRT ?
R-Nous avons fait la première concentration de douze jours à Tanger entre la plage, la foret et le gazon. Bien sûr, le physique et le technique allaient en parallèle. Nous avons disputé un match amical contre l’AS de Salé avec beaucoup de conclusions convaincantes. La deuxième concentration commencera cette semaine à El Jadida. Nous avons conclu des rencontres avec Sbata, Benguerir, Chabab et FUS.
Q-Pensez-vous que cette nouvelle jeune équipe de l’IRT n’aura pas de problèmes au championnat ?
R-Je suis sûr et certain qu’il n’y aura pas de difficultés dans le maintien de la catégorie et l’IRT est un club d’avenir. Mais je répète un détail important : la première année de mon contrat aura un seul objectif qui sera le maintien.
Pour lui, le travail technique doit suivre le chemin de la transparence.
Avec beaucoup de franchise, il a donné un aperçu sur la préparation de l’équipe, sur les prochaines rencontres amicales et surtout l’objectif qui n’est autre que la reconstitution d’une formation combattive, jeune et pleine de motivation.
Ainsi, il a présenté la liste définitive des footballeurs qui vont commencer le championnat avec une réserve de deux joueurs toujours à l’essai un attaquant sénégalais et un demi défensif. Sans aucune gêne, il a répondu avec réalisme aux questions des confrères :
Q- Il y a onze départs (résiliations et fins de contrats). Leurs remplaçants sont des jeunes sans expérience venant des clubs amateurs ou des espoirs de l’IRT. Ne pensez-vous pas à une grande aventure?
R-Absolument pas ! C’est un défi certes mais une confiance. D’ailleurs, le staff technique travaille en fonction des possibilités du comité qui est en train de vivre une crise financière à tous les niveaux. Cette politique de reconstitution d’un nouvel effectif jeune et peu couteux est la conséquence de la manière dont vit le club. Je pense sincèrement que c’est l’unique solution pour sauver l’IRT d’une éventuelle disparition ou d’une future évolution chez les amateurs comme ce fut le cas de plusieurs équipes historiques au Maroc.
Q-Etes-vous vraiment convaincu par la valeur des jeunes recrutés ?
R-Effectivement, je les connais tous. Ma responsabilité à la direction technique de la FRMF, pendant deux ans, m’a permis de découvrir les bons talents des différentes ligues. Ces jeunes sont inconnus pour le moment mais ils auront leur mot à dire dans l’avenir. Il existe des exemples clairs chez les grands du championnat le Raja et le WAC. Les Aboucharouane, Metouali et bien d’autres jouaient dans des modestes clubs. Le troisième goal de la sélection nationale Tagnaouti était longtemps un remplaçant à Berkane et au WAC. Prêté à l’IRT, quand j’étais sur le banc de touche, il a fait une excellente saison. Actuellement, il est le meilleur gardien de but du championnat.
Q-Est-il vrai que vous avez renoncé volontairement aux piliers du onze titulaire : Lemjhed, Konaté, Ijrouten, Hamoudane ?
R-Absolument pas, parce que les bons footballeurs ont largement leur place dans la formation. Le comité n’a pas d’argent pour les payer et ils ont refusé une baisse de salaire. Je regrette leur départ mais c’est la vie.
Q-Quelle est votre satisfaction en ce début de préparation ?
R-Sincèrement, je suis le premier entraineur dans l’Histoire de l’IRT à opter pour un effectif à base tangéroise. Les autres saisons, le nombre des Tangérois au club se réduisait à deux ou trois. Maintenant, la majorité des joueurs sont de Tanger. C’est une réussite pour moi.
Q-Avez-vous suivi une politique pareille dans d’autres équipes ?
R-Oui, à El Jadida et à Ouizdad en Algérie. Dans les deux formations, j’ai obtenu le succès.
Q-Où en est la préparation de l’IRT ?
R-Nous avons fait la première concentration de douze jours à Tanger entre la plage, la foret et le gazon. Bien sûr, le physique et le technique allaient en parallèle. Nous avons disputé un match amical contre l’AS de Salé avec beaucoup de conclusions convaincantes. La deuxième concentration commencera cette semaine à El Jadida. Nous avons conclu des rencontres avec Sbata, Benguerir, Chabab et FUS.
Q-Pensez-vous que cette nouvelle jeune équipe de l’IRT n’aura pas de problèmes au championnat ?
R-Je suis sûr et certain qu’il n’y aura pas de difficultés dans le maintien de la catégorie et l’IRT est un club d’avenir. Mais je répète un détail important : la première année de mon contrat aura un seul objectif qui sera le maintien.