Deux personnes, un homme et une femme, ont été tuées dans l'église Notre-Dame et une troisième, sérieusement blessée, est décédée dans un bar proche où elle s'était réfugiée, a précisé à l'AFP qui a également indiqué que le parquet national antiterroriste (Pnat) s’était saisi de l'enquête. Les faits se sont déroulés vers 9H00 (08H00 GMT) près de l'église Notre-Dame, en plein cœur de Nice, a-t-on ajouté de source policière. L'agresseur a été blessé lors de l'intervention de la police et transporté à l'hôpital, selon une source policière. L'attaque survient presque deux semaines jour pour jour après l'assassinat de Samuel Paty, pris pour cible parce qu'il avait montré en classe des caricatures outrageuses «à l'Islam et au Prophète Sidna Mohammed».
Le maire de Nice, Christian Estrosi, a indiqué que l'assaillant, alors qu'il était menotté, a proféré les mots «Allaho Akbar».
Le maire de Nice a aussi mentionné «le sacristain» de l'église parmi les personnes décédées. Après cet «assassinat dans une école, c'est dans une église que la barbarie islamo-fasciste a choisi de frapper, c'est tout un symbole», a ajouté M. Estrosi. Des actions qui n’honorent et ne représentent en rien la religion musulmaneet son prophète, Paix et Salut sur Lui. «Je ne peux que condamner avec force la lâcheté de ce geste contre des personnes innocentes», a déclaré dans un communiqué à l'AFP Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), après cette attaque.
Le président Emmanuel Macron s'est rendu à la cellule de crise mise en place au ministère de l'Intérieur et devait ensuite partir rapidement pour Nice.
Le parquet antiterroriste a ouvert une enquête pour «assassinat et tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Elle a été confiée à la Direction centrale de la police judiciaire et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé sur Twitter la tenue d'une «réunion de crise» à Paris, tandis que l'Assemblée nationale a décidé d'observer une minute de silence en solidarité à l'égard des victimes et de leurs proches.
Rappelons que Nice avait été endeuillée en 2016 par un attentat qui avait fait 86 morts sur la Promenade des Anglais le 14 juillet, en pleine fête nationale. Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, un Tunisien de 31 ans, avait fauché au volant d'un camion de location enfants, familles nombreuses et touristes étrangers, en 4 minutes, avant d'être abattu par les forces de l'ordre.
Concomitamment à ces faits, d’autres incidents ont été signalés la même journée en France à Avignon et à Lyon, ainsi qu’en Arabie Saoudite à Djeddah. Mais leurs circonstances et implications restent pour le moment encore troubles.
Le maire de Nice, Christian Estrosi, a indiqué que l'assaillant, alors qu'il était menotté, a proféré les mots «Allaho Akbar».
Le maire de Nice a aussi mentionné «le sacristain» de l'église parmi les personnes décédées. Après cet «assassinat dans une école, c'est dans une église que la barbarie islamo-fasciste a choisi de frapper, c'est tout un symbole», a ajouté M. Estrosi. Des actions qui n’honorent et ne représentent en rien la religion musulmaneet son prophète, Paix et Salut sur Lui. «Je ne peux que condamner avec force la lâcheté de ce geste contre des personnes innocentes», a déclaré dans un communiqué à l'AFP Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), après cette attaque.
Le président Emmanuel Macron s'est rendu à la cellule de crise mise en place au ministère de l'Intérieur et devait ensuite partir rapidement pour Nice.
Le parquet antiterroriste a ouvert une enquête pour «assassinat et tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Elle a été confiée à la Direction centrale de la police judiciaire et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé sur Twitter la tenue d'une «réunion de crise» à Paris, tandis que l'Assemblée nationale a décidé d'observer une minute de silence en solidarité à l'égard des victimes et de leurs proches.
Rappelons que Nice avait été endeuillée en 2016 par un attentat qui avait fait 86 morts sur la Promenade des Anglais le 14 juillet, en pleine fête nationale. Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, un Tunisien de 31 ans, avait fauché au volant d'un camion de location enfants, familles nombreuses et touristes étrangers, en 4 minutes, avant d'être abattu par les forces de l'ordre.
Concomitamment à ces faits, d’autres incidents ont été signalés la même journée en France à Avignon et à Lyon, ainsi qu’en Arabie Saoudite à Djeddah. Mais leurs circonstances et implications restent pour le moment encore troubles.