Abdelouahed Rahal,Directeur général du commerce au ministère de l'Industrie et du commerce
Intervenant à cette occasion, le directeur général du commerce au ministère de l'Industrie et du commerce, Abdelouahed Rahal, a souligné que la modernisation et la mise à jour du SPC des pays de l'OCI "sont devenues d'une importance cruciale à l'heure actuelle, d'autant plus que la version actuelle des offres proposées ne motive pas le secteur privé à profiter de ses dispositions préférentielles".
Et d'expliquer que ces dispositions préférentielles ont été dépassées par le temps, puisqu'elles reposent sur un tarif de base datant d'octobre 2003.
Rappelant que le Maroc a été parmi les premiers pays à contribuer à la mise en œuvre et à l'application du SPC, le responsable marocain a indiqué que la modernisation de ce système permettra aux pays de l'Organisation de relever les défis majeurs imposés par les évolutions rapides que connaît le monde dans plusieurs domaines.
"Parmi les défis les plus importants qui nous incitent à moderniser ce système, il y a ceux liés à la promotion et à la valorisation des chaînes de production, ainsi que le retour de nombreux pays à adopter une politique protectionniste dans le domaine du commerce extérieur", a-t-il ajouté.
Le Maroc, a-t-il dit, propose que le futur plan d'action du SPC "comprenne une partie importante dédiée à l'accélération de la mise à jour de ce système, selon une version qui encourage le secteur privé de nos pays à contribuer au renforcement du commerce intra-OCI".
"Nous soutenons également la proposition de s'ouvrir par la suite à de nouveaux domaines pour accompagner les accords commerciaux internationaux de nouvelle génération, tels que le commerce des services, le e-commerce, ainsi que l'encouragement et la protection des investissements pour renforcer ce système", a poursuivi M. Rahal.
Et de conclure que le Royaume renouvelle son appel à la nécessité de conjuguer les efforts communs pour atteindre les objectifs du programme décennal de l'OCI, avec ses dimensions économiques et commerciales, notant que le SPC est l'un de ses outils les plus importants.
Le SPC entre les États membres de l'OCI, qui est entré en vigueur depuis décembre 2014, est considéré comme l'un des projets et mécanismes les plus importants adoptés pour renforcer le commerce intra-OCI et consolider l'intégration économique et les opportunités d'investissement au sein de l'espace islamique.
Et d'expliquer que ces dispositions préférentielles ont été dépassées par le temps, puisqu'elles reposent sur un tarif de base datant d'octobre 2003.
Rappelant que le Maroc a été parmi les premiers pays à contribuer à la mise en œuvre et à l'application du SPC, le responsable marocain a indiqué que la modernisation de ce système permettra aux pays de l'Organisation de relever les défis majeurs imposés par les évolutions rapides que connaît le monde dans plusieurs domaines.
"Parmi les défis les plus importants qui nous incitent à moderniser ce système, il y a ceux liés à la promotion et à la valorisation des chaînes de production, ainsi que le retour de nombreux pays à adopter une politique protectionniste dans le domaine du commerce extérieur", a-t-il ajouté.
Le Maroc, a-t-il dit, propose que le futur plan d'action du SPC "comprenne une partie importante dédiée à l'accélération de la mise à jour de ce système, selon une version qui encourage le secteur privé de nos pays à contribuer au renforcement du commerce intra-OCI".
"Nous soutenons également la proposition de s'ouvrir par la suite à de nouveaux domaines pour accompagner les accords commerciaux internationaux de nouvelle génération, tels que le commerce des services, le e-commerce, ainsi que l'encouragement et la protection des investissements pour renforcer ce système", a poursuivi M. Rahal.
Et de conclure que le Royaume renouvelle son appel à la nécessité de conjuguer les efforts communs pour atteindre les objectifs du programme décennal de l'OCI, avec ses dimensions économiques et commerciales, notant que le SPC est l'un de ses outils les plus importants.
Le SPC entre les États membres de l'OCI, qui est entré en vigueur depuis décembre 2014, est considéré comme l'un des projets et mécanismes les plus importants adoptés pour renforcer le commerce intra-OCI et consolider l'intégration économique et les opportunités d'investissement au sein de l'espace islamique.