Ne dit-on pas que le diable se cache dans les détails ? Jamais ce dicton, dont le sens peut être appréhendé dans tous les sens, n’aura été aussi parlant que pour une affaire qui fait les choux gras de la presse nationale depuis plusieurs jours. Il s’agit du duel entre l’Istiqlal et la CGEM concernant l’énigmatique exclusion de la course aux postes de gouvernance de l’instance patronale des profils encartés et impliqués dans les organes décisionnels des partis politiques.
Dans cette affaire, le diable se trouve justement être ce détail technico-juridico-machin-chose enrobé de déclarations pompeuses sur l’indépendance et la neutralité, qu’on se perd à disséquer encore et encore, au détriment de l’évidence : la décision de la CGEM, de par son timing, ses inavouées motivations et ses mystérieux instigateurs sent le soufre. Elle le sent si fort que le plus ancien et le plus vénérable parti du Royaume du Maroc, connu pourtant pour son flegme, sa retenue et son habileté politique, est sorti de son calme légendaire pour crier non avec force ! Il l’a fait alors que, derrière lui, d’autres formations toutes aussi affectées par la même décision, aujourd’hui ou demain, continuent à se tapir derrière le buisson.
Aussi et par égard à l’intelligence de nos lecteurs, mais également pour de basses contraintes de mise en page qui imposent le respect d’un certain nombre de caractères dans le présent billet, il ne sera nullement ici question de détails ou d’analyses technico-juridiques sur la légalité ou non de la décision de la CGEM et ses motivations réelles. Cet aspect sera traité en profondeur dans un article, sans fioritures et tout en objectivité, à paraître bientôt, que nous avons pris le soin et la patience nécessaires à sa préparation, le temps que la poussière médiatique et politicarde autour du sujet retombe. L’aspect purement juridique relève, quant à lui, de la compétence des juristes qui ne manqueront pas d’en être saisis.
Mais sachez cher lecteur que dans cette histoire, bien plus que dans beaucoup d’autres, le détail et les belles déclarations ne sont que diversion. Ce qui compte, c’est le bon sens et le jugement premier, celui du cœur et de la raison. Bon weekend.
Dans cette affaire, le diable se trouve justement être ce détail technico-juridico-machin-chose enrobé de déclarations pompeuses sur l’indépendance et la neutralité, qu’on se perd à disséquer encore et encore, au détriment de l’évidence : la décision de la CGEM, de par son timing, ses inavouées motivations et ses mystérieux instigateurs sent le soufre. Elle le sent si fort que le plus ancien et le plus vénérable parti du Royaume du Maroc, connu pourtant pour son flegme, sa retenue et son habileté politique, est sorti de son calme légendaire pour crier non avec force ! Il l’a fait alors que, derrière lui, d’autres formations toutes aussi affectées par la même décision, aujourd’hui ou demain, continuent à se tapir derrière le buisson.
Aussi et par égard à l’intelligence de nos lecteurs, mais également pour de basses contraintes de mise en page qui imposent le respect d’un certain nombre de caractères dans le présent billet, il ne sera nullement ici question de détails ou d’analyses technico-juridiques sur la légalité ou non de la décision de la CGEM et ses motivations réelles. Cet aspect sera traité en profondeur dans un article, sans fioritures et tout en objectivité, à paraître bientôt, que nous avons pris le soin et la patience nécessaires à sa préparation, le temps que la poussière médiatique et politicarde autour du sujet retombe. L’aspect purement juridique relève, quant à lui, de la compétence des juristes qui ne manqueront pas d’en être saisis.
Mais sachez cher lecteur que dans cette histoire, bien plus que dans beaucoup d’autres, le détail et les belles déclarations ne sont que diversion. Ce qui compte, c’est le bon sens et le jugement premier, celui du cœur et de la raison. Bon weekend.
Majd EL ATOUABI