Le Liban a convenu avec Chypre, vendredi, d'accélérer les pourparlers autour du tracé de leur frontière maritime, au lendemain d'un accord avec Israël sur la démarcation de leurs eaux, assurant la répartition de précieux gisements gaziers offshore en Méditerranée orientale.
"Il n'y a pas de problème entre le Liban et Chypre qui ne puisse être résolu facilement", a déclaré un envoyé présidentiel chypriote, Tasos Tzionis, à l'issue d'une rencontre avec le président libanais Michel Aoun.
"Nous avons eu des discussions très amicales et constructives" au sujet de la démarcation de la frontière maritime, a-t-il ajouté, exprimant l'espoir de "résoudre tous les problèmes".
Le Liban et Chypre, qui ont déjà amorcé distinctement le processus de prospection des ressources offshore, ont signé un accord en 2007 délimitant leurs zones économiques exclusives (ZEE) respectives.
Mais il n'avait pas été ratifié par le parlement libanais en raison du contentieux maritime entre le Liban et Israël.
Les deux pays ennemis ont conclu jeudi l'accord de démarcation de leur frontière maritime, permettant à Beyrouth de commencer l'exploration et à Tel-Aviv de produire du gaz à partir de la zone auparavant contestée.
"Le Hezbollah, un élément dissuasif dans les négociations"
Pour revenir à l’accord sur la délimitation des frontières maritimes Le Hezbollah a annoncé, jeudi, mettre fin à ses mesures militaires "exceptionnelles" face à Israël, après la conclusion de l'accord sur la frontière maritime entre le Liban et l'Etat hébreu qui répartit les gisements gaziers offshore en Méditerranée orientale.
"Avec la conclusion de l'accord (...) la mission de la Résistance est terminée", a annoncé dans un discours, Hassan Nasrallah, qui avait menacé Israël en cas d'extraction de gaz du champ de Karish avant la conclusion d'un accord.
"Toutes les mesures et dispositions et les mobilisations exceptionnelles et spécifiques de la Résistance de ces derniers mois sont terminées", a-t-il ajouté.
Hassan Nasrallah a salué, comme "une grande victoire pour le Liban", l'accord conclu jeudi entre les deux pays techniquement toujours en état de guerre.
Le président libanais sortant Michel Aoun a affirmé samedi à l'agence Reuters que le Hezbollah avait joué un rôle "dissuasif" dans les négociations avec Israël qui ont abouti à un accord qui délimite la frontière maritime entre les deux pays.
"Il n'y a pas de problème entre le Liban et Chypre qui ne puisse être résolu facilement", a déclaré un envoyé présidentiel chypriote, Tasos Tzionis, à l'issue d'une rencontre avec le président libanais Michel Aoun.
"Nous avons eu des discussions très amicales et constructives" au sujet de la démarcation de la frontière maritime, a-t-il ajouté, exprimant l'espoir de "résoudre tous les problèmes".
Le Liban et Chypre, qui ont déjà amorcé distinctement le processus de prospection des ressources offshore, ont signé un accord en 2007 délimitant leurs zones économiques exclusives (ZEE) respectives.
Mais il n'avait pas été ratifié par le parlement libanais en raison du contentieux maritime entre le Liban et Israël.
Les deux pays ennemis ont conclu jeudi l'accord de démarcation de leur frontière maritime, permettant à Beyrouth de commencer l'exploration et à Tel-Aviv de produire du gaz à partir de la zone auparavant contestée.
"Le Hezbollah, un élément dissuasif dans les négociations"
Pour revenir à l’accord sur la délimitation des frontières maritimes Le Hezbollah a annoncé, jeudi, mettre fin à ses mesures militaires "exceptionnelles" face à Israël, après la conclusion de l'accord sur la frontière maritime entre le Liban et l'Etat hébreu qui répartit les gisements gaziers offshore en Méditerranée orientale.
"Avec la conclusion de l'accord (...) la mission de la Résistance est terminée", a annoncé dans un discours, Hassan Nasrallah, qui avait menacé Israël en cas d'extraction de gaz du champ de Karish avant la conclusion d'un accord.
"Toutes les mesures et dispositions et les mobilisations exceptionnelles et spécifiques de la Résistance de ces derniers mois sont terminées", a-t-il ajouté.
Hassan Nasrallah a salué, comme "une grande victoire pour le Liban", l'accord conclu jeudi entre les deux pays techniquement toujours en état de guerre.
Le président libanais sortant Michel Aoun a affirmé samedi à l'agence Reuters que le Hezbollah avait joué un rôle "dissuasif" dans les négociations avec Israël qui ont abouti à un accord qui délimite la frontière maritime entre les deux pays.