Le mercredi 26 février 2025, un enchaînement de vidéos choquantes a frappé de plein fouet les utilisateurs d'Instagram, déversant dans leur fil d'actualités des scènes d'une violence inouïe. Des Reels – ces vidéos courtes populaires sur la plateforme – ont révélé scènes incluant des corps brûlés, des scènes de mutilation, des photos de combats violents et des personnes dénudées.
Ces visuels d'une intensité inhumaine ont profondément choqué les utilisateurs. Selon un rapport de CNBC du 27 février, la plateforme a reconnu qu’il s’agissait d'une "erreur technique" et a annoncé avoir pris des mesures pour corriger le dysfonctionnement qui permettait à ce contenu violent d’apparaître dans les Reels recommandés.
Ces vidéos, bien que choquantes, ont malheureusement attiré de nombreuses vues en raison de leur caractère inhabituel. Plusieurs de ces contenus ont rapidement dépassé les millions de vues, poussés par l'algorithme d'Instagram qui met en avant ce type de vidéos et les insère dans les fils d'actualités des utilisateurs. Bien que certaines de ces publications aient affiché des avertissements de "contenu sensible", cela n'a pas été systématique.
Certains internautes ont rapporté que le réseau social leur avait recommandé ces vidéos, même si la fonction "contrôle de contenu sensible" était activée. Face à cette situation, un grand nombre d'utilisateurs ont signalé ces contenus, ce qui a conduit Meta à intervenir. Ce dérapage a bien mis en lumière la question de la modération de contenu sur les plateformes sociales et de leur responsabilité face à la diffusion de vidéos violentes.
Pour tenter de mettre fin à la polémique et apaiser la colère des internautes choqués par ces images, un porte-parole de Meta a déclaré dans un communiqué : "Nous avons corrigé une erreur qui faisait que certains utilisateurs voyaient dans leur fil Instagram Reels du contenu qui n’aurait pas dû être recommandé. Nous nous excusons pour cette erreur."
Cependant, des questions demeurent concernant les effets de cet incident sur la santé mentale et la psychologie des utilisateurs, en particulier ceux qui sont sensibles à la violence. Cette situation met en lumière la nécessité de renforcer les mécanismes de protection et de prévention sur les plateformes sociales pour éviter de telles dérives à l'avenir.
Selon le porte-parole de l'entreprise, cette vague de vidéos violentes ne serait pas liée aux nouvelles politiques de modération de Meta, qui visent à restaurer la liberté d'expression. Toutefois, cet incident met en lumière un dilemme majeur pour les plateformes : comment concilier liberté d'expression et sécurité des utilisateurs, tout en évitant des dérives qui pourraient nuire au bien-être psychologique de millions d'internautes ? Cela rappelle l'importance d'un équilibre délicat entre régulation, transparence et responsabilité.
Ces visuels d'une intensité inhumaine ont profondément choqué les utilisateurs. Selon un rapport de CNBC du 27 février, la plateforme a reconnu qu’il s’agissait d'une "erreur technique" et a annoncé avoir pris des mesures pour corriger le dysfonctionnement qui permettait à ce contenu violent d’apparaître dans les Reels recommandés.
Ces vidéos, bien que choquantes, ont malheureusement attiré de nombreuses vues en raison de leur caractère inhabituel. Plusieurs de ces contenus ont rapidement dépassé les millions de vues, poussés par l'algorithme d'Instagram qui met en avant ce type de vidéos et les insère dans les fils d'actualités des utilisateurs. Bien que certaines de ces publications aient affiché des avertissements de "contenu sensible", cela n'a pas été systématique.
Certains internautes ont rapporté que le réseau social leur avait recommandé ces vidéos, même si la fonction "contrôle de contenu sensible" était activée. Face à cette situation, un grand nombre d'utilisateurs ont signalé ces contenus, ce qui a conduit Meta à intervenir. Ce dérapage a bien mis en lumière la question de la modération de contenu sur les plateformes sociales et de leur responsabilité face à la diffusion de vidéos violentes.
Pour tenter de mettre fin à la polémique et apaiser la colère des internautes choqués par ces images, un porte-parole de Meta a déclaré dans un communiqué : "Nous avons corrigé une erreur qui faisait que certains utilisateurs voyaient dans leur fil Instagram Reels du contenu qui n’aurait pas dû être recommandé. Nous nous excusons pour cette erreur."
Cependant, des questions demeurent concernant les effets de cet incident sur la santé mentale et la psychologie des utilisateurs, en particulier ceux qui sont sensibles à la violence. Cette situation met en lumière la nécessité de renforcer les mécanismes de protection et de prévention sur les plateformes sociales pour éviter de telles dérives à l'avenir.
Selon le porte-parole de l'entreprise, cette vague de vidéos violentes ne serait pas liée aux nouvelles politiques de modération de Meta, qui visent à restaurer la liberté d'expression. Toutefois, cet incident met en lumière un dilemme majeur pour les plateformes : comment concilier liberté d'expression et sécurité des utilisateurs, tout en évitant des dérives qui pourraient nuire au bien-être psychologique de millions d'internautes ? Cela rappelle l'importance d'un équilibre délicat entre régulation, transparence et responsabilité.
