Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) vient de donner son feu pour l’octroi d’un prêt de 63,09 millions d’euros au Cameroun, afin de financer son projet d’appui à la Promotion de l’entrepreneuriat et à l’amélioration des compétences en soutien à l’industrialisation (PEAC). Des partenaires multinationaux, le secteur privé et l’État camerounais apporteront environ 2 millions d’euros pour couvrir le reste du financement du projet d’un coût de 64,93 millions d’euros, indique la BAD.
Au Cameroun, le déficit en ressources humaines qualifiées compromet le processus d’industrialisation et le développement des secteurs porteurs de l’économie. Le projet entend engager le secteur privé camerounais aux côtés de l’État, dans des actions structurantes : bâtir des infrastructures modernes de formation technique et professionnelle, renforcer les capacités des acteurs et du système éducatif et promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. Il s’agira aussi de lever les contraintes qui pèsent sur l’emploi en misant sur l’employabilité et la promotion de l’entrepreneuriat, ajoute le communiqué.
Le projet couvrira cinq régions du Cameroun : le Centre, le Littoral, le Sud, le Sud-Ouest et l’Extrême Nord, ajoute la même source, précisant que l’objectif est de développer les compétences nécessaires aux besoins de l’économie camerounaise et de promouvoir l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes et des femmes dans les secteurs porteurs du BTP, des transports, de l’énergie, de l’agro-industrie, des métiers verts et des TIC, notamment.
Il vise à renforcer la capacité du système national de formation professionnelle, à travers des appuis matériels et d’ingénierie de formation et à rendre effective l’implication accrue du secteur privé dans la gestion des centres de formation bénéficiaires du projet. Cela conduira à une meilleure qualité des apprentissages adaptés au marché de l’emploi, souligne la BAD.
Le projet permettra de promouvoir l’auto-emploi des jeunes et l’insertion professionnelle, en particulier dans les secteurs porteurs ciblés et de renforcer les capacités institutionnelles des acteurs techniques et professionnels.
Au Cameroun, le déficit en ressources humaines qualifiées compromet le processus d’industrialisation et le développement des secteurs porteurs de l’économie. Le projet entend engager le secteur privé camerounais aux côtés de l’État, dans des actions structurantes : bâtir des infrastructures modernes de formation technique et professionnelle, renforcer les capacités des acteurs et du système éducatif et promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. Il s’agira aussi de lever les contraintes qui pèsent sur l’emploi en misant sur l’employabilité et la promotion de l’entrepreneuriat, ajoute le communiqué.
Le projet couvrira cinq régions du Cameroun : le Centre, le Littoral, le Sud, le Sud-Ouest et l’Extrême Nord, ajoute la même source, précisant que l’objectif est de développer les compétences nécessaires aux besoins de l’économie camerounaise et de promouvoir l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes et des femmes dans les secteurs porteurs du BTP, des transports, de l’énergie, de l’agro-industrie, des métiers verts et des TIC, notamment.
Il vise à renforcer la capacité du système national de formation professionnelle, à travers des appuis matériels et d’ingénierie de formation et à rendre effective l’implication accrue du secteur privé dans la gestion des centres de formation bénéficiaires du projet. Cela conduira à une meilleure qualité des apprentissages adaptés au marché de l’emploi, souligne la BAD.
Le projet permettra de promouvoir l’auto-emploi des jeunes et l’insertion professionnelle, en particulier dans les secteurs porteurs ciblés et de renforcer les capacités institutionnelles des acteurs techniques et professionnels.