Ces parts sont respectivement de 84% et de 11% dans l’«agro-alimentaire », de 84% et de 16% dans la « mécanique et métallurgie » et de 77% et de 23% dans le « textile et cuir », a fait savoir une note de BAM.
Cependant, il aurait été qualifié de « normal » par la quasi-totalité des entreprises de la « chimie et parachimie » et de l'«électrique et électronique ». Le coût du crédit aurait été en stagnation dans toutes les branches d’activité à l’exception du « textile et cuir » où 67% des entreprises indiquent une stagnation du coût du crédit et 33% une hausse.
Les dépenses d’investissement auraient connu, au T4-2021, une stagnation selon 52% des industriels et une hausse selon 28%. Ces proportions sont respectivement de 78% et de 14% dans le « textile et cuir », de 54% et de 36% dans l’«agro-alimentaire » et de 39% et 42% dans la « chimie et parachimie ».
En revanche, 51% des entreprises de la « mécanique et métallurgie » indiquent une stagnation des dépenses d’investissement et 46% une baisse.
Dans l'«électrique et électronique », la quasi-totalité des entreprises déclarent une stagnation de ces dépenses. Pour le prochain trimestre, 51% des industriels anticipent une stagnation des dépenses d’investissement et 43% une hausse.
Cependant, il aurait été qualifié de « normal » par la quasi-totalité des entreprises de la « chimie et parachimie » et de l'«électrique et électronique ». Le coût du crédit aurait été en stagnation dans toutes les branches d’activité à l’exception du « textile et cuir » où 67% des entreprises indiquent une stagnation du coût du crédit et 33% une hausse.
Les dépenses d’investissement auraient connu, au T4-2021, une stagnation selon 52% des industriels et une hausse selon 28%. Ces proportions sont respectivement de 78% et de 14% dans le « textile et cuir », de 54% et de 36% dans l’«agro-alimentaire » et de 39% et 42% dans la « chimie et parachimie ».
En revanche, 51% des entreprises de la « mécanique et métallurgie » indiquent une stagnation des dépenses d’investissement et 46% une baisse.
Dans l'«électrique et électronique », la quasi-totalité des entreprises déclarent une stagnation de ces dépenses. Pour le prochain trimestre, 51% des industriels anticipent une stagnation des dépenses d’investissement et 43% une hausse.