Onze projets d’un investissement de 454 millions de DH sont programmés dans la province dans le cadre la mise en oeuvre du contrat-programme entre l’État et la région Fès-Meknès (2020-2022).
Selon des données du Conseil de la région, ces projets concernent les axes stratégiques, à savoir le soutien aux secteurs productifs, la relance de l’emploi et la recherche scientifique, l’amélioration de l’attractivité économique des espaces territoriaux de la région, la réduction du déficit social et des inégalités territoriales et la valorisation du champ culturel et des sites touristiques et de la conservation des ressources naturelles.
Parmi ces projets, auxquels le conseil de la région contribue à hauteur de 233,5 MDH, figurent le dédoublement de la route nationale N°8 entre Imouzzer Kander et Ifrane, le désenclavement du monde rural, la création d’un centre régional du digital à l’université Al Akhawayn et l’école nationale supérieure du management sportif, outre la mise en place d’un observatoire régional de développement des compétences.
Ces opérations porteront aussi sur l’élaboration d’un programme pour la création de pôles de l’artisanat en faveur des PME, l’aménagement d’un marché moderne de bétail à Timhdit, les programmes de promotion du sport dans la région, la généralisation de l’enseignement préscolaire et la création de centres dédiés aux handicapés à Timhdit et Ifrane, outre un autre pour la protection sociale à Ain Leuh.
Le contrat-programme entre l’État et la région, qui porte sur la réalisation de projets d’une valeur de 11,19 milliards de DH, identifie un total de 97 projets touchant différents secteurs d’activités.
Le contrat touche, entre autres, les secteurs de l’industrie et du développement des services numériques, de l’équipement et la logistique, de l’enseignement supérieur et l’appui à la recherche scientifique, l’agriculture, de la promotion de l’emploi et du développement des compétences et de l’artisanat et l’économie sociale.
Il s’agit aussi de la qualification sociale et l’identification des disparités territoriales, du tourisme et la valorisation du patrimoine culturel et l’environnement et la protection des ressources naturelles.
Selon des données du Conseil de la région, ces projets concernent les axes stratégiques, à savoir le soutien aux secteurs productifs, la relance de l’emploi et la recherche scientifique, l’amélioration de l’attractivité économique des espaces territoriaux de la région, la réduction du déficit social et des inégalités territoriales et la valorisation du champ culturel et des sites touristiques et de la conservation des ressources naturelles.
Parmi ces projets, auxquels le conseil de la région contribue à hauteur de 233,5 MDH, figurent le dédoublement de la route nationale N°8 entre Imouzzer Kander et Ifrane, le désenclavement du monde rural, la création d’un centre régional du digital à l’université Al Akhawayn et l’école nationale supérieure du management sportif, outre la mise en place d’un observatoire régional de développement des compétences.
Ces opérations porteront aussi sur l’élaboration d’un programme pour la création de pôles de l’artisanat en faveur des PME, l’aménagement d’un marché moderne de bétail à Timhdit, les programmes de promotion du sport dans la région, la généralisation de l’enseignement préscolaire et la création de centres dédiés aux handicapés à Timhdit et Ifrane, outre un autre pour la protection sociale à Ain Leuh.
Le contrat-programme entre l’État et la région, qui porte sur la réalisation de projets d’une valeur de 11,19 milliards de DH, identifie un total de 97 projets touchant différents secteurs d’activités.
Le contrat touche, entre autres, les secteurs de l’industrie et du développement des services numériques, de l’équipement et la logistique, de l’enseignement supérieur et l’appui à la recherche scientifique, l’agriculture, de la promotion de l’emploi et du développement des compétences et de l’artisanat et l’économie sociale.
Il s’agit aussi de la qualification sociale et l’identification des disparités territoriales, du tourisme et la valorisation du patrimoine culturel et l’environnement et la protection des ressources naturelles.