Le système énergétique doit être profondément transformé pour sécuriser la disponibilité de l’énergie et installer le Maroc dans la croissance indépendante, a indiqué Benali, qui a attribué cette nouvelle vision au fait que le Maroc, actuellement, n’a pas encore atteint le niveau requis.
Leila Benali, qui s’exprimait mardi lors de la session des questions orales à la Chambre des Représentants, a fait savoir que « le niveau requis par le ministère est de répondre aux besoins nationaux en gaz pendant au moins 30 ans ».
S’agissant des énergies renouvelables, Benali a confirmé que les ambitions ont été relevées afin de dépasser l’objectif d’atteindre 52 % d’énergies renouvelables dans la capacité installée en 2030, notant que « le Maroc compte aujourd’hui 61 projets en cours de développement ou en construction avec une capacité totale de 4,6 gigawatts, et un investissement de près de 53 milliards de dirhams, mais cela reste insuffisant ».
En effet, le Maroc connaît une croissance continue de la demande en énergie, une croissance liée notamment au processus d’industrialisation en développement, à l’essor de l’économie nationale et à l’augmentation du niveau de vie de la population.
Dans ce nouveau contexte, l’enjeu climatique, dans un pays où l’eau joue un rôle central, est décisif. Consciente de ce changement de paradigme, la ministre a souligné que son département est déterminé à accélérer la transition énergétique et le développement durable. « La transition énergétique est au cœur du Nouveau Modèle de Développement, qui cherche à en faire le centre de son attractivité économique », précise-t-elle.
Dans ce sillage, un ensemble de nouvelles initiatives et programmes ont été élaborés pour soutenir les investissements dans les énergies renouvelables, annonce-t-elle, notant à cet égard que le Maroc a mis en place un programme d’une capacité totale de 400 mégawatts, qui concerne la mise en place de centrales solaires photovoltaïques.
La tutelle a également instauré un programme de dessalement d’eau de mer alimenté par les énergies renouvelables, un projet énergétique en cours de développement dans la ville de Dakhla, ainsi qu’un programme d’alimentation des zones industrielles en énergie électrique propre, comme c’est le cas pour la zone industrielle de Kénitra, rappelle Benali, rassurant que le ministère poursuivra ses efforts pour développer l’arsenal juridique, dont la facture du ralentissement de la réforme a dépassé les 5 milliards de dirhams.
Par ailleurs, la responsable gouvernementale a estimé que la suspension du Gazoduc Maghreb-Europe a constitué une opportunité pour une révision globale de la feuille de route relative au gaz naturel.
Depuis novembre dernier, plus de 80% de la demande en énergie électrique ont été couverts par le charbon, le fioul, le diesel et les importations d'électricité des pays voisins et certains projets photovoltaïques, relève-t-elle, précisant que l’accès au marché du gaz naturel international garantira l’accélération du développement des énergies renouvelables et la promotion d’une industrie et de services logistiques sobres en carbone.
Leila Benali, qui s’exprimait mardi lors de la session des questions orales à la Chambre des Représentants, a fait savoir que « le niveau requis par le ministère est de répondre aux besoins nationaux en gaz pendant au moins 30 ans ».
S’agissant des énergies renouvelables, Benali a confirmé que les ambitions ont été relevées afin de dépasser l’objectif d’atteindre 52 % d’énergies renouvelables dans la capacité installée en 2030, notant que « le Maroc compte aujourd’hui 61 projets en cours de développement ou en construction avec une capacité totale de 4,6 gigawatts, et un investissement de près de 53 milliards de dirhams, mais cela reste insuffisant ».
En effet, le Maroc connaît une croissance continue de la demande en énergie, une croissance liée notamment au processus d’industrialisation en développement, à l’essor de l’économie nationale et à l’augmentation du niveau de vie de la population.
Dans ce nouveau contexte, l’enjeu climatique, dans un pays où l’eau joue un rôle central, est décisif. Consciente de ce changement de paradigme, la ministre a souligné que son département est déterminé à accélérer la transition énergétique et le développement durable. « La transition énergétique est au cœur du Nouveau Modèle de Développement, qui cherche à en faire le centre de son attractivité économique », précise-t-elle.
Dans ce sillage, un ensemble de nouvelles initiatives et programmes ont été élaborés pour soutenir les investissements dans les énergies renouvelables, annonce-t-elle, notant à cet égard que le Maroc a mis en place un programme d’une capacité totale de 400 mégawatts, qui concerne la mise en place de centrales solaires photovoltaïques.
La tutelle a également instauré un programme de dessalement d’eau de mer alimenté par les énergies renouvelables, un projet énergétique en cours de développement dans la ville de Dakhla, ainsi qu’un programme d’alimentation des zones industrielles en énergie électrique propre, comme c’est le cas pour la zone industrielle de Kénitra, rappelle Benali, rassurant que le ministère poursuivra ses efforts pour développer l’arsenal juridique, dont la facture du ralentissement de la réforme a dépassé les 5 milliards de dirhams.
Par ailleurs, la responsable gouvernementale a estimé que la suspension du Gazoduc Maghreb-Europe a constitué une opportunité pour une révision globale de la feuille de route relative au gaz naturel.
Depuis novembre dernier, plus de 80% de la demande en énergie électrique ont été couverts par le charbon, le fioul, le diesel et les importations d'électricité des pays voisins et certains projets photovoltaïques, relève-t-elle, précisant que l’accès au marché du gaz naturel international garantira l’accélération du développement des énergies renouvelables et la promotion d’une industrie et de services logistiques sobres en carbone.