
Depuis une semaine, les douze régions du Royaume sont baignées par d’importantes précipitations, que l’on attendait avec impatience. Même les alertes d’orages, qui par le passé suscitaient inquiétude et appréhension parmi les citoyens, sont désormais accueillies avec une joie inespérée, malgré les quelques dégâts et inondations qu’elles provoquent à chaque épisode, en raison des lacunes de nos infrastructures. Alors que nous entamons la septième année de sécheresse, chaque averse semble désormais un miracle, un souffle d’espoir dans un paysage marqué par la soif. Les réseaux sociaux sont devenus le théâtre d’échanges sur les précipitations, avec des centaines de vidéos et de photos témoignant des récentes averses qui ont arrosé nos villes et nos campagnes.
Bien que les pluies n’aient pas encore atteint le niveau espéré, certaines rivières asséchées commencent à retrouver leur vigueur, les terres desséchées ont commencé à reverdir et même certains barrages ont commencé à se remplir. Avec un taux global de remplissage des barrages qui s’élève désormais à 28,65%, porté principalement par ceux de Guir-Ziz-Rhéris (53,02%), du Loukous (44,92%) et du Bouregreg (41,84%), les réserves hydriques, récemment renforcées, ravivent les espoirs des agriculteurs, qui comptent beaucoup sur cette phase pré-printanière pour sauver leurs récoltes. Cependant, bien que ces pluies soient les bienvenues, elles ne suffiront pas à atteindre l’ambitieux objectif du gouvernement, qui espère une récolte céréalière de 70 millions de quintaux. Néanmoins, elles offriront un soulagement indéniable à l’arboriculture, atténuant ainsi les crises qui frappent certaines filières, avec l’huile d’olive en tête de liste.
C’est dire que ces pluies ne produiront pas de miracles, mais elles offrent un rayon de lumière dans une année marquée par l’incertitude. La rareté des précipitations, combinée à des vagues de chaleur de plus en plus fréquentes, laisse présager une production agricole en deçà des attentes, et soulève la question cruciale de notre autosuffisance alimentaire. Face à ces nouvelles conditions climatiques, l’adaptation de notre agriculture devient plus urgente que jamais. La rendre plus résiliente et moins dépendante de la pluviométrie devrait être notre priorité absolue.
En attendant que l’horizon se dessine, nous pouvons néanmoins savourer ces quelques gouttes de bonheur, offertes par les dernières pluies.
Bien que les pluies n’aient pas encore atteint le niveau espéré, certaines rivières asséchées commencent à retrouver leur vigueur, les terres desséchées ont commencé à reverdir et même certains barrages ont commencé à se remplir. Avec un taux global de remplissage des barrages qui s’élève désormais à 28,65%, porté principalement par ceux de Guir-Ziz-Rhéris (53,02%), du Loukous (44,92%) et du Bouregreg (41,84%), les réserves hydriques, récemment renforcées, ravivent les espoirs des agriculteurs, qui comptent beaucoup sur cette phase pré-printanière pour sauver leurs récoltes. Cependant, bien que ces pluies soient les bienvenues, elles ne suffiront pas à atteindre l’ambitieux objectif du gouvernement, qui espère une récolte céréalière de 70 millions de quintaux. Néanmoins, elles offriront un soulagement indéniable à l’arboriculture, atténuant ainsi les crises qui frappent certaines filières, avec l’huile d’olive en tête de liste.
C’est dire que ces pluies ne produiront pas de miracles, mais elles offrent un rayon de lumière dans une année marquée par l’incertitude. La rareté des précipitations, combinée à des vagues de chaleur de plus en plus fréquentes, laisse présager une production agricole en deçà des attentes, et soulève la question cruciale de notre autosuffisance alimentaire. Face à ces nouvelles conditions climatiques, l’adaptation de notre agriculture devient plus urgente que jamais. La rendre plus résiliente et moins dépendante de la pluviométrie devrait être notre priorité absolue.
En attendant que l’horizon se dessine, nous pouvons néanmoins savourer ces quelques gouttes de bonheur, offertes par les dernières pluies.