Les participants au sit-in organisé devant le siège du Comité international de la Croix-Rouge à Gaza ont brandi des banderoles appelant à la libération du prisonnier "Nasser Abou Hamid" .
Le Club des prisonniers palestiniens (organisation non gouvernementale) avait annoncé, jeudi, que le nouveau rapport médical du prisonnier "Abou Hamid", affirme qu'il souffre d'un cancer, qu'il est "en train de mourir".
Tamer Al-Zaanin, porte-parole du club auprès des médias, a appelé les Organisations internationales de défense des Droits de l'Homme à "faire pression sur Israël pour libérer Abu Hamid".
Dans une déclaration à l'Agence Anadolu, Al-Zaanin a affirmé que "le détenu Abu Hamid est dans un état de santé critique, il est dans un état de mort clinique, et toutes les institutions internationales sont tenues de prendre des mesures urgentes pour lui sauver la vie".
"La détérioration de la santé d'Abou Hamid est causée par une politique systématique de l'administration de l'Autorité pénitentiaire israélienne, consistant à priver de soins médicaux et de traitements nécessaires, les détenus palestiniens malades," a-t-il ajouté.
Un processus de « mort lente »
Le porte-parole de l’ONG palestinienne a également souligné que "l'administration pénitentiaire traite les prisonniers avec arrogance et les tue délibérément en toute lenteur par négligence médicale".
Âgé de 49 ans, Abu Hamid est condamné à 7 peines de prison à vie et 50 ans dans les prisons israéliennes.
Ses quatre frères ont été arrêtés avec lui en 2002, tandis que son cinquième frère a été arrêté en 2018.
Tous purgent des peines de perpétuité, pour leur appartenance à la résistance contre l’occupation israélienne et contre la colonisation sioniste dans toute la Palestine. Leur sixième frère, Abdel-Moneim Abu Hamid, a été assassiné par les forces spéciales de l’occupation israélienne le 31 mai 1994, d'après l'Agence de presse officielle WAFA.
Le nombre de détenus palestiniens dans les geôles israéliennes est d'environ 4550 personnes, selon les données officielles palestiniennes.
Un rapport du club des détenus palestiniens fait état de "tuerie lente" adoptée par les autorités d'occupation israéliennes pour exécuter et liquider les prisonniers palestiniens.
L’ONG décrit la "politique de négligence médicale" menée par "Israël" contre les prisonniers comme une "tuerie lente", soulignant que "73 prisonniers ont été sacrifiés dans les prisons de l'occupation en raison de la politique de négligence médicale, depuis 1967".
Le Prisoner's Club a déclaré que « les données dangereuses observées dans le cas des prisonniers malades au cours des dernières années, où le crime de négligence médicale (tuerie lente), ainsi que la politique de torture, ont constitué les politiques les plus importantes qui ont conduit à la mort de détenus, y compris les outils répressifs intensifs et abusifs utilisés par l'administration pénitentiaire.
Le Club des prisonniers palestiniens (organisation non gouvernementale) avait annoncé, jeudi, que le nouveau rapport médical du prisonnier "Abou Hamid", affirme qu'il souffre d'un cancer, qu'il est "en train de mourir".
Tamer Al-Zaanin, porte-parole du club auprès des médias, a appelé les Organisations internationales de défense des Droits de l'Homme à "faire pression sur Israël pour libérer Abu Hamid".
Dans une déclaration à l'Agence Anadolu, Al-Zaanin a affirmé que "le détenu Abu Hamid est dans un état de santé critique, il est dans un état de mort clinique, et toutes les institutions internationales sont tenues de prendre des mesures urgentes pour lui sauver la vie".
"La détérioration de la santé d'Abou Hamid est causée par une politique systématique de l'administration de l'Autorité pénitentiaire israélienne, consistant à priver de soins médicaux et de traitements nécessaires, les détenus palestiniens malades," a-t-il ajouté.
Un processus de « mort lente »
Le porte-parole de l’ONG palestinienne a également souligné que "l'administration pénitentiaire traite les prisonniers avec arrogance et les tue délibérément en toute lenteur par négligence médicale".
Âgé de 49 ans, Abu Hamid est condamné à 7 peines de prison à vie et 50 ans dans les prisons israéliennes.
Ses quatre frères ont été arrêtés avec lui en 2002, tandis que son cinquième frère a été arrêté en 2018.
Tous purgent des peines de perpétuité, pour leur appartenance à la résistance contre l’occupation israélienne et contre la colonisation sioniste dans toute la Palestine. Leur sixième frère, Abdel-Moneim Abu Hamid, a été assassiné par les forces spéciales de l’occupation israélienne le 31 mai 1994, d'après l'Agence de presse officielle WAFA.
Le nombre de détenus palestiniens dans les geôles israéliennes est d'environ 4550 personnes, selon les données officielles palestiniennes.
Un rapport du club des détenus palestiniens fait état de "tuerie lente" adoptée par les autorités d'occupation israéliennes pour exécuter et liquider les prisonniers palestiniens.
L’ONG décrit la "politique de négligence médicale" menée par "Israël" contre les prisonniers comme une "tuerie lente", soulignant que "73 prisonniers ont été sacrifiés dans les prisons de l'occupation en raison de la politique de négligence médicale, depuis 1967".
Le Prisoner's Club a déclaré que « les données dangereuses observées dans le cas des prisonniers malades au cours des dernières années, où le crime de négligence médicale (tuerie lente), ainsi que la politique de torture, ont constitué les politiques les plus importantes qui ont conduit à la mort de détenus, y compris les outils répressifs intensifs et abusifs utilisés par l'administration pénitentiaire.