Ça fait longtemps que j’ai cessé de suivre ce que dit l’Algérie”, a ironisé le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, dans son entretien avec les journalistes de France 24 lorsqu’il a été interrogé sur l’Algérie. Une déclaration qui prouve à quel point l’Algérie et ses dirigeants sont discrédités aux yeux du Royaume vu leurs multiples accusations complotistes à l’égard du Maroc. Nasser Bourita n’a pas tort et les récentes déclarations du président Abdelmajid Tebboune montrent le bien-fondé de sa remarque. Dans une nouvelle sortie médiatique, le président algérien a renoué avec son exercice de prédilection : s'en prendre au Maroc devant les caméras des relais du régime. Interrogé sur l’état des relations entre les deux pays, Tebboune a accusé le Royaume de propager des Fake news contre son pays. “ Tout l'appareil de propagande du “voisin” ne cesse de véhiculer des Fake news avec le concours d’Israël”, a t-il déclaré aux journalistes de la chaîne publique Ennahar TV. Une accusation d’autant plus invraisemblable que le président semble oublier la campagne de désinformation que mène l’Agence algérienne de presse (APS) et les médias de son pays qui ne cessent de tordre la réalité dès qu’il s’agit du Maroc ou de l’affaire du Sahara. En témoigne le fiasco de l’équipe de tournage
Comme d’habitude, Isräel est toujours présent dans l'argumentaire du président algérien pour justifier ses attaques contre le Maroc qui ne semble donner plus aucune importance aux propos que tiennent les responsables algériens, tellement elles sont excessives. Raison pour laquelle Nasser Bourita a repris l’expression de Talleyrand : “tout ce qui est excessif est insignifiant”. Une expression qu’il avait employée lors de son interview avec France 24 pour répondre aux accusations algériennes.
Interrogé sur les relations maroco-algériennes, le locataire du Palais El Mouradia a affirmé que “rien n’a changé” depuis la rupture décidée par son propre pays, ajoutant que les choses se sont aggravées. Des prétextes avancés pour justifier le refus de toute médiation étrangère. Rappelons ici que plusieurs pays ont proposé leurs bons offices pour tenter une médiation entre Rabat et Alger. Sans succès vu le refus catégorique du régime algérien qui fait du Maroc un cheval de bataille pour neutraliser le Hirak qui subsiste toujours, bien qu’il soit affaibli. Le 22 février, le Hirak célèbre son troisième anniversaire.
Dans le même entretien, et contrairement à ses propos acerbes et vulgaires contre le Maroc, Tebboune s’est lancé dans une véritable sérénade envers la France avec laquelle il a déclaré qu’il n’y avait plus de crise et que les choses s’étaient maintenant tassées, en référence à la polémique suscitée par les propos du président français Emmanuel Macron qui avait souligné son impuissance face à la junte militaire, avant de nier même l’existence de l’Algérie en tant qu’Etat nation durant la période précédant la colonisation. Les propos de Tebboune concernant la relation avec la France interviennent pourtant trois jours après ceux du ministre français de l’intérieur Gérald Darmanin qu'il avait carrément qualifié de menteur et qui lors d’une interview publiée à la fin de la semaine précédente n’a pas mâché ses mots envers l’Algérie affirmant qu’il témoignait une grande sympathie pour le Maroc où il est toujours bien accueilli, contrairement à l’Algérie où il est rejeté en raison de l’histoire de sa famille dont des membres étaient des Harkis.
Comme d’habitude, Isräel est toujours présent dans l'argumentaire du président algérien pour justifier ses attaques contre le Maroc qui ne semble donner plus aucune importance aux propos que tiennent les responsables algériens, tellement elles sont excessives. Raison pour laquelle Nasser Bourita a repris l’expression de Talleyrand : “tout ce qui est excessif est insignifiant”. Une expression qu’il avait employée lors de son interview avec France 24 pour répondre aux accusations algériennes.
Interrogé sur les relations maroco-algériennes, le locataire du Palais El Mouradia a affirmé que “rien n’a changé” depuis la rupture décidée par son propre pays, ajoutant que les choses se sont aggravées. Des prétextes avancés pour justifier le refus de toute médiation étrangère. Rappelons ici que plusieurs pays ont proposé leurs bons offices pour tenter une médiation entre Rabat et Alger. Sans succès vu le refus catégorique du régime algérien qui fait du Maroc un cheval de bataille pour neutraliser le Hirak qui subsiste toujours, bien qu’il soit affaibli. Le 22 février, le Hirak célèbre son troisième anniversaire.
Dans le même entretien, et contrairement à ses propos acerbes et vulgaires contre le Maroc, Tebboune s’est lancé dans une véritable sérénade envers la France avec laquelle il a déclaré qu’il n’y avait plus de crise et que les choses s’étaient maintenant tassées, en référence à la polémique suscitée par les propos du président français Emmanuel Macron qui avait souligné son impuissance face à la junte militaire, avant de nier même l’existence de l’Algérie en tant qu’Etat nation durant la période précédant la colonisation. Les propos de Tebboune concernant la relation avec la France interviennent pourtant trois jours après ceux du ministre français de l’intérieur Gérald Darmanin qu'il avait carrément qualifié de menteur et qui lors d’une interview publiée à la fin de la semaine précédente n’a pas mâché ses mots envers l’Algérie affirmant qu’il témoignait une grande sympathie pour le Maroc où il est toujours bien accueilli, contrairement à l’Algérie où il est rejeté en raison de l’histoire de sa famille dont des membres étaient des Harkis.