Harcèlement en ligne, cyberharcèlement ou abus en lignes, un phénomène qui constitue une atteinte directe à la liberté d’expression des personnes ayant leurs activités en ligne.
Le manuel de défense contre le harcèlement est un outil qui explique la manière avec laquelle il faut se comporter et réagir devant les actes de harcèlement en ligne mais aussi, il offre des conseils et des stratégies d’autodéfense et donne des réponses contre le piratage, l’usurpation d’identité ou le doxing, c’est-à-dire la diffusion publique d’informations personnelles ou sensible afin de lutter contre ce fléau.
Cette ressource, disponible gratuitement sur internet, fut principalement rédigée en anglais en 2018 pour un public basé aux Etats-Unis, et a été adaptée et traduite par une équipe francophone basée en Europe et en Afrique de l’Ouest. Le cyberharcèlement constitue aussi une menace réelle sur la santé physique et émotionnelle des victimes, et qui a des lourdes conséquences sur la vie des personnes, qui pourraient même conduire au suicide.
L’organisation rappelle que pendant des années, le cyberharcèlement a été considéré comme « une menace moins violente que les menaces physiques ». Mais aujourd’hui, souligne-t-elle, « l’impact dévastateur du cyberharcèlement sur le quotidien, la santé mentale, la liberté d’expression et les liens avec les violences en ligne sont reconnus ».
Outre, le manuel est destiné particulièrement aux journalistes, et écrivains des pays francophones en Afrique, en Europe, en Amérique du Nord ou dans les Caraïbes. Mais il se veut plus généralement pertinent « pour toutes les personnes qui font face à de l’hostilité en ligne, en particulier les femmes et les personnes qui s’identifient comme faisant partie d’un groupe marginalisé ».
D’après un rapport de l’Unesco publié en 2020, il est signalé qu’à travers le monde 73% des femmes journalistes avaient été victimes du harcèlement en ligne en exerçant leur travail. Le manuel, déjà disponible en anglais et en espagnol, a été produit en collaboration avec Code for Africa (CFA), organisation de citoyenneté numérique et de journalisme de données, et Pesa- Check, initiative de factchecking de CFA.
Le manuel de défense contre le harcèlement est un outil qui explique la manière avec laquelle il faut se comporter et réagir devant les actes de harcèlement en ligne mais aussi, il offre des conseils et des stratégies d’autodéfense et donne des réponses contre le piratage, l’usurpation d’identité ou le doxing, c’est-à-dire la diffusion publique d’informations personnelles ou sensible afin de lutter contre ce fléau.
Cette ressource, disponible gratuitement sur internet, fut principalement rédigée en anglais en 2018 pour un public basé aux Etats-Unis, et a été adaptée et traduite par une équipe francophone basée en Europe et en Afrique de l’Ouest. Le cyberharcèlement constitue aussi une menace réelle sur la santé physique et émotionnelle des victimes, et qui a des lourdes conséquences sur la vie des personnes, qui pourraient même conduire au suicide.
L’organisation rappelle que pendant des années, le cyberharcèlement a été considéré comme « une menace moins violente que les menaces physiques ». Mais aujourd’hui, souligne-t-elle, « l’impact dévastateur du cyberharcèlement sur le quotidien, la santé mentale, la liberté d’expression et les liens avec les violences en ligne sont reconnus ».
Outre, le manuel est destiné particulièrement aux journalistes, et écrivains des pays francophones en Afrique, en Europe, en Amérique du Nord ou dans les Caraïbes. Mais il se veut plus généralement pertinent « pour toutes les personnes qui font face à de l’hostilité en ligne, en particulier les femmes et les personnes qui s’identifient comme faisant partie d’un groupe marginalisé ».
D’après un rapport de l’Unesco publié en 2020, il est signalé qu’à travers le monde 73% des femmes journalistes avaient été victimes du harcèlement en ligne en exerçant leur travail. Le manuel, déjà disponible en anglais et en espagnol, a été produit en collaboration avec Code for Africa (CFA), organisation de citoyenneté numérique et de journalisme de données, et Pesa- Check, initiative de factchecking de CFA.
Lamia BELHAFIANI