Devant les enquêteurs et le juge d’instruction, le mis en cause a reconnu son acte « tout en apportant des explications confuses interrogeant sur de potentiels troubles psychiatriques », a précisé l’AFP dans un communiqué.
A cet effet, une expertise psychiatrique a été requise sur le concerné. Sachant que les
médecins chargés de contrôle de la compatibilité de son état de santé avec le régime de sa garde à vue ont bien remarqué ces troubles. « Cela a conduit les magistrats à solliciter un examen psychiatrique de l’intéressé au moment de son incarcération à la Maison d’arrêt de Corbas (Rhône) afin qu’une détention en unité hospitalière spécialement aménagée puisse être envisagée par l’administration pénitentiaire », a souligné le communiqué.
Selon la même source, la procédure pénale se poursuit afin de «comprendre les raisons de ce passage à l’acte et d’approfondir au moyen d’expertises psychiatriques et psychologiques la connaissance de la personnalité du mis en examen».
Il convient de noter que l’accusé a été aperçu, dimanche dernier, par des agents municipaux, déambulant une tête dans une main et un couteau de cuisine dans l’autre, après la découverte du corps décapité de son père. A l’arrivée des policiers, l’individu aurait tenté de leur asséner des coups de couteau sans les blesser.
En situation régulière, le mis en examen est connu pour des faits de droit commun, sur fond de différends familiaux, d’alcool et de stupéfiants.
A cet effet, une expertise psychiatrique a été requise sur le concerné. Sachant que les
médecins chargés de contrôle de la compatibilité de son état de santé avec le régime de sa garde à vue ont bien remarqué ces troubles. « Cela a conduit les magistrats à solliciter un examen psychiatrique de l’intéressé au moment de son incarcération à la Maison d’arrêt de Corbas (Rhône) afin qu’une détention en unité hospitalière spécialement aménagée puisse être envisagée par l’administration pénitentiaire », a souligné le communiqué.
Selon la même source, la procédure pénale se poursuit afin de «comprendre les raisons de ce passage à l’acte et d’approfondir au moyen d’expertises psychiatriques et psychologiques la connaissance de la personnalité du mis en examen».
Il convient de noter que l’accusé a été aperçu, dimanche dernier, par des agents municipaux, déambulant une tête dans une main et un couteau de cuisine dans l’autre, après la découverte du corps décapité de son père. A l’arrivée des policiers, l’individu aurait tenté de leur asséner des coups de couteau sans les blesser.
En situation régulière, le mis en examen est connu pour des faits de droit commun, sur fond de différends familiaux, d’alcool et de stupéfiants.