Depuis la reprise des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël, les deux pays sont déterminés à promouvoir une coopération économique bilatérale dynamique et innovante dans plusieurs domaines, notamment technologique.
En effet, l’agence de notation Fitch a donné récemment la note A+ à Israël. Elle lui a ainsi attribué la forte activité économique en 2021 en partie au secteur de la high tech, qui a connu des investissements, des sorties et des introductions en bourse record et « a conduit à une plus forte collecte des taxes connexes ».
Connu pour son leadership en matière de high-tech, l’Etat hébreux a annoncé, mercredi 2 mars, le lancement imminent d’un projet visant la formation des étudiants arabes dans ce domaine. L’annonce en question a par ailleurs été relayée sur le compte officiel de l’Etat d’Israël au réseau social Twitter.
« Le ministère des Affaires étrangères a lancé un projet visant à développer les capacités de haute technologie des étudiants de pays arabes », notamment le Maroc, a fait savoir la même source.
Les candidats venant de l’Egypte, de la Jordanie, des Émirats arabes unis et du Bahreïn sont également éligibles, a-t-elle ajouté. Ces derniers, en plus de la formation, seront embauchés dans des entreprises israéliennes de haute technologie, a-t-elle souligné, précisant que le travail sera effectué à distance.
En effet, l’agence de notation Fitch a donné récemment la note A+ à Israël. Elle lui a ainsi attribué la forte activité économique en 2021 en partie au secteur de la high tech, qui a connu des investissements, des sorties et des introductions en bourse record et « a conduit à une plus forte collecte des taxes connexes ».
Connu pour son leadership en matière de high-tech, l’Etat hébreux a annoncé, mercredi 2 mars, le lancement imminent d’un projet visant la formation des étudiants arabes dans ce domaine. L’annonce en question a par ailleurs été relayée sur le compte officiel de l’Etat d’Israël au réseau social Twitter.
« Le ministère des Affaires étrangères a lancé un projet visant à développer les capacités de haute technologie des étudiants de pays arabes », notamment le Maroc, a fait savoir la même source.
Les candidats venant de l’Egypte, de la Jordanie, des Émirats arabes unis et du Bahreïn sont également éligibles, a-t-elle ajouté. Ces derniers, en plus de la formation, seront embauchés dans des entreprises israéliennes de haute technologie, a-t-elle souligné, précisant que le travail sera effectué à distance.