Voilà 69 ans que le Maroc est affranchi du joug colonial. Le 18 novembre 1955, le Royaume ferma la parenthèse du protectorat après le retour glorieux de Feu Mohammed V de Son exil à Madagascar. C’est ce jour que tout le peuple marocain célèbre avec reconnaissance aux sacrifices de ses aïeuls. Malgré l’exil forcé, l’intimidation et la répression, le peuple marocain et le Père de la Nation firent preuve d’une ténacité hors du commun, au grand désarroi de la Résidence Générale qui céda à la force de l’aspiration d’un peuple millénaire à la liberté.
Nous avons plus que jamais besoin de cet esprit de la résistance pour consolider notre intégrité territoriale, au moment où la bataille politique du Sahara marocain s’approche d’une issue favorable à notre pays. Aujourd’hui, le Maroc a avancé si fort vers une solution définitive que l’avenir du Sahara est inconcevable en dehors de la souveraineté marocaine pour la majeure partie de la communauté internationale. En témoigne la reconnaissance française sans équivoque de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, que le président Emmanuel Macron a proclamée haut et fort au sein du Parlement marocain lors de sa dernière visite au Royaume. La France, qui connaît si bien la réalité historique du conflit, devient le deuxième Etatmembre permanent du Conseil de Sécurité à reconnaître la marocanité du Sahara après les Etats-Unis, dont le nouveau président, Donald Trump, pourrait accélérer cet implacable élan de soutien international que lui-même a enclenché en 2020.
Le contexte n’a jamais été si favorable pour clore ce conflit qui n’a que trop duré. 29 pays ont ouvert des consulats aux provinces du Sud, alors que plus d’une centaine soutiennent l’initiative d’autonomie. C’est le résultat du changement de paradigme de la diplomatie marocaine qui est passée au fil des vingt dernières années de la logique de la réaction à la prise d’initiative. Reste maintenant à convaincre la poignée de pays hésitants. Dans Son discours au Parlement, à l’occasion de l’ouverture de la présente année législative, SM le Roi a appelé à convaincre des pays “qui continuent de prendre à contre-pied la logique du droit et de dénier les faits de l’Histoire”. Idem pour les Nations Unies qui doivent prendre leurs responsabilités en tenant davantage compte du large soutien international au plan d’autonomie.
Nous avons plus que jamais besoin de cet esprit de la résistance pour consolider notre intégrité territoriale, au moment où la bataille politique du Sahara marocain s’approche d’une issue favorable à notre pays. Aujourd’hui, le Maroc a avancé si fort vers une solution définitive que l’avenir du Sahara est inconcevable en dehors de la souveraineté marocaine pour la majeure partie de la communauté internationale. En témoigne la reconnaissance française sans équivoque de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, que le président Emmanuel Macron a proclamée haut et fort au sein du Parlement marocain lors de sa dernière visite au Royaume. La France, qui connaît si bien la réalité historique du conflit, devient le deuxième Etatmembre permanent du Conseil de Sécurité à reconnaître la marocanité du Sahara après les Etats-Unis, dont le nouveau président, Donald Trump, pourrait accélérer cet implacable élan de soutien international que lui-même a enclenché en 2020.
Le contexte n’a jamais été si favorable pour clore ce conflit qui n’a que trop duré. 29 pays ont ouvert des consulats aux provinces du Sud, alors que plus d’une centaine soutiennent l’initiative d’autonomie. C’est le résultat du changement de paradigme de la diplomatie marocaine qui est passée au fil des vingt dernières années de la logique de la réaction à la prise d’initiative. Reste maintenant à convaincre la poignée de pays hésitants. Dans Son discours au Parlement, à l’occasion de l’ouverture de la présente année législative, SM le Roi a appelé à convaincre des pays “qui continuent de prendre à contre-pied la logique du droit et de dénier les faits de l’Histoire”. Idem pour les Nations Unies qui doivent prendre leurs responsabilités en tenant davantage compte du large soutien international au plan d’autonomie.