Plusieurs rues et stations de métro ont été inondées, mardi soir à Paris, après que des pluies diluviennes se sont abattues pendant une heure sur la capitale française.
De violents orages ont éclaté sur la ville aux alentours de 18 heures (UTC+2) et de fortes précipitations se sont déversées jusqu'à 19 heures, lorsque la pluie s'est soudainement arrêtée.
Sur son fil Twitter, la Chaîne Météo a indiqué que "46 mm de pluies viennent de se déverser en 1h ce soir sur Paris, soit autant que ce qu'il est tombé entre le 30 juin et les 15 août cette année".
Elle a précisé qu'il s'agit de "la plus forte pluie tombée en 24 h depuis les 72 mm d'eau du violent orage du 11 juin 2018 sur la capitale".
Selon la même source, ces pluies étaient accompagnées de fortes rafales de vent, alors que la station située sur la Tour Eiffel a mesuré des vents allant jusqu'à 104 kilomètres par heure, ceux-ci faisant tomber des arbres dans plusieurs arrondissements de la capitale.
La Chaîne Météo a également indiqué que la Seine a quasiment doublé son débit de 93 mètres cubes par seconde à 175 mètres cubes par seconde, et que le fleuve traversant le cœur de Paris, nourri par les eaux des ruissellements urbains, a gagné 35 centimètres de profondeur.
De violents orages ont éclaté sur la ville aux alentours de 18 heures (UTC+2) et de fortes précipitations se sont déversées jusqu'à 19 heures, lorsque la pluie s'est soudainement arrêtée.
Sur son fil Twitter, la Chaîne Météo a indiqué que "46 mm de pluies viennent de se déverser en 1h ce soir sur Paris, soit autant que ce qu'il est tombé entre le 30 juin et les 15 août cette année".
Elle a précisé qu'il s'agit de "la plus forte pluie tombée en 24 h depuis les 72 mm d'eau du violent orage du 11 juin 2018 sur la capitale".
Selon la même source, ces pluies étaient accompagnées de fortes rafales de vent, alors que la station située sur la Tour Eiffel a mesuré des vents allant jusqu'à 104 kilomètres par heure, ceux-ci faisant tomber des arbres dans plusieurs arrondissements de la capitale.
La Chaîne Météo a également indiqué que la Seine a quasiment doublé son débit de 93 mètres cubes par seconde à 175 mètres cubes par seconde, et que le fleuve traversant le cœur de Paris, nourri par les eaux des ruissellements urbains, a gagné 35 centimètres de profondeur.