A l’occasion de l’approche des élections législatives, régionales et communales, le maire de Rabat, Mohammed Sadiki, a présenté les grandes lignes du bilan et des réalisations de sa commune qu’il juge « satisfaisantes ». Des propos qui semblent peu convaincants vu le chemin qui reste à parcourir pour faire de Rabat une « Ville Lumière, Capitale Marocaine de la Culture » digne de ce nom.
Lors d’un meeting, le président de la commune a fait savoir que son département a veillé à la mise en route de plusieurs projets d’envergure visant à améliorer l’attractivité de la ville, à faciliter le quotidien de ses habitants et à leur offrir un cadre de vie plus agréable. Il a, dans cette optique, mis en exergue les chantiers phares entamés par la ville tout au long de son dernier mandat 2015-2021, notamment l’augmentation du budget alloué aux espaces verts.
Un bilan auto-attribué
Contacté par nos soins, Abdelilah El Idrissi El Bouzidi, membre du Comité exécutif de l’Istiqlal et tête de liste du parti dans la circonscription de Rabat-Océan, a pointé du doigt la mauvaise gouvernance de la mairie de Rabat, dont le bureau est dirigé par le Parti de la Justice et du Développement (PJD). « Il y a de nombreuses lacunes que la mairie a échouée à combler », ajoutant que « certes, Rabat a connu un important essor, mais grâce à l’ambitieux projet royal, baptisé « Rabat ville lumière, capitale marocaine de la culture».
Tout en ayant l’intime conviction que les autorités de la ville ne sont pas parvenues à régler plusieurs problèmes épineux tel que l’éclairage nocturne, ce dernier reconnait que la capitale a connu un sursaut de développement lors des dernières années. Or, cela est dû essentiellement aux efforts de SM le Roi Mohammed VI qui visent à valoriser le patrimoine culturel et civilisationnel de la ville, à préserver des espaces verts, à améliorer l’accès aux services et équipements sociaux de proximité, etc.
Notre interlocuteur a indiqué que la mairie s’auto-attribue un bilan qui est loin de représenter réellement ses réalisations. En témoigne la gestion hasardeuse des espaces funéraires dont la ville souffre suite à l’insuffisance des superficies qui leur sont réservées.
« Normalement, la mairie devait accompagner ledit projet royal tout en concevant d’autre programmes sociaux, éducatifs, culturels, économiques, etc., dans le but de métamorphoser la ville à la fois sur le plan esthétique de son paysage urbain et en matière de services essentiels ».
Lors d’un meeting, le président de la commune a fait savoir que son département a veillé à la mise en route de plusieurs projets d’envergure visant à améliorer l’attractivité de la ville, à faciliter le quotidien de ses habitants et à leur offrir un cadre de vie plus agréable. Il a, dans cette optique, mis en exergue les chantiers phares entamés par la ville tout au long de son dernier mandat 2015-2021, notamment l’augmentation du budget alloué aux espaces verts.
Un bilan auto-attribué
Contacté par nos soins, Abdelilah El Idrissi El Bouzidi, membre du Comité exécutif de l’Istiqlal et tête de liste du parti dans la circonscription de Rabat-Océan, a pointé du doigt la mauvaise gouvernance de la mairie de Rabat, dont le bureau est dirigé par le Parti de la Justice et du Développement (PJD). « Il y a de nombreuses lacunes que la mairie a échouée à combler », ajoutant que « certes, Rabat a connu un important essor, mais grâce à l’ambitieux projet royal, baptisé « Rabat ville lumière, capitale marocaine de la culture».
Tout en ayant l’intime conviction que les autorités de la ville ne sont pas parvenues à régler plusieurs problèmes épineux tel que l’éclairage nocturne, ce dernier reconnait que la capitale a connu un sursaut de développement lors des dernières années. Or, cela est dû essentiellement aux efforts de SM le Roi Mohammed VI qui visent à valoriser le patrimoine culturel et civilisationnel de la ville, à préserver des espaces verts, à améliorer l’accès aux services et équipements sociaux de proximité, etc.
Notre interlocuteur a indiqué que la mairie s’auto-attribue un bilan qui est loin de représenter réellement ses réalisations. En témoigne la gestion hasardeuse des espaces funéraires dont la ville souffre suite à l’insuffisance des superficies qui leur sont réservées.
« Normalement, la mairie devait accompagner ledit projet royal tout en concevant d’autre programmes sociaux, éducatifs, culturels, économiques, etc., dans le but de métamorphoser la ville à la fois sur le plan esthétique de son paysage urbain et en matière de services essentiels ».
Siham MDIJI
L’Istiqlal prêt à embellir la capitale
Sous le slogan « L’équité, maintenant », le parti de l’Istiqlal vise, au cours de son prochain mandat 2021-2026, à mettre en place des projets de développement basé sur une gouvernance efficace qui interagit directement avec les attentes et les aspirations des citoyens des milieux rural et urbain de la région de Rabat. Outre qu’il démontre l’implication du parti dans le dynamisme royal du développement, son programme électoral a pour vocation de créer de nouveaux postes d’emploi pour la promotion des droits de tous à une vie décente, à améliorer les infrastructures, à renforcer la sécurité, notamment numérique et à consacrer une attention particulière aux problèmes d’environnement.