« Le Maroc, de par son expérience militaire et le haut degré de qualification de son Armée, est indispensable à la réussite d’African Lion », c’est avec ces mots que l’actuel patron de l’AFRICOM, le Général américain Stephen Townsend, a montré son soutien envers le Royaume qui a fait montre de sa capacité d’être un hôte de qualité lors des 18 éditions précédentes. Mais l’efficacité du Royaume en la matière va au-delà de l’African Lion, car, durant ses trente ans de coopération avec l’OTAN, le Maroc, et plus précisément l’armée marocaine, a fait preuve de son efficience lors des missions de maintien de paix et de lutte contre le terrorisme, décrochant ainsi le statut de «partenaire stratégique clé» pour l’Alliance atlantique.
Bien qu’en l’absence de mannes providentielles le budget dédié par le Royaume à l’armement demeure relativement raisonnable, comparé à un voisin de l’Est - engagé depuis des années dans l’armement tous azimuts, en dépit de ses problèmes socio-économiques internes -, les FAR ont pu atteindre les standards même de l’OTAN. Et si le lobby pro-polisarien s’agite au Sénat, à la veille de la nomination d’un nouveau Chef de l’AFRICOM, pour influer sur le paradigme américain en matière de coopération militaire, Townsend a, comme diraient les Anglo-Saxons, «nipped in the bud» (tué dans l’oeuf) les tentatives hostiles visant à délocaliser l’exercice militaire maroco-américain, lequel se déroule chaque année à la lisière de la frontière algérienne, notamment dans la région d’Al-Mahbès, à quelque 80 kilomètres de Tindouf, au coeur des zones dites contestées.
Car oui, le maintien du Maroc comme hôte de l’African Lion relève de l’évidence ! Premièrement pour son positionnement géopolitique, du moment qu’il se trouve à la croisée des chemins entre l’Afrique subsaharienne, le Monde arabe et l’Europe, tout en jouissant d’une réputation d’excellence auprès des puissances occidentales.
Deuxièmement, le pays participe à plus de 100 exercices et événements militaires aux côtés des Etats-Unis chaque année. C’est dire qu’il occupe une place stratégique dans les programmes d’éducation et de formation militaires. Troisièmement, la coopération économique tout comme militaire entre les deux pays est exemplaire sur tous les plans, surtout avec la « Feuille de route pour la coopération en matière de Défense », signée en 2020. Chers détracteurs, sachez que « contrôler le contenu d’un rêve s’apprend».
Bien qu’en l’absence de mannes providentielles le budget dédié par le Royaume à l’armement demeure relativement raisonnable, comparé à un voisin de l’Est - engagé depuis des années dans l’armement tous azimuts, en dépit de ses problèmes socio-économiques internes -, les FAR ont pu atteindre les standards même de l’OTAN. Et si le lobby pro-polisarien s’agite au Sénat, à la veille de la nomination d’un nouveau Chef de l’AFRICOM, pour influer sur le paradigme américain en matière de coopération militaire, Townsend a, comme diraient les Anglo-Saxons, «nipped in the bud» (tué dans l’oeuf) les tentatives hostiles visant à délocaliser l’exercice militaire maroco-américain, lequel se déroule chaque année à la lisière de la frontière algérienne, notamment dans la région d’Al-Mahbès, à quelque 80 kilomètres de Tindouf, au coeur des zones dites contestées.
Car oui, le maintien du Maroc comme hôte de l’African Lion relève de l’évidence ! Premièrement pour son positionnement géopolitique, du moment qu’il se trouve à la croisée des chemins entre l’Afrique subsaharienne, le Monde arabe et l’Europe, tout en jouissant d’une réputation d’excellence auprès des puissances occidentales.
Deuxièmement, le pays participe à plus de 100 exercices et événements militaires aux côtés des Etats-Unis chaque année. C’est dire qu’il occupe une place stratégique dans les programmes d’éducation et de formation militaires. Troisièmement, la coopération économique tout comme militaire entre les deux pays est exemplaire sur tous les plans, surtout avec la « Feuille de route pour la coopération en matière de Défense », signée en 2020. Chers détracteurs, sachez que « contrôler le contenu d’un rêve s’apprend».
Saâd JAFRI