Les activités non agricoles ont affiché une augmentation de 4,2% et celles du secteur agricole une baisse de 15,5%, précise le HCP dans une note d'information sur la situation économique nationale au T2-2022.
Tirée par la demande intérieure, cette croissance a été réalisée dans un contexte d'une forte inflation et d'une aggravation du besoin de financement de l'économie nationale, souligne la même source.
Au détail, les comptes nationaux révèlent que la valeur ajoutée du secteur primaire en volume, corrigée des variations saisonnières, s'est contractée de 16% au deuxième trimestre 2022, après avoir enregistré une hausse de 18,3% le même trimestre de l'année précédente. Ceci s'explique par la baisse de la valeur ajoutée de l'agriculture de 15,5% et de celle de la pêche de 23,4%.
De son côté, la valeur ajoutée du secteur secondaire, en volume, a connu un net ralentissement de sa croissance passant de 17,3% au T2-2021 à 1,5% au T2-2022.
Ceci résulte du ralentissement du rythme d'accroissement des valeurs ajoutées des industries manufacturières à 2,3%, de l'électricité, gaz, eau, assainissement et déchets à 2% et du bâtiment et travaux publics à 1,7%, ainsi que de la de la baisse de celle de l'industrie d'extraction de 7,8%.
La valeur ajoutée du secteur tertiaire, par ailleurs, a enregistré un ralentissement de son taux d'accroissement passant de 11,2% le même trimestre de l'année précédente à 6,1%.
Ceci a été le résultat de la hausse des valeurs ajoutées des services rendus par l'Administration publique générale et la sécurité sociale de 5,6%, des services de l'éducation, de la santé et de l'action sociale de 4,3%, de l'information et communication de 1,3%, ainsi que du ralentissement de celles de l'hébergement et restauration à 50,3%, du transports et entreposage à 10,8%, du commerce et réparation véhicules à 4%, de la recherche et développement et services rendus aux entreprises à 3,2% et des services immobiliers à 1,5%.
Aux prix courants, le PIB a connu un net ralentissement à 6,9% au lieu de 16,5% une année auparavant, dégageant ainsi une augmentation du niveau général des prix de 4,9% au lieu de 2,3%.
Tirée par la demande intérieure, cette croissance a été réalisée dans un contexte d'une forte inflation et d'une aggravation du besoin de financement de l'économie nationale, souligne la même source.
Au détail, les comptes nationaux révèlent que la valeur ajoutée du secteur primaire en volume, corrigée des variations saisonnières, s'est contractée de 16% au deuxième trimestre 2022, après avoir enregistré une hausse de 18,3% le même trimestre de l'année précédente. Ceci s'explique par la baisse de la valeur ajoutée de l'agriculture de 15,5% et de celle de la pêche de 23,4%.
De son côté, la valeur ajoutée du secteur secondaire, en volume, a connu un net ralentissement de sa croissance passant de 17,3% au T2-2021 à 1,5% au T2-2022.
Ceci résulte du ralentissement du rythme d'accroissement des valeurs ajoutées des industries manufacturières à 2,3%, de l'électricité, gaz, eau, assainissement et déchets à 2% et du bâtiment et travaux publics à 1,7%, ainsi que de la de la baisse de celle de l'industrie d'extraction de 7,8%.
La valeur ajoutée du secteur tertiaire, par ailleurs, a enregistré un ralentissement de son taux d'accroissement passant de 11,2% le même trimestre de l'année précédente à 6,1%.
Ceci a été le résultat de la hausse des valeurs ajoutées des services rendus par l'Administration publique générale et la sécurité sociale de 5,6%, des services de l'éducation, de la santé et de l'action sociale de 4,3%, de l'information et communication de 1,3%, ainsi que du ralentissement de celles de l'hébergement et restauration à 50,3%, du transports et entreposage à 10,8%, du commerce et réparation véhicules à 4%, de la recherche et développement et services rendus aux entreprises à 3,2% et des services immobiliers à 1,5%.
Aux prix courants, le PIB a connu un net ralentissement à 6,9% au lieu de 16,5% une année auparavant, dégageant ainsi une augmentation du niveau général des prix de 4,9% au lieu de 2,3%.