L’entreprise espagnole Ineco, en partenariat avec l’ingénierie marocaine CID, a été choisie pour piloter des études essentielles à la création d’un service ferroviaire moderne reliant Tanger et Tétouan. Ce projet s’inscrit dans un effort global en vue d’améliorer la connectivité urbaine et inclut des infrastructures stratégiques telles que les stades prévus pour accueillir la Coupe du Monde 2030 et l’aéroport de Tanger.
La portée du contrat, d’une durée de 14 mois, englobe plusieurs volets majeurs, notamment l’extension de la ligne Tanger-Mellousa et la création d’une nouvelle route vers Cherrafat, la construction d’une ligne ferroviaire conventionnelle reliant le Sud de Tanger au stade, l’aéroport et Gueznaia, la connexion ferroviaire entre la zone industrielle Mohammed VI et le corridor Tanger-Tétouan, ainsi que la liaison directe entre Tétouan et Cherrafat.
Ce projet phare fait partie intégrante de la « Stratégie ferroviaire marocaine 2040 (PRM2040) », une feuille de route nationale visant à moderniser et étendre le réseau ferroviaire marocain.
Le PRM2040 ambitionne de faire passer le nombre de villes connectées par le rail de 23 à 43, tout en reliant 12 ports et 15 aéroports. Avec un budget colossal de 375 milliards de dirhams (environ 34,7 milliards d’euros), le plan entend également créer 300.000 emplois et élargir la couverture ferroviaire à 87 % de la population, contre 51 % actuellement.
Cette initiative repose sur trois piliers principaux, en particulier le développement du train à grande vitesse (TGV) pour relier les grandes métropoles, l’amélioration des lignes régionales pour renforcer l’accès aux zones enclavées, et la promotion des transports publics en tant que levier de développement territorial.
L’obtention de ce contrat résulte d’efforts diplomatiques soutenus, notamment à travers la visite officielle du ministre espagnol des Transports, Óscar Puente, qui a présenté les ambitions des entreprises espagnoles au Maroc à ses homologues marocains, Mohamed Abdeljalil et Nizar Baraka.
Selon Sergio Vázquez Torrón, président d’Ineco, « ce contrat est notre premier projet ferroviaire au Maroc et consolide notre présence dans ce pays stratégique. Il marque une étape clé pour l’industrie ferroviaire espagnole ».
En parallèle, Ineco poursuit son expansion dans le secteur aéroportuaire marocain avec un contrat attribué par l’Office National des Aéroports (ONDA). Celui-ci porte sur l’amélioration des installations de l’aéroport Mohammed V de Casablanca, afin d’anticiper la croissance du trafic aérien d’ici 2040.
Les travaux incluent, également, la construction de 85 kilomètres de nouvelles voies ferroviaires et l’évaluation des besoins futurs en infrastructure ferroviaire. Ce contrat représente le projet le plus important de l’Histoire d’Ineco au Maroc, consolidant son rôle dans la transformation des infrastructures nationales.
La portée du contrat, d’une durée de 14 mois, englobe plusieurs volets majeurs, notamment l’extension de la ligne Tanger-Mellousa et la création d’une nouvelle route vers Cherrafat, la construction d’une ligne ferroviaire conventionnelle reliant le Sud de Tanger au stade, l’aéroport et Gueznaia, la connexion ferroviaire entre la zone industrielle Mohammed VI et le corridor Tanger-Tétouan, ainsi que la liaison directe entre Tétouan et Cherrafat.
Ce projet phare fait partie intégrante de la « Stratégie ferroviaire marocaine 2040 (PRM2040) », une feuille de route nationale visant à moderniser et étendre le réseau ferroviaire marocain.
Le PRM2040 ambitionne de faire passer le nombre de villes connectées par le rail de 23 à 43, tout en reliant 12 ports et 15 aéroports. Avec un budget colossal de 375 milliards de dirhams (environ 34,7 milliards d’euros), le plan entend également créer 300.000 emplois et élargir la couverture ferroviaire à 87 % de la population, contre 51 % actuellement.
Cette initiative repose sur trois piliers principaux, en particulier le développement du train à grande vitesse (TGV) pour relier les grandes métropoles, l’amélioration des lignes régionales pour renforcer l’accès aux zones enclavées, et la promotion des transports publics en tant que levier de développement territorial.
L’obtention de ce contrat résulte d’efforts diplomatiques soutenus, notamment à travers la visite officielle du ministre espagnol des Transports, Óscar Puente, qui a présenté les ambitions des entreprises espagnoles au Maroc à ses homologues marocains, Mohamed Abdeljalil et Nizar Baraka.
Selon Sergio Vázquez Torrón, président d’Ineco, « ce contrat est notre premier projet ferroviaire au Maroc et consolide notre présence dans ce pays stratégique. Il marque une étape clé pour l’industrie ferroviaire espagnole ».
En parallèle, Ineco poursuit son expansion dans le secteur aéroportuaire marocain avec un contrat attribué par l’Office National des Aéroports (ONDA). Celui-ci porte sur l’amélioration des installations de l’aéroport Mohammed V de Casablanca, afin d’anticiper la croissance du trafic aérien d’ici 2040.
Les travaux incluent, également, la construction de 85 kilomètres de nouvelles voies ferroviaires et l’évaluation des besoins futurs en infrastructure ferroviaire. Ce contrat représente le projet le plus important de l’Histoire d’Ineco au Maroc, consolidant son rôle dans la transformation des infrastructures nationales.