Un drame, une comédie, une tragédie, une tragi-comédie, un théâtre classique où les bienséances n’ont pas été respectées, du jamais vu, du jamais connu, ce qui s’est passé à la fin de la présentation du nouvel entraineur de l’IRT.
Franchement, Badou Zaki qui parlait d’un grand club professionnel, ne méritait pas cette honte.
Encore une fois, la belle ville de Tanger a montré qu’elle n’avait pas un représentant digne de la représenter à l’élite du football national.
Quand un président et trois journalistes s’insultent et s’en prennent aux mains, il est impossible de parler d’éthique sportive, de préparation d’avenir ou d’éducation footballistique.
A ce sujet, les représentants de la presse sportive tangéroise, qui se sont réunis d’urgence après les dramatiques évènements, ont relevé que la responsabilité était partagée des deux côtés.
A vrai dire, on attendait beaucoup de cette présentation du nouvel entraineur Badou Zaki à la presse tangéroise.
Selon le communiqué officiel et suite à la dernière réunion du comité, il a été décidé que la rencontre avec les représentants des différents medias se déroule dans le cadre professionnel des grands clubs.
Tout a été préparé minutieusement dans les moindres détails : journalistes accrédités, hôtel de quatre étoiles situé à la corniche, une salle de fêtes avec beaucoup d’espace, une sonorisation impeccable, une multitude de micros, une centaine de chaises confortables.
Badou Zaki était le premier au rendez-vous, cinq minutes avant l’heure prévue : un exemple de ponctualité à l’européenne.
Mohamed Ahkane, président du club, était là pour les présentations.
Comme tout protocole, il a donné un aperçu sur la carrière d’entraineur que tout le monde connaissait tout en le remerciant d’avoir accepté la délicate mission de travailler avec une équipe dont les dirigeants ont opté pour le renouvellement complet au niveau de l’effectif et au niveau du staff technique.
Pour les détails du contrat, il a expliqué que sa durée était de quatre ans pour la recherche de la stabilité et la constitution d’une ossature à long terme.
Badou Zaki devait prendre la parole pour exprimer sa joie de retourner à une ville, à un public et à une équipe qu’il aimait toujours.
Pour lui, la durée du contrat de quatre ans est suffisante pour former un groupe d’avenir susceptible de jouer les premiers rôles au championnat : la première saison, l’IRT jouera le maintien avec les 10 places du classement, la deuxième et troisième saisons, il luttera pour une place africaine, la quatrième il sera un candidat pour le titre.
Dans toutes ses interventions, l’entraineur a exprimé ses remerciements au président de la FRMF Fouzi Lekjaâ qui l’avait libéré du contrat de deux ans à la direction technique.
En parallèle avec la nomination du nouvel entraineur, un autre ex footballeur et compagnon de Badou Zaki à Mallorca Hassan Fadil vient de signer un contrat d’entraineur adjoint à l’IRT.
Franchement, Badou Zaki qui parlait d’un grand club professionnel, ne méritait pas cette honte.
Encore une fois, la belle ville de Tanger a montré qu’elle n’avait pas un représentant digne de la représenter à l’élite du football national.
Quand un président et trois journalistes s’insultent et s’en prennent aux mains, il est impossible de parler d’éthique sportive, de préparation d’avenir ou d’éducation footballistique.
A ce sujet, les représentants de la presse sportive tangéroise, qui se sont réunis d’urgence après les dramatiques évènements, ont relevé que la responsabilité était partagée des deux côtés.
A vrai dire, on attendait beaucoup de cette présentation du nouvel entraineur Badou Zaki à la presse tangéroise.
Selon le communiqué officiel et suite à la dernière réunion du comité, il a été décidé que la rencontre avec les représentants des différents medias se déroule dans le cadre professionnel des grands clubs.
Tout a été préparé minutieusement dans les moindres détails : journalistes accrédités, hôtel de quatre étoiles situé à la corniche, une salle de fêtes avec beaucoup d’espace, une sonorisation impeccable, une multitude de micros, une centaine de chaises confortables.
Badou Zaki était le premier au rendez-vous, cinq minutes avant l’heure prévue : un exemple de ponctualité à l’européenne.
Mohamed Ahkane, président du club, était là pour les présentations.
Comme tout protocole, il a donné un aperçu sur la carrière d’entraineur que tout le monde connaissait tout en le remerciant d’avoir accepté la délicate mission de travailler avec une équipe dont les dirigeants ont opté pour le renouvellement complet au niveau de l’effectif et au niveau du staff technique.
Pour les détails du contrat, il a expliqué que sa durée était de quatre ans pour la recherche de la stabilité et la constitution d’une ossature à long terme.
Badou Zaki devait prendre la parole pour exprimer sa joie de retourner à une ville, à un public et à une équipe qu’il aimait toujours.
Pour lui, la durée du contrat de quatre ans est suffisante pour former un groupe d’avenir susceptible de jouer les premiers rôles au championnat : la première saison, l’IRT jouera le maintien avec les 10 places du classement, la deuxième et troisième saisons, il luttera pour une place africaine, la quatrième il sera un candidat pour le titre.
Dans toutes ses interventions, l’entraineur a exprimé ses remerciements au président de la FRMF Fouzi Lekjaâ qui l’avait libéré du contrat de deux ans à la direction technique.
En parallèle avec la nomination du nouvel entraineur, un autre ex footballeur et compagnon de Badou Zaki à Mallorca Hassan Fadil vient de signer un contrat d’entraineur adjoint à l’IRT.