Les résultats de l’indice de préparation à l’avenir (Future Readiness Index) ont été annoncés lors d’une session virtuelle intitulée «Outils innovants pour améliorer l’avenir numérique», qui s’est tenue dans le cadre de la 11ème édition du Sommet annuel Concordia 2021.
Le Maroc s’est classé 84ème au niveau mondial et 7ème dans le nouveau classement économique international lié à la préparation à l’avenir des pays à la lumière de l’accélération des défis numériques et financiers, notamment après l’émergence de la pandémie du Covid-19 qui a mis les économies nationales à l’épreuve.
Ainsi, le Royaume du Maroc se classe au 22ème rang parmi 27 économies émergentes à travers le monde, devant le Pérou, le Liban, l’Egypte, le Kenya et le Nigeria, selon le nouveau classement établi par l’Institut américain Portulans en partenariat avec Google afin d’évaluer la préparation future des économies émergentes dans les domaines de la numérisation, de l’innovation et de la logistique.
Après avoir réussi à s’imposer parmi les pays économiques les plus prometteurs au monde, le Maroc est parvenu, selon ce rapport économique, à se classer au septième rang dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord en matière d’approche proactive des défis futurs, derrière Israël, les EAU, le Qatar, l’Arabie Saoudite, le Koweït et la Jordanie.
Dans sa classification, le rapport s’est appuyé sur quatre sous-indicateurs pivots, à savoir l’indice des institutions et des infrastructures, dans lequel le Maroc se classe au 55ème rang mondial, l’indice des technologies (83ème rang mondial), l’indice de talents (103ème rang mondial), et l’indice d’innovation (74ème rang mondial). Dans le cadre du suivi des résultats obtenus, le document a souligné la faible évolution des technologies de transformation numérique au Maroc.
Cela nécessite, selon les auteurs de l’indice international, une amélioration du niveau de gouvernance numérique dans un avenir proche, en plus de soutenir les jeunes talents et compétences. Sur la base des points attribués au Maroc, la note indique que le pays est proche de la moyenne mondiale en matière d’institutions et d’infrastructures, notamment en ce qui concerne les aspects de législation juridique, de lutte contre la corruption, de structures logistiques et d’efficacité managériale.
Par contre, le Maroc reste très loin de la moyenne mondiale en ce qui concerne les talents, l’innovation et la numérisation.
Le Maroc s’est classé 84ème au niveau mondial et 7ème dans le nouveau classement économique international lié à la préparation à l’avenir des pays à la lumière de l’accélération des défis numériques et financiers, notamment après l’émergence de la pandémie du Covid-19 qui a mis les économies nationales à l’épreuve.
Ainsi, le Royaume du Maroc se classe au 22ème rang parmi 27 économies émergentes à travers le monde, devant le Pérou, le Liban, l’Egypte, le Kenya et le Nigeria, selon le nouveau classement établi par l’Institut américain Portulans en partenariat avec Google afin d’évaluer la préparation future des économies émergentes dans les domaines de la numérisation, de l’innovation et de la logistique.
Après avoir réussi à s’imposer parmi les pays économiques les plus prometteurs au monde, le Maroc est parvenu, selon ce rapport économique, à se classer au septième rang dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord en matière d’approche proactive des défis futurs, derrière Israël, les EAU, le Qatar, l’Arabie Saoudite, le Koweït et la Jordanie.
Dans sa classification, le rapport s’est appuyé sur quatre sous-indicateurs pivots, à savoir l’indice des institutions et des infrastructures, dans lequel le Maroc se classe au 55ème rang mondial, l’indice des technologies (83ème rang mondial), l’indice de talents (103ème rang mondial), et l’indice d’innovation (74ème rang mondial). Dans le cadre du suivi des résultats obtenus, le document a souligné la faible évolution des technologies de transformation numérique au Maroc.
Cela nécessite, selon les auteurs de l’indice international, une amélioration du niveau de gouvernance numérique dans un avenir proche, en plus de soutenir les jeunes talents et compétences. Sur la base des points attribués au Maroc, la note indique que le pays est proche de la moyenne mondiale en matière d’institutions et d’infrastructures, notamment en ce qui concerne les aspects de législation juridique, de lutte contre la corruption, de structures logistiques et d’efficacité managériale.
Par contre, le Maroc reste très loin de la moyenne mondiale en ce qui concerne les talents, l’innovation et la numérisation.
Achraf EL OUAD